PEINE DE MORT Dans une requête devant la Cour suprême, ses avocats avaient contesté le protocole d’injection létale qui contient le puissant sédatif controversé midazolam…
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C’était la première exécution dans cet Etat du sud des Etats-Unis depuis 2009. Un Américain reconnu coupable du viol et du meurtre d’une enfant a été exécuté jeudi dans le Tennessee à l’aide d’un cocktail létal controversé, après que la Cour suprême a rejeté un recours de ses avocats.
« Je voudrais juste dire que je suis vraiment désolé. Et c’est… c’est tout », a dit Billy Ray Irick, 59 ans, avant de se voir administrer l’injection mortelle à Nashville. Il avait été condamné en 1986 pour le viol et le meurtre d’une enfant de sept ans, Paula Dyer. Ses avocats avaient plaidé un passif de grave maladie mentale.
Commentaires
Un immonde salopard en moins ! Voilà la seule réponse d'une justice saine au pire des crimes !
Quand on pense que le fumier, le mal absolu qu'est Bergoglio a fait inscrire début août de cette année dans le catéchisme l'interdiction de la peine de mort qui est selon lui " inadmissible " car elle " blesse la dignité personnelle " et qu'il veut une " interdiction mondiale " de la peine de mort....
justice est faite ! Les américains, au moins dans certains états, savent protéger la vie des enfants.
Justice est faite .
salutations.