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  • JOURNAL TVL Vendredi 06/07/2018

  • Huit mois de prison ferme requis contre le chef des identitaires lillois pour une bagarre

     

    21h22

    Fondateur du bar la Citadelle, chef du mouvement Génération Identitaire dans le Nord, Aurélien Verhassel était jugé ce mardi après-midi pour une bagarre à Masséna-Solférino en juillet 2015. Un affrontement apolitique, mais aussi bref que violent.

    Que s’est-il passé le 12 juillet 2015, au petit matin ? Rue Nationale, Ouassim et Zakaria dégustent une pizza. Deux hommes débouchent de la rue Masséna. Quelques minutes plus tard, les convives sont groggy et en sang. La police rattrapera très vite le duo, dont Aurélien Verhassel. Cet habitué des nuits lilloises, 31 ans à l’époque, est surtout le chef du mouvement Génération Identitaire Flandre-Artois-Hainaut. Un an plus tard, il ouvrira le bar associatif la Citadelle dont l’inauguration sera saluée à coup de manifestations antiracistes.[…]

    La voix du Nord

    Aurélien Verhassel@A_Verhassel
     
     

    8 mois ferme pour avoir défendu mon honneur face à 2 racailles... http://www.lavoixdunord.fr/409570/article/2018-07-03/huit-mois-de-prison-ferme-requis-contre-le-chef-des-identitaires-lillois-pour 

    La Voix du Nord

    Huit mois de prison ferme requis contre le chef des identitaires lillois pour une bagarre

    Fondateur du bar la Citadelle, chef du mouvement Génération Identitaire dans le Nor...

    lavoixdunord.fr
  • Les Pays-Bas votent l'interdiction de la burqa

  • Omar Sy arrêté par la police après avoir insulté un agent SNCF (Màj : Selon la SNCF, l’acteur n’a traité personne de « petite bite »)

     

    15h42

    05/07/2018

    Hier, mercredi 4 juillet, l’acteur Omar Sy a fait les gros titres de la presse. En cause, une supposée insulte de l’ancien acolyte de Fred Testot à un agent de la SNCF, qui aurait conduit à son arrestation alors qu’il s’apprêtait à embarquer dans un train à la Gare de Lyon. Selon Closer, le comédien avait été arrêté par les policiers de la surveillance ferroviaire pour « outrage à agent ».

    Groupe SNCF
     
    @GroupeSNCF
     
     

    1/2 La regrette vivement que les échanges un peu vifs survenus cet après-midi en Gare de Paris Lyon entre M. @OmarSy et un de ses agents fassent l'objet d'un traitement médiatique fondé sur l'exagération des faits et sur des propos que M. Omar Sy n'a jamais tenus. 1/2

    CNEWS
     
    @CNEWS
     

    #OmarSy interpellé pour avoir traité un contrôleur SNCF de «petite b***» https://bit.ly/2u6yeqN 

    Voir l'image sur Twitter
     

     

    Groupe SNCF
     
    @GroupeSNCF
     

    1/2 La regrette vivement que les échanges un peu vifs survenus cet après-midi en Gare de Paris Lyon entre M. @OmarSy et un de ses agents fassent l'objet d'un traitement médiatique fondé sur l'exagération des faits et sur des propos que M. Omar Sy n'a jamais tenus. 1/2 https://twitter.com/cnews/status/1014557775727398913 

    Groupe SNCF
     
    @GroupeSNCF
     

    2/2 comme l’a confirmé l’agent SNCF auprès de sa hiérarchie.
    Cet incident est clos et M. @OmarSy a pu poursuivre son voyage.

     

     

    L’information a été démentie par la SNCF, qui a apporté plus de précisions concernant cet incident. Car oui, il y a bien eu un incident entre le comédien d’Intouchables et l’un des agents de l’entreprise ferroviaire. Interrogé par sa hiérarchie, l’agent impliqué dans le différend avec l’acteur a par contre formellement nié avoir été insulté par ce dernier. Sur Twitter, la Société nationale des chemins de fer français a simplement évoqué des « échanges un peu vifs ».

    Voici


    04/07/2018

    Il aurait traité un agent SNCF de « petite bite »: l’acteur Omar Sy a été arrêté ce mercredi 4 juillet à la gare de Lyon, à Paris, pour « outrage à agent », selon Closer.
    (…)

    Le comédien, qui avait reçu un César pour le film « Intouchables », en 2011, serait monté dans un train avec sept bagages. Lorsque des contrôleurs sont venus lui dire qu’il ne pouvait emporter que trois valises avec lui, ils lui ont rappelé qu’il y avait « d’autres voyageurs ».
    (…)

    Il l’aurait ensuite légèrement bousculé afin de monter dans le train, avant d’être arrêté par la police. On ignore si le contrôleur bousculé et insulté va porter plainte.

    Le Dauphiné

  • ALGERIE FERIES

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  • Macron dépassé par la Hongrie d’Orban, par Ivan Rioufol

    Viktor-Orban-600x450.png

     

     
     
     
     

     

    Le sol se dérobe sous Emmanuel Macron et Angela Merkel. Leurs voix ne portent plus, à force de rester dans l’entre-soi des encouragements mutuels. La chancelière est, ce lundi, à la merci de son ministre de l’intérieur, Horst Seehofer (CSU) : il menace de faire éclater l’alliance historique (1949) avec la CDU s’il n’obtient pas d’ici mercredi des engagements sur un revirement de la politique migratoire. Lors de l’émouvant hommage rendu, dimanche, à Simone Veil avant son entrée au Panthéon avec son mari Antoine, le président a évoqué “les vents mauvais (qui) à nouveau se lèvent”. Macron visait-là les mouvements populistes.

    Or, ce sont eux qui résistent au nouvel antisémitisme porté par l’islam politique en Europe. La “France des collabos”, évoquée par Macron pour se réhausser, est aujourd’hui celle qui se tait ou pactise devant la “peste verte”. Dans une note confidentielle écrite il y a deux semaines, l’ambassadeur de France en Hongrie, Eric Fournier, a fustigé “la presse française et anglosaxonne” : le diplomate soupçonne les médias, qui accusent la Hongrie d’antisémitisme, de vouloir détourner l’attention du “véritable antisémitisme moderne”, celui des “musulmans de France et d’Allemagne”. Pour avoir osé écrire cette vérité interdite, l’ambassadeur a été limogé samedi par Macron. Parlant de Orban le 15 avril lors d’un entretien télévisé, le chef de l’Etat avait déjà dit : “Je ne partage rien de ses valeurs”. Mais c’est le premier ministre hongrois qui trouve, de plus en plus, l’écoute de ceux qui s’inquiètent de leur survie dans un monde ouvert et relativiste.

    Le 15 mars, Orban a déclaré ceci, en désignant Bruxelles et les mondialistes : “Ils veulent qu’en quelques décennies, de notre propre gré, nous donnions notre pays à d’autres : des étrangers venus d’autres coins du monde, qui ne parlent pas notre langue, ne respectent pas notre culture, nos lois ni nos modes de vie, qui veulent remplacer les nôtres par les leurs (…) Bruxelles ne défend pas l’Europe (…) Nous avons renvoyé le sultan et ses janissaires, nous avons renvoyé l’Empereur Habsbourg et ses soldats, les Soviets et leurs camarades et maintenant nous allons renvoyer George Soros et ses réseaux. Nous lui demandons de retourner en Amérique“.

    Au prétexte que Soros est Juif, le procès en antisémitisme est ouvert contre Orban par ceux qui ne veulent surtout pas l’entendre. Or c’est Orban qui, en avril dernier, a déclaré à l’adresse de Benyamin Netanyahou, premier ministre d’Israël et soutien du Hongrois : “La Hongrie fera preuve de tolérance zéro contre l’antisémitisme (…) La Hongrie a commis un crime durant la seconde guerre mondiale en échouant à protéger les Juifs, mais cela n’arrivera plus”. En considérant la Hongrie comme un “modèle” dans sa “gestion des mouvements migratoires illégaux”, l’ambassadeur Fournier n’a certes pas craint d’aller à contre-courant du récit macronien. La réponse brutale du chef de l’Etat est conforme à ce qu’il a déjà montré de son autoritarisme mal venu. Mais c’est lui, Macron, qui est en train de perdre pied.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 2 juillet 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol