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UE – Un vent mauvais se lève contre les élites néo-mondialistes

 

Tandis que la marionnette Macron accélère les « réformes » atlanto-mondialistes quasiment jusqu’au point de rupture de la Société française et du Contrat social, d’autres pays européens commencent à s’agacer très sérieusement de la plaisanterie européiste, dont les jours semblent désormais comptés.

  • C’est d’abord le Royaume-Uni, qui le premier a décidé de claquer la porte, profitant sans doute de son statut d’îlien et de son histoire très indépendante du continent européen : ce Brexit, qui deviendra effectif fin Mars 2019, sonne le glas de l’aventure européiste pour l’un des plus grands contributeurs nets, ce qui ne pourra que provoquer uns cascade d’impôts de plus en plus insurmontables pour les membres contributeurs restants !
  • C’est désormais l’Italie qui s’apprête à former un gouvernement euro-sceptique et qui menace de sortir de l’Euro si sa dette énorme n’est pas effacée,
  • C’est enfin l’Allemagne dont les élites économiques s’affolent face aux dettes « kolossales » accumulées au sein de l’UE, notamment par le biais des fameux Target 2, et qui réclament de plus en plus ouvertement l’instillation d’un processus de sortie de l’Euro et sans doute de sortie de l’UE pour préserver les intérêts de l’Allemagne, qui sont menacés par la mutualisation des dettes réclamée par Macron et ses puissants protecteurs atlantistes.

Bref, cette fois-ci ce ne sont pas les seconds couteaux ni les pays peu peuplés de l’UE qui tanguent très sérieusement et qui se préparent à claquer la porte, mais les grands pays contributeurs de cette gabegie historique.

Et cela change tout.

Si les élites de la France infiltrée continuent à accélérer face au mur, les opposants à la base de la pyramide s’organisent et se font de plus en plus pressants pour médiatiser le Frexit.

Aucune erreur, aucun raté ne sera désormais pardonné aux élites par les bas peuples en colère.

Au final, la pression est maximale sur les gouvernements des 4 principaux pays contributeurs de l’Europe : Allemagne, Italie, France et bien évidemment Royaume-Uni.

Ajoutons à cela les rancoeurs très fortes en Grèce et la défiance de certains pays comme la Hongrie, où les activités séditieuses et subversives du comploteur de l’ombre Soros sont désormais combattues avec détermination, et le tableau déjà sombre se noircit encore un peu plus.

Certes, le château de cartes tient encore debout grâce aux facilités monétaires décrétées par la Banque européenne et par la propagande éhontée des grands médias alignés, mais l’édifice tangue de plus en plus sérieusement et le moindre souffle un peu appuyé pourrait tout balayer.

Le peuple de France, beaucoup trop passif après la forfaiture du Parlement contre le référendum de 2005, pourrait avoir à payer le prix fort de son laxisme politique et de son angélisme euro-atlantiste.

Il était pourtant prévenu, mais comme la cigale, il a préféré chanter alors que la bise souffle de plus en plus fort.

Une bise noire, un vent mauvais, qui pourrait bientôt balayer toute la clique euro-atlantiste qui occupe l’avant-scène et les coulisses du Pyramidion, se partageant le gâteau avec les illuminations de pacotille depuis trop longtemps.

Il sera alors crucial pour le peuple de se réveiller de sa torpeur pour opérer les bons choix dans l’urgence, et ne pas replonger aveuglement dans les bras de ceux qui les auront plongés dans la ruine et le chaos.

Chassez le naturel, il revient au galop !

 

Commentaires

  • Je pense également que les jours de l'UE sont comptés. Beaucoup d'Allemands regrettent leur puissant Mark !
    Macron ne fait pas le poids pour sauver l'UE du désastre !
    Il ne faut pas retenir ce qui doit tomber, mais au contraire, l'aider à tomber !

  • par contre compter sur une éventuelle lucidité et de courage d,une partie du peuple de l,ex-France , j,ai un sérieux doute .
    salutations.

  • Nous aussi nous sommes des peuples "qui avons beaucoup souffert" depuis 50 ans maintenant et c'est bien pour cela qu'il nous faut aussi retenir les noms de tous ces "tortureurs" de l'UESS depuis Monet jusqu'à Moscovici et Junker aujourd'hui pour qu'ils ne coulent plus des jours heureux pour le reste de leur vie ou pour leur mémoire.

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