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  • Séparation des enfants de leurs parents immigrés clandestins : Trump fait marche arrière

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    © Mandel Ngan 
    Le président américain Donald Trump évoque l'immigration clandestine lors d'une réunion avec les membres du Congrès à la Maison Blanche le 20 juin 2018
     

    Après avoir affirmé que pour lutter contre l'immigration illégale, il fallait «séparer les enfants» de leurs parents clandestins, Donald Trump a signé un texte visant à éviter la séparation des familles de migrants.

    Le président américain Donald Trump a signé ce 20 juin un décret visant à éviter que ne soient séparées les familles de migrants après avoir franchi illégalement la frontière avec le Mexique.

    «Cela me tient particulièrement à cœur […] Nous n'aimons pas voir des familles séparées», a-t-il déclaré lors de la cérémonie de signature, a-t-il affirmé en signant le décret dans le Bureau ovale.

    «Nous allons avoir des frontières très fortes mais nous allons garder les familles ensemble», a encore dit le président américain qui a lui-même décrété début mai une «tolérance zéro» sur l'immigration illégale.

    «Je pense que toute personne avec un cœur régirait de la même manière», a-t-il ajouté, soulignant que sa fille Ivanka et sa femme Melania étaient montées au créneau sur ce sujet.

    L'administration américaine était sous le feu des critiques, tant au niveau national qu'international, alors que plus de 2 300 mineurs ont été séparés de leurs parents en cinq semaines.

    Donald Trump avait en effet décidé que pour lutter contre l'immigration illégale, tous les clandestins franchissant la frontière seraient désormais poursuivis au pénal. Puisque selon la loi, les mineurs ne peuvent pas être incarcérés avec leurs proches, il fallait donc séparer les adultes des enfants, argumentait le président américain.

    Donald Trump et son équipe répètaient depuis plusieurs jours qu'ils ne faisaient qu'appliquer la loi et que seule une modification de cette dernière par le Congrès permettrait de mettre fin aux séparations.

    Plus tôt, le chef des républicains à la Chambre des représentants, Paul Ryan, avait annoncé qu'il soumettrait au vote le 21 juin une loi mettant un terme aux séparations de familles de migrants franchissant illégalement la frontière et «résolvant» le statut des jeunes arrivés sans papiers aux Etats-Unis.

    RT

  • Eric Zemmour sur le baccalauréat

  • VIDEO - La séparation des familles de migrants de leurs enfants est-elle un fake?

    https://twitter.com/SanglierSympa/status/1009379661418287105?ref_src=twsrc%5Etfw&ref_url=http%3A%2F%2Fwww.fdesouche.com%2F1028007-la-separation-des-familles-de-migrants-aux-etats-unis-est-elle-une-fake-news

  • BON ANNIVERSAIRE, MONSIEUR LE PEN ! ET LONGUE VIE !

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    Jean-Marie le Pen est né le 20 juin 1928 à la Trinité-sur-Mer 

  • QUAND MAMOUDOU LE HÉROS SE MOQUE DE NOUS !

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    N’y a-t-il pas indécence à avoir regagné sa terre natale aussi vite, et en star du pays ?



    Ancien directeur des rédactions de l’Agence Gamma

     
     

    Une information est passée inaperçue, aussi m’empressé-je de vous la livrer brut de pomme, comme le veut l’expression populaire. Brut de sa brutalité, tellement elle paraît énorme !

    Le retour de notre héros national – enfin, celui de la grande presse et de tous ceux qui acclament l’épopée de l’Aquarius. Celui d’un rescapé de la Méditerranée qui a englouti tant de ses semblables.

    Je veux parler de Mamoudou Gassama, le migrant araignée.

    Samedi, après un voyage sans histoire dans le ciel méditerranéen de quelques heures, il est arrivé à Bamako – qu’il avait pourtant fui, aurait-il pu dire au Président Macron, car son pays était en guerre et qu’il y risquait sa vie tous les jours dans son petit village de Yanguiné .

    Brandie par une dizaine de groupies, entourées d’une petite centaine de jeunes, une immense toile fêtait le retour de « notre héros Mamoudou Gassama » sur l’aéroport Modibo-Keïta-Senou. La journaliste de TV5 Monde y allait, elle aussi, de ses éloges, y voyant une foule immense attendant son paladin qui n’avait pu, faute de papiers, dit-elle, revenir dans son pays depuis 2013.

    C’est donc avec de tout récents papiers français que le héros est revenu au pays. Un billet payé par qui, d’ailleurs ? Fier comme on peut l’imaginer, star d’un pays en guerre, jeune homme qui a refusé de porter l’uniforme pour défendre son pays contre les djihadistes qui tuent tous les jours ses compatriotes. Et dont, d’ailleurs, on se demande s’il ne revêtira jamais l’uniforme des sapeurs-pompiers de Paris à qui il avait rendu une visite de courtoisie sur invitation du Président Macron, et dont il avait pourtant appliqué à la lettre la devise « courage et dévouement ».

    N’y a-t-il pas indécence à avoir regagné sa terre natale aussi vite, et en star du pays ? Indécence par rapport aux 22 soldats français tombés au Mali qui sont morts pour que des Mamoudou puissent vivre, libres, dans leur pays ? Indécence par rapport au président de la République française qui doit regretter – on l’espère – à cette heure d’avoir aussi vite reçu ce migrant si empressé à regagner son pays et qui, en somme, s’est bien moqué de lui et de la France ?

    Comme tous ces Maliens venus accueillir leur héros d’un jour et pour lesquels la France envoie ses soldats affronter le terrorisme islamiste. Ne feraient-ils pas mieux d’ovationner nos soldats plutôt que de faire la fête à ce jeune migrant devenu immigré répondant, debout dans une voiture découverte, à leurs acclamations ?

    Sur le site de PressAfrik.com, un certain Moussa commente son arrivée ou son retour au pays avec ces mots crus et cruels : « C’est un connard, il rentre chez lui et apparemment il est en sécurité alors qu’il est venu demander l’asile en France donc à cause de lui on va dire que les autres aussi peuvent rentrer chez eux sans problème pour leur sécurité ! Un pauvre con africain, sans intelligence ! »

    Combien étaient réellement en danger chez eux parmi ceux qui sont sur l’Aquarius ?

    BV

  • Nouvelles lois contre l’immigration en Australie

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    20/06/2018 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Les nouvelles lois contre l’immigration pourraient décourager certains candidats à s’installer en Australie. Les nouvelles mesures consistent en une exigence de connaître l’anglais et en une baisse sensible des aides sociales.

    L’année dernière l’Australie avait adopté toute une série de mesures pour faire baisser l’immigration, ce qui avait eu pour conséquence 138.086 entrées pour l’année 2017-18, le chiffre le plus bas depuis dix ans.

    Les candidats à la naturalisation devront prouver un emploi réel et stable dans le pays. Le ministre de l’Intérieur Michael Pezzullo a dit que les mécanismes de contrôle étaient rendus plus efficaces grâce à la fusion des données des différents services de l’Etat.

  • JOURNAL TVL DU 20 JUIN 2018