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  • Immigration-invasion : ceux qui parlent et ceux qui agissent

     

     

    Samedi matin, 21 avril 2018, une centaine de jeunes du groupe « Génération identitaire »(*) se sont rendus dans la vallée de la Clarée entre Briançon et Modane, juste à la frontière franco-italienne, au Col de l’Échelle, pour une opération coup de poing.

    Génération Identitaire Defend Europe Alpes

    Des Français, des Italiens, des Hongrois, des Danois, des Autrichiens, des Anglais et des Allemands ont choisi de chausser les raquettes pour aller contrôler la frontière.

    « Nous dénonçons un manque de courage des pouvoirs publics. Avec un peu de volonté, on peut contrôler les migrations. Nous allons prendre possession du col et veiller à ce qu’aucun clandestin ne puisse entrer en France. Nous allons expliquer aux migrants que ce qui n’est pas humain c’est de leur faire croire que traverser la Méditerranée ou grimper le col enneigé n’est pas dangereux. » explique Romain Espino, porte parole du mouvement.

    Ce col est justement un lieu symbolique, c’est par celui-ci que les clandestins passent pour rejoindre la France, aidés par les petits Herrous locaux, puisqu’il devient plus difficile de passer par la route « Vintimille ».

    C’est ainsi que plus de 1500 personnes, principalement venues du Mali, de Guinée ou de Côte d’Ivoire ont franchi ce col l’an dernier, avec comme but, la ville de Briançon, dans les Hautes-Alpes. Deux points de traversée de la frontière s’offrent à eux : 
    • le col de l’Échelle, à 1762 m d’altitude, ou bien 
    • la route de Montgenèvre. 
    Deux passages faciles aux beaux jours, sans neige, puisque ce sont deux routes qui rejoignent la belle vallée isolée de la Clarée. Mais si le printemps semble enfin montrer le bout de son nez, cet hiver, les conditions n’étaient pas bonnes : un froid intense et d’exceptionnelles chutes de neige se sont abattues sur le Briançonnais. Pour les Africains, le risque est devenu mortel : en baskets, parfois sans chaussettes, ils tentent quand même chaque jour de passer la frontière. Cela représente six heures de marche, parfois par -20º, six heures à « brasser » la neige qui n’est pas vraiment leur élément. Cette situation mobilise presque chaque jour les secouristes du peloton de gendarmerie de haute montagne.
    Génération Identitaire Defend Europe Alpes. C’est pour cette raison que ce matin, les militants de Génération Identitaire ont pris position au col (voir photos), afin de barrer la route aux migrants clandestins. Les équipes ont l’intention de quadriller la zone et de stopper toute tentative de s’introduire illégalement en France.

    « Le gouvernement Macron refuse de sécuriser la frontière : nous allons lui prouver qu’avec de la volonté, c’est parfaitement possible. Plutôt que de débloquer des fonds pour créer de nouveaux centres d’accueil pour les migrants clandestins, ce sont les budgets de la PAF (Police Aux Frontières) qui devraient être musclés » avance toujours le porte-parole qui précise :
    « Génération Identitaire exige l’arrêt de l’immigration massive et le blocage définitif du passage du col de l’Échelle. Plus aucun clandestin ne doit pouvoir rentrer illégalement en France en empruntant cette voie. Les Français ne veulent plus d’immigration ! La place de ces immigrés clandestins n’est ni en France, ni en Italie, mais dans leur pays d’origine. L’opération “Alpes” de Defend Europe est lancée !»

    Patrice LEMAÎTRE

    Addendum du 23 avril 2018 : des immigrationnistes italiens forcent un barrage de la gendarmerie française afin de faire entrer de force une cinquantaine d’émigrés clandestins sur notre territoire [source France Info]. N’est-ce pas un acte de guerre ?

    (*) Génération Identitaire est un mouvement politique de jeunesse français et européen créé en 2012, dont la première action symbolique a été l’occupation du toit du chantier de la mosquée de Poitiers la même année. Face à l’immigration massive et à l’islamisation, ses militants considèrent que la seule réponse efficace se trouve dans l’affirmation de notre identité et la défense de nos traditions. Cette mission s’inscrit dans la campagne européenne « Defend Europe » contre l’immigration de masse. Au mois d’août 2017, ils avaient en effet envoyé un bateau en méditerranée, le C-Star, pour mettre un terme au trafic d’êtres humains organisé par les mafias avec la complicité des ONG.

    Nice Provence Info

  • Sondage : 76% des Français veulent un référendum sur l’immigration Par Koba le 25/04/2018

     

    18h57

    Et si les électeurs étaient consultés pour décider de la politique migratoire de la France ? L’idée d’un référendum fait son chemin à droite. Mieux, selon le sondage Ifop que nous publions, 76 % d’entre eux y sont favorables.

    Emmanuel Macron, le chef d’État lui-même, recommande de lire Stephen Smith, qui affirme dans son dernier ouvrage (la Ruée vers l’Europe, Grasset) que notre vieux continent « va s’africaniser ». Son ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, évoque de son côté « des régions qui sont en train de se déconstruire parce qu’elles sont submergées par le flux des demandeurs d’asile ». Rarement, dans les mots, le pouvoir n’aura semblé saisir, avec plus de justesse et d’acuité, l’ampleur du phénomène et la tragédie qui nous menace, donnant raison aux plus pessimistes de nos Cassandre et aux prophètes du « grand remplacement ». La démographie africaine ? Écoutons encore ce que nous dit Emmanuel Macron. C’est « une véritable bombe », diagnostique le président. « Il faut bien le dire », ajoute-t-il, comme si cette réalité avait été longtemps minorée, sinon cachée ou tue par nos dirigeants. (…)

    Les Français rêvent de s’exprimer sur la politique migratoire que devrait conduire le gouvernement. Le pouvoir en place est, lui, beaucoup moins enthousiaste. D’autant plus qu’à lire les enquêtes d’opinion qui se succèdent sur le sujet, les Français se montrent souvent radicalement opposés aux mesures défendues par leurs dirigeants. Dans la dernière enquête de l’Ifop pour l’Express parue en décembre 2017, 64 % des Français jugent que le rythme de l’immigration en France s’effectue à un rythme trop élevé ; 56 % d’entre eux sont opposés à l’obtention automatique de la nationalité française pour les enfants nés en France de parents étrangers ; 57 % d’entre eux sont favorables à la suppression du regroupement familial. Comment ne pas mesurer l’immense décalage entre les aspirations des Français et les politiques menés par nos dirigeants ?

    (…) Valeurs Actuelles

  • Les nouveaux gladiateurs et l’hymne républicain, par Pierre-Emile Blairon

     

     

    Le jeu de balle au pied (football) est l’un des éléments majeurs de conditionnement des foules par les élites au pouvoir principalement en Europe. La recette est bien connue et ne date pas d’hier ; pour détourner les peuples des enjeux cruciaux et laisser le pouvoir agir sans l’aval des masses, il suffit de leur présenter un hochet ; l’Empire romain décadent prévenait toute tentative de soulèvement du peuple en lui fournissant Panem et circenses, du pain et des jeux du cirque. Les Romains arrivaient donc en foule dans les arènes pour voir mourir les gladiateurs qui s’étripaient entre eux ou qui affrontaient des bêtes sauvages. Ces gladiateurs étaient des mercenaires bien payés, hommes libres ou esclaves, qui trouvaient dans ce métier l’occasion d’accéder à un statut social envié quand ils avaient survécu.

    Les footballeurs sont nos nouveaux gladiateurs (à moindre risque), mercenaires internationaux, dont le prix d’achat dépasse toutes les normes acceptables. Ils viennent de toutes les parties du monde mais, en France, essentiellement de nos anciennes colonies d’Afrique, du Nord et sub-saharienne (les fameux Blacks-Blancs-Beurs au sein desquels on a intelligemment supprimé toute discrimination en les appelant uniformément les « Bleus »).

    Pas plus que les gladiateurs romains (le fameux : Ave Caesar, qui morituri te salutant ne concernait que certains délinquants condamnés à mort), les footballeurs ne sont tenus à saluer les officiels occupant les tribunes. Cependant, on leur demande, avant chaque match international, de chanter leur hymne national, enfin, l’hymne du pays dont ils ont acquis la nationalité et qu’ils représentent dans les compétitions internationales. La loi veille : tout outrage à l’hymne national est, en France, depuis 2003, susceptible d’être puni par un emprisonnement de 6 mois et 7 500 euros d'amende.

    Certes, Karim Benzema n’entrait pas dans le cadre visé par la loi en déclarant en avril 2018 ne pas chanter la Marseillaise sur les stades parce que, «Si vous écoutez bien, la Marseillaise appelle à faire la guerre. Et ça, ça ne me plait pas». Benzema est un footballeur natif de Lyon, officiant dans le club madrilène dont son compère Zidane (ancien footballeur, natif, lui, de Marseille) est entraîneur. «On ne va pas me forcer à chanter La Marseillaise. Zidane, par exemple, ne la chantait pas forcément. Et il y en a d'autres».

    Benzema n’avait pas tout à fait tort, s’il s’en était tenu là, mais nous allons voir que ce n’était pas le cas.

    Ce jour-là…

    Sans doute, en effet, ce jour-là, avait-il fini par percevoir les paroles du refrain du chant révolutionnaire hurlées dans les gradins par les supporters. Elles lui parvenaient indistinctement, brouillées par les bruissements des étendards claquant au vent, arborant fièrement les logos des diverses multinationales sponsor.e.s des footballeurs. Il recevait, troublé, effaré même, quelques paroles étranges clamées avec enthousiasme par cette belle et sportive jeunesse française : sanglant, égorger, sang impur, féroces soldats…

    Il regardait ses coéquipiers bouger silencieusement les lèvres – television is watching you ! - d’autres marmonnant des incantations destinées à attirer sur eux la bienveillance des antiques dieux de la savane.

    Benzema, imperturbable, un léger voile d’inquiétude dans les yeux, avait décidé de ne pas faire semblant de chanter en ne chantant pas du tout. Il allait, dans un moment, à mains nues et les pieds uniquement armés de crampons, affronter les redoutables Lions (club de Brisbane, Australie, en match amical). Les maillots des champions étincelaient sous le soleil, marqués aux armes de Nike (prononcer Naïque) et d’EDF.

    Il avait décidé, ce jour-là, de ne plus chanter du tout car, décidément, ces paroles étaient indignes.

    Un exemple et un contre-exemple

    Bel exemple de pacifisme pour ces jeunes de banlieues dont il était devenu l’idole. Ils ne songeaient qu’à marcher dans ses traces, ils ne rêvaient tous que de voitures luxueuses, de sex-tapes torrides, de villas somptueuses à Malibu ou à Dubaï, décorées de damasquins aux couleurs chatoyantes, aux salles de bains rutilantes avec leurs robinets d’or, aux piscines remplies de superbes jeunes femmes à l’abondante chevelure d’un blond platiné, à la plastique généreuse et indéformable, comme dans un conte des mille et une nuits…

    L’exemplarité du discours et de l’attitude de Benzema s’arrête sans doute là ; le boxeur champion du monde Patrice Quarteron, d’origine guadeloupéenne, lui aussi issu de la banlieue – il est né à Sevran - est aussi un exemple pour les jeunes, d’autres jeunes, ceux qui sont reconnaissants à la France de les avoir accueillis. Il a violemment et publiquement[1] dénoncé l’attitude de Benzema, lorsqu’il s’est permis de cracher au sol lorsqu’a retenti la Marseillaise.

    « Sur les terrains, tu traînes partout ton arrogance, ton mépris du public, de la ferveur des supporteurs, des journalistes. Sûr de toi, convaincu d’être le prochain Zidane. Et encore… Tout ça n’est que du foot. Mais il a fallu que tu commettes l’impardonnable. L’insupportable. L’insulte à la nation.

    C’était en Espagne. La Marseillaise retentit, la France rend hommage aux victimes d’un attentat. Et toi, tu craches au sol. Si tu avais fait cela en Algérie, tu serais probablement un homme mort. »

    Ceci en réponse à la déclaration d’amour de Benzema pour le pays d’origine de ses parents :

    « Parce que l’Algérie c’est mon pays, voilà, mes parents ils viennent de là-bas. Après, la France… C’est plus sportif, voilà. »

    Et Patrice Quarteron d’exprimer sa propre position dans un langage coloré:

    « Quand vous portez un drapeau d'un pays où vous ne vivez pas, on vous dit "bravo, j'adore, c'est courageux, c'est un signe d'ouverture". Quand on porte le drapeau du pays dans lequel vous vivez, où vous payez vos impôts, avec lequel vous souffrez, aimez, combattez, on vous dit : "t'es un chien, un putain de facho". Je porte mon drapeau fièrement. Et j'emmerde les fils de putes qui préfèrent se sentir Américains, Marocains, Russes, etc. tout ça parce qu'ils vont en vacances une semaine dans un autre pays et reviennent en se sentant étrangers à leur propre pays. Soyez patriotes et reconnaissants. Vous devez tout à la France. »

    La Marseillaise : hymne national ou hymne républicain ?

    N’était cette remise en cause de notre hymne national, personne ne se serait intéressé outre mesure à ses paroles, inconnues pour la plupart des Français, hormis son refrain vengeur.

    Aux armes, citoyens,

    Formez vos bataillons,

    Marchons, marchons !

    Qu'un sang impur

    Abreuve nos sillons !

    Le texte est certes fort belliqueux, de même que le sont beaucoup d’hymnes nationaux dans le monde, tel celui des Algériens, le pays chéri de Benzema, où l’on perçoit un ressentiment vis-à-vis de la France qui a pourtant tout donné à ce pays qui n’existait pas, jusqu’à son nom et sur l’héritage duquel les Algériens vivent sans rien y avoir apporté depuis 1962 :

    Ô France ! le temps des palabres est révolu

    Nous l'avons clos comme on ferme un livre

    Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes

    Prépare-toi ! voici notre réponse.

    Mais revenons à notre hymne national : aucune ligue de vertu ne s’indigne à l’énoncé de ce « sang impur », parfaite illustration du racisme le plus abject ? Non, parce que le « sang impur » est celui des peuples européens à qui la France vient de déclarer la guerre, la Bohême et la Hongrie ; donc, le même sang que celui des Révolutionnaires, qui n’est donc pas plus impur ; les prémices de l’ethnomasochisme en quelque sorte.

    La Marseillaise fut chantée la première fois rue Thubaneau, à Marseille (d’où son nom), rue célèbre pour la prolifération de ses lupanars (loin de moi l’idée d’employer l’expression triviale de Patrice Quarteron !)

    Le premier couplet est le seul encore chanté (sur les sept que compte l’hymne) :

    Allons, enfants de la Patrie,

    Le jour de gloire est arrivé !

    Contre nous de la tyrannie

    L'étendard sanglant est levé, (bis)

    Entendez-vous dans les campagnes

    Mugir ces féroces soldats ?

    Ils viennent jusque dans vos bras

    Égorger vos fils, vos compagnes !

    Les féroces soldats en question sont donc ceux à qui la Révolution vient de déclarer la guerre et qui, à cet effet, a créé l’Armée du Rhin, dont la Marseillaise, à l’origine, était destinée à en être le chant.

    Cette Armée du Rhin comprendra d’innombrables sous-armées dont les dénominations varieront au gré des regroupements décidés par les Révolutionnaires. L’armée de Meuse, Sarre et Moselle fut confiée à François-Claude de Bouillé, monarchiste fidèle au roi et qui servit donc la France révolutionnaire qui ne lui en sut pas gré car il est stigmatisé par la cinquième strophe de la Marseillaise dans laquelle il devient le complice de ceux qu’il a combattus.

    Cette incohérence s’explique par le fait qu’il sut mater, à la demande de Lafayette, une mutinerie à Nancy avec la plus grande rigueur, il en fut même félicité, dans un premier temps, par l’Assemblée révolutionnaire ; mais la part importante qu’il prit à l’organisation de la fuite du roi ne le racheta pas.

     

    Où l’on constate que les paroles de la Marseillaise composées par Rouget de Lisle s’attachent (excepté le septième couplet qui n’est pas de lui) à décrire des péripéties très marquées temporairement sans pouvoir s’élever pour les dépasser à des considérations englobant l’histoire de France dans le temps, dans l’espace et dans l’énoncé. Ces paroles restent liées à une période bien précise : la Révolution, à la guerre menée contre le roi de Bohême et de Hongrie et au régime républicain qui l’a suivie, sans accéder au statut national, au « roman national » dirait-on aujourd’hui, que l’hymne mériterait.

    On peut déplorer que le seul nom cité soit celui de Bouillé pour le vilipender alors que les noms de héros authentiques qui ont lutté pour l’indépendance de la France ne sont pas mentionnés pour les glorifier, comme celui de Vercingétorix qui sut rassembler les Gaulois contre l’envahisseur romain, comme celui de Jeanne d’Arc qui se sacrifia pour bouter les Anglais hors de notre territoire, et comme tous ceux qui firent don de leur personne à la France.

     

    Pierre-Emile Blairon

     

    [1] https://www.valeursactuelles.com/societe/le-poing-final-de-patrice-quarteron-benzema-comment-oses-tu-cracher-sur-le-pays-qui-ta-nourri-94988

  • Hautes-Alpes : « L’action des identitaires s’inscrit dans un contexte d’explosion de l’immigration dans le département, le nombre de clandestins interpellés a été multiplié par 6 entre 2016 et 2017 »

     

    11h30

    Selon les statistiques fournies par la préfecture des Hautes-Alpes, entre 2016 et 2017, le nombre de personnes en situation irrégulière interpellées dans le département par les policier a été multiplié par six. Les chiffres de ce début d’année 2018 en la matière ont d’ores et déjà dépassé les statistiques de l’ensemble de l’année 2016.

     

    Le week-end dernier, une centaine de militants du groupe Génération Identitaire​ est venue sur le col de l’Echelle pour matérialiser et « rétablir » la frontière entre la France et l’Italie, à l’aide d’une barrière en plastique. Le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a de son côté annoncé l’envoi dimanche soir de renforts de police et de gendarmerie « importants » pour « s’assurer du respect absolu du contrôle des frontières » dans les Hautes-Alpes.

    Ces actions s’inscrivent dans un contexte d’explosion du flux migratoire dans le département. Le secteur est devenu depuis peu et de manière inédite une nouvelle route de passage pour les migrants, sorte d’alternative à la frontière franco-italienne dans les Alpes-Maritimes, dans le secteur de Vintimille.

    (…)

    20minutes

  • Italie : des 538 migrants débarqués au port de Trapani, 366 ont été détectés comme infectés par la gale

     

    19h44

    Des 538 migrants débarqués aujourd’hui au port de Trapani par le navire Aquarius, 366 ont été détectés comme infectés par la gale. Après les examens médicaux effectués à quai par le personnel médical de l’Agence sanitaire provinciale, ils ont été transférés, par des moyens mis spécialement à leur disposition, à l’hotspot de Milo où seront mises en oeuvre les mesures de prophylaxie.

    (…)

    La Sicilia

    Merci à anonimo

  • “Defend Europe” : le porte-parole identitaire Romain Espino harcelé sur Twitter

     

    20h17

    Harcèlement. Le porte-parole de Génération identitaire Romain Espino subit une pression sur les réseaux sociaux depuis l’opération « Defend Europe » de samedi. Des anonymes réclament son renvoi du Crédit Agricole où il travaille. (…)
    «Les méthodes employées sont exécrables et ne servent pas le débat, confie à Valeurs actuelles le porte-parole de Génération identitaire. Ces gens avancent masqués sur les réseaux sociaux et en réalité manquent d’argument sur le fond puisque l’opinion publique est d’accord avec nous». Citant l’article 73 du code pénal qui stipule que tout citoyen témoin d’un flagrant délit peut intervenir et prévenir les forces de l’ordre, le militant assure que «la loi est de [son] côté», et que «l’attaque envers les personnes» est la seule chose qui reste à ces anonymes dépourvus d’autres arguments. (…)
    En tout cas, le militant l’assure, si jamais il doit «arrêter la banque», il aura «plus de temps pour défendre [ses] convictions».

    Valeurs Actuelles