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  • JOURNAL TVL 26 JUIN 2018

  • JOURNAL TVL 26/06/18

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  • Paris : Elle fait découvrir la rue Jean-Pierre Timbaud à ses enfants

     

  • Viktor Orbán : « Nous pouvons vous offrir tout le soutien nécessaire pour la réémigration. L’Islam ne fera jamais partie de l’identité des pays européens »

     

    19h44

    À l’occasion du premier anniversaire de la mort d’Helmut Kohl, le Premier ministre hongrois Victor Orbán a délivré le 16 juin dernier un discours crucial. Avec Shahin Vallée, nous croyons qu’il marquera le débat de la prochaine année électorale européenne. Orbán revendique pour son mouvement une place centrale dans la conception du néo-nationalisme européen, et sa position doit être comprise.

    (…) Nous souhaitons donc traduire en exclusivité ce texte important qui inaugure la bataille politique et culturelle des élections européennes de 2019.

    « (…) Abordons désormais la question de la frontière et de la clôture. Nous devons défendre la frontière extérieure. C’est la condition préalable à la libre circulation au sein des frontières. La défense de la frontière fait partie des “devoirs-obligatoires”. (…) Nous avons constaté que la position de la Hongrie, jadis condamnée, est désormais de plus en plus acceptée. Nous n’attendons pas de remerciements auxquels nous ne sommes pas habitués. Nous ne jubilerons pas non plus. Il n’est pas agréable de constater que la valeur de la monnaie de certains a baissé après trois années de crise, tandis que la nôtre l’a fait immédiatement. »

    « Peut-on atteindre un compromis dans le débat sur les migrants ? Non – et ce n’est pas nécessaire. Il y a ceux qui s’imaginent que chaque partie adverse devrait faire des concessions, qu’ils devraient discuter puis se serrer la main. C’est une mauvaise approche. Certaines questions ne pourront pas aboutir à un consensus. Cela n’arrivera pas, et ce n’est pas nécessaire. L’immigration est l’une de ces questions. Aucun document ne stipule que l’entrée d’un pays dans l’Union européenne implique que ce dernier devienne une terre d’immigration. Lorsque nous sommes entrés, nous n’avons pris aucun engagement de ce genre. Il est également vrai que les documents fondateurs de l’Union européenne ne déclarent pas qu’un État-membre ne puisse pas chercher à se transformer en pays d’immigration. C’est pourquoi il y a des pays d’immigration dans l’UE, où les migrants sont les bienvenus, où les populations locales veulent bien les intégrer et se mélanger avec eux. Il y a aussi des pays qui ne veulent pas de migrants, qui ne veulent pas se mélanger avec eux, et où leur intégration est donc hors de question.»

    « Dans de telles situations, il n’y a pas besoin de compromis, mais de tolérance. Nous tolérons que certains États-membres de l’espace Schengen admettent des migrants. Cela a et aura des conséquences – y compris pour nous. De même, ils devraient tolérer le fait que nous ne voulons pas le faire. Ils ne devraient pas nous sermonner, ils ne devraient pas nous faire chanter, ils ne devraient pas nous forcer, mais ils devraient simplement nous donner le respect propre aux États-membres ; puis il y aura la paix sur le Mont des Oliviers. »

    « (…) L’avenir de l’Union européenne dépend de sa capacité à défendre ses frontières extérieures. C’est la prochaine question qui se pose pour l’avenir de l’UE. Si nous défendons nos frontières, le débat sur la répartition des migrants n’a plus de sens, car ils ne pourront plus entrer. S’ils ne peuvent pas entrer, il n’y a personne à répartir. C’est simplement du bon sens. Et si nous suivons cette ligne de conduite, la seule question est de savoir ce que nous devons faire de ceux qui sont déjà entrés. Notre réponse à cette question est qu’ils ne devraient pas être répartis, mais qu’ils devraient être ramenés chez eux. »

    « (…) Nous pouvons vous offrir tout le soutien nécessaire pour la réémigration. Depuis longtemps, nous disons qu’il faut exporter de l’aide et non pas importer des problèmes. Nous pouvons également donner des conseils à toute personne qui en fait la demande. Il y a un conseil que nous pouvons également donner qui provient de l’expérience historique de la Hongrie : chacun doit se rendre compte que l’Islam ne fera jamais partie de l’identité des pays européens. »

    (…) Legrandcontinent.eu

  • Viktor Orbán : « Nous pouvons vous offrir tout le soutien nécessaire pour la réémigration. L’Islam ne fera jamais partie de l’identité des pays européens »

     

    19h44

    À l’occasion du premier anniversaire de la mort d’Helmut Kohl, le Premier ministre hongrois Victor Orbán a délivré le 16 juin dernier un discours crucial. Avec Shahin Vallée, nous croyons qu’il marquera le débat de la prochaine année électorale européenne. Orbán revendique pour son mouvement une place centrale dans la conception du néo-nationalisme européen, et sa position doit être comprise.

    (…) Nous souhaitons donc traduire en exclusivité ce texte important qui inaugure la bataille politique et culturelle des élections européennes de 2019.

    « (…) Abordons désormais la question de la frontière et de la clôture. Nous devons défendre la frontière extérieure. C’est la condition préalable à la libre circulation au sein des frontières. La défense de la frontière fait partie des “devoirs-obligatoires”. (…) Nous avons constaté que la position de la Hongrie, jadis condamnée, est désormais de plus en plus acceptée. Nous n’attendons pas de remerciements auxquels nous ne sommes pas habitués. Nous ne jubilerons pas non plus. Il n’est pas agréable de constater que la valeur de la monnaie de certains a baissé après trois années de crise, tandis que la nôtre l’a fait immédiatement. »

    « Peut-on atteindre un compromis dans le débat sur les migrants ? Non – et ce n’est pas nécessaire. Il y a ceux qui s’imaginent que chaque partie adverse devrait faire des concessions, qu’ils devraient discuter puis se serrer la main. C’est une mauvaise approche. Certaines questions ne pourront pas aboutir à un consensus. Cela n’arrivera pas, et ce n’est pas nécessaire. L’immigration est l’une de ces questions. Aucun document ne stipule que l’entrée d’un pays dans l’Union européenne implique que ce dernier devienne une terre d’immigration. Lorsque nous sommes entrés, nous n’avons pris aucun engagement de ce genre. Il est également vrai que les documents fondateurs de l’Union européenne ne déclarent pas qu’un État-membre ne puisse pas chercher à se transformer en pays d’immigration. C’est pourquoi il y a des pays d’immigration dans l’UE, où les migrants sont les bienvenus, où les populations locales veulent bien les intégrer et se mélanger avec eux. Il y a aussi des pays qui ne veulent pas de migrants, qui ne veulent pas se mélanger avec eux, et où leur intégration est donc hors de question.»

    « Dans de telles situations, il n’y a pas besoin de compromis, mais de tolérance. Nous tolérons que certains États-membres de l’espace Schengen admettent des migrants. Cela a et aura des conséquences – y compris pour nous. De même, ils devraient tolérer le fait que nous ne voulons pas le faire. Ils ne devraient pas nous sermonner, ils ne devraient pas nous faire chanter, ils ne devraient pas nous forcer, mais ils devraient simplement nous donner le respect propre aux États-membres ; puis il y aura la paix sur le Mont des Oliviers. »

    « (…) L’avenir de l’Union européenne dépend de sa capacité à défendre ses frontières extérieures. C’est la prochaine question qui se pose pour l’avenir de l’UE. Si nous défendons nos frontières, le débat sur la répartition des migrants n’a plus de sens, car ils ne pourront plus entrer. S’ils ne peuvent pas entrer, il n’y a personne à répartir. C’est simplement du bon sens. Et si nous suivons cette ligne de conduite, la seule question est de savoir ce que nous devons faire de ceux qui sont déjà entrés. Notre réponse à cette question est qu’ils ne devraient pas être répartis, mais qu’ils devraient être ramenés chez eux. »

    « (…) Nous pouvons vous offrir tout le soutien nécessaire pour la réémigration. Depuis longtemps, nous disons qu’il faut exporter de l’aide et non pas importer des problèmes. Nous pouvons également donner des conseils à toute personne qui en fait la demande. Il y a un conseil que nous pouvons également donner qui provient de l’expérience historique de la Hongrie : chacun doit se rendre compte que l’Islam ne fera jamais partie de l’identité des pays européens. »

    (…) Legrandcontinent.eu

  • Le déclin de la France

  • PERSONNE N’AVAIT DONC PENSÉ À VÉRIFIER CE QUI ALLAIT ÊTRE CHANTÉ À L’ÉLYSÉE ?

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    Des paroles vraiment « adorables », fraîches et primesautières : « Ne t’assieds pas, salope, s’il te plaît »…« Danse, enc… de ta mère, danse »…

    Ecrivain, journaliste
     
    Son blog
     
     

    Sur le compte Twitter de l’émission « Quotidien », présentée par Yann Barthès sur TMC, on peut lire la petite phrase espiègle suivante : « Hier, il y avait une grosse soirée pour la Fête de la Musique, et on a adoré traduire certaines paroles qui ont résonné dans le palais présidentiel. »

    C’est vrai que c’est le mot qui convient, des paroles vraiment « adorables », fraîches et primesautières : « Ce soir, brûlons cette maison, brûlons-la complètement » (L’Élysée ?), « Les femmes et la beuh »« Ne t’assieds pas, salope, s’il te plaît » (le monsieur qui chante est poli, mais plutôt sur la fin, c’est mieux que rien), « Danse, enc… de ta mère, danse »« Je suis avec six mannequins »« T’es vénère parce que je me suis fait sucer la b… et lécher les c… » Mais qui tutoie-t-il en cette soirée du 21 juin ? Sûrement pas le maître des lieux, que l’on sait, depuis deux jours, chiffonné par le simple diminutif « Manu »… mais qui n’a, semble-t-il, pas jugé utile de remettre dans l’axe sèchement, comme il en a le secret, les chanteurs aux propos violents, sexistes, grossiers et faisant l’apologie de la drogue. À moins qu’Emmanuel Macron ne comprenne pas l’anglais ? Ou que seuls les porcs francophones méritent d’être balancés ? Ou bien encore, comme Michel Sardou, trouve-t-il tellement plus mignon de se faire traiter de c… en chantant ?

    Et dire que l’on disait qu’au moins, celui-ci, avec sa classe et sa distinction naturelles, habitait la fonction présidentielle. Et dire que l’on prétendait qu’il verrouillait tout, contrôlait tout, orchestrait tout au millimètre près… La précaution qu’aurait prise le moindre des patrons de PME pour son spectacle de Noël, le plus obscur petit maire conviant ses administrés à la fête du village, il l’a donc négligée ? Il n’a donc confié à personne la mission de vérifier la décence des propos des artistes invités ? Ou bien va-t-on prétendre, comme pour Médine, qu’il ne faut voir là que du quatrième degré et qu’il s’agit, au contraire, d’une ode pudique à la féminité et aux valeurs citoyennes ?

    En ce lendemain de fête de la Musique, exit Macron, bienvenue Mallande ou Hocron. L’un avait été plombé par Leonarda, l’autre risque bien de traîner longtemps sa surréaliste fiesta.

    BV

    IGNOBLE,  DEVANT LE DRAPEAU !