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«Le Président a été clair» : un reporter de RT France à nouveau interdit d'accès à l'Elysée
© Charles Platiau Source: Reuters
Un journaliste de RT France s'est vu privé d'accès à l'Elysée par un gendarme, sur consigne expresse de la présidence et malgré présentation de sa carte de presse. «Vous travaillez pour Russia Today, vous ne pouvez pas rentrer», lui a-t-on expliqué.
Ce 29 mai, alors qu'il se rendait à l'Elysée pour assister à la conférence internationale sur la Libye, notre reporter Kyrill Kotikov s'est vu refuser l'accès au palais présidentiel. Il était pourtant muni de sa carte de presse, comme le lui avait demandé Marion Beyret, la chargée des relations presse de l'Elysée, avec laquelle il s'était entretenu la veille au téléphone. Bloqué à l'entrée du palais présidentiel, il n'a donc pas pu couvrir l'événement. Un de ses confrères de la BBC, qui se présentait au même moment, muni lui aussi de sa carte de presse, a toutefois été admis à l'intérieur. La raison invoquée par l'Elysée : les journalistes travaillant chez RT France ne sont pas les bienvenus, selon le président de la République.
«Le Président a été clair» : un reporter de RT France à nouveau interdit d'accès à l'ElyséeLa séquence, intégralement filmée par notre reporter, permet de constater qu'après avoir refusé de s'entretenir avec lui en invoquant un manque de temps, la responsable des accréditations de l'Elysée lui a fait savoir, par l'intermédiaire d'un gendarme, qu'il s'agissait bien d'une «consigne». «Le président a été clair à ce sujet», annonce le gendarme. «Tant que c'est Russia Today, ou que vous travaillez pour Russia Today, vous ne pouvez pas rentrer», confirme-t-il. «C'est pour ça que Madame refuse la discussion», poursuit-il pour expliquer le silence de la responsable des accréditations, qui continue de lui tourner le dos sur le trottoir d'en face.
Si Emmanuel Macron a tenu des propos plus qu'optimistes quant à l'avenir des relations franco-russes au Forum économique de Saint-Pétersbourg, les journalistes de RT France ne sont toujours pas les bienvenus à l'Elysée. En effet, la justification avancée par la présidence démontre qu'elle campe toujours sur la position qu'avait adoptée Emmanuel Macron à Versailles en mai 2017, lorsqu'il avait accusé RT France d'être un «organe de propagande».
Un incident qui survient en plein débat autour de la loi anti-fake news
Ce n'est d'ailleurs pas la première fois qu'un journaliste de RT France se voit refuser l'accès au palais présidentiel malgré sa carte de presse. Ces incidents rappellent le très fort climat de défiance à l'égard de nos journalistes qui règne à l'Elysée. Après avoir dans un premier temps évoqué de prétendues «fake news», sans jamais citer d'exemple précis, l'entourage d'Emmanuel Macron a ensuite sensiblement modifié son discours . Récemment, Mounir Mahjoubi, secrétaire d'Etat au Numérique, avait finalement reconnu que RT ne relayait pas de fausses informations mais que son «état d'esprit» posait problème.
A quelques jours du début de l'examen par l'Assemblée de la loi de lutte contre les fake news annoncée par Emmanuel Macron, et dont l'exécutif ne nie pas qu'elle vise entre autres notre rédaction, cet incident interroge plus que jamais le rapport qu'Emmanuel Macron entretient avec la liberté de la presse. La veille, le président rappelait pourtant son attachement à la liberté de la presse qui n'avait, selon lui, «pas de prix».
RT
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« Le voile islamique fait partie de la France » affirme un chef du parti d’Emmanuel Macron qui veut des « femmes voilées à l’Assemblée » (vidéo)
BREIZATAO – POLITIKEREZH (25/05/2018) Lentement mais sûrement, Emmanuel Macron structure son alliance avec les islamistes, essentiellement les Frères Musulmans, en envoyant des émissaires faire voler des ballons d’essai dans les médias.
Dernier épisode en date, le député LREM du Val d’Oise Aurélien Taché a fait savoir que des femmes voilées à l’Assemblée Nationale française auraient « son soutien » car le voile islamique « fait partie de la société française » selon ce parlementaire macroniste.
Cette déclaration s’ajoute au numéro de communication orchestré à l’Elysée par Emmanuel Macron et Yassine Belattar, un proche des Frères Musulmans, autour de la réorganisation politique des zones de peuplement afro-islamique en France (lire ici).
Capter le vote musulman
Sur fond d’islamisation fulgurante de l’Hexagone – qui compte désormais près de 10 millions de musulmans – Macron entend empêcher la gauche radicale mélenchoniste de capitaliser sur le vote islamique.
Pour y parvenir, une sous-traitance des zones islamiques est donc accordée aux Frères Musulmans qui auront pour tâche, en échange de la protection du gouvernement, de soutenir électoralement Emmanuel Macron.
Ainsi se forme, progressivement, la 6ème République française : la république islamique.
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MARION MARECHAL FACE A FACE ! 28 MAI 2018
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Crise italienne : Macron salue le «courage» et la «responsabilité» du président Mattarella
Image d'illustration : Emmanuel Macron et Sergio Mattarella se serrent la main en janvier 2018Refusant catégoriquement une présence eurosceptique au ministère des Finances, le président italien a confié à Carlo Cottarelli, ancien du FMI, le soin de former un gouvernement. Le président français a tenu à féliciter son homologue italien.
Emmanuel Macron a complimenté le président italien Sergio Mattarella après que ce dernier a convoqué Carlo Cottarelli, ancien haut responsable du FMI, pour former une équipe gouvernementale après la démission de Giuseppe Conte.
Le chef de l'Etat français a ainsi déclaré : «Je redis mon amitié et mon soutien au président Mattarella qui a une tâche essentielle à mener, celle de la stabilité institutionnelle et démocratique de son pays, ce qu'il fait avec beaucoup de courage et un grand esprit de responsabilité.»
Le locataire de l'Elysée a par ailleurs tenu à rappeler que «l'Italie [était] un partenaire important pour la France sur tous les sujets», soulignant tout particulièrement l'importance de Rome «pour les projets européens».
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« Elles pourraient être encore en vie si leurs assassins (des migrants) avaient été expulsés » : le journal allemand BILD « exige des réponses des politiciens »
Déroulez pour voir les photos de toutes les malheureuses victimes des "migrants"...
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JOURNAL TVL DU 28 MAI 2018
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La censure de Facebook continue : la page « Les Identitaires » vient d’être supprimée !
Depuis mercredi 23 mai, la page Facebook « Les Identitaires », qui avait échappé à la censure jusque-là, a été supprimée par Facebook sans avertissement ni explications. Suite à l’action pacifique et symbolique de Génération Identitaire dans les Alpes, une vague de censure sur le réseau social de Mark Zuckerberg s’était abattue sur Génération Identitaire, supprimant notamment sa page Facebook et empêchant les 126 000 internautes qui y étaient abonnés de continuer à suivre son actualité.
Cette censure avait été dénoncée par des personnalités de tous bords, comme Dominique Reynié (tête de liste « Les Républicains » dans le Sud aux élections régionales de 2015) ou Nicolas Dupont-Aignan (candidat DLF aux élections présidentielles). Le 22 mai, Nicolas Bay (Président du groupe Front National au Parlement européen) a également interrogé Mark Zuckerberg lors de son audition par les députés européens à Bruxelles afin de connaître les raisons de cette censure.
Le fondateur de Facebook s’est contenté de répondre : « Nous voulons que les gens continuent de venir et d’utiliser nos services, et qu’ils partagent leurs idées politiques, quelle qu’en soit la sensibilité. […] Je peux l’affirmer devant vous aujourd’hui : nous n’avons jamais et ne prendrons jamais de décision quant au contenu qui doit être mis en avant, et ce en fonction des vues politiques qui y sont diffusées. C’est un sujet fondamental pour moi, sur lequel je suis fier de m’engager. » Le lendemain, malgré les promesses de Mark Zuckerberg, la page des Identitaires était donc supprimée alors même qu’elle se rattache à un mouvement indépendant de Génération Identitaire.
La Dilcrah (Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT) s’était félicitée de la censure des pages de Génération Identitaire, revendiquant ne pas y être pour rien. Cette collusion scandaleuse entre le pouvoir politique et un réseau social en situation de monopole révèle une dérive extrêmement inquiétante concernant la liberté d’expression. La répression pour nous faire taire n’a jamais été aussi forte depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron. Manifestations interdites, comptes twitter supprimés, pages Facebook censurées… ils peuvent tout essayer, le mouvement identitaire continuera de lutter pour notre identité et ne lâchera rien !
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