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  • Paris : la ministre Françoise Nyssen de nouveau épinglée pour des travaux non déclarés dans un immeuble classé

     

    13h25

    En 2012, elle aurait fait agrandir de 150 mètres carrés les locaux parisiens de la maison d’édition Actes Sud, dont elle était la présidente, sans en informer la mairie de Paris ou le fisc, selon « Le Canard enchaîné ».

    Les faits remontent à 2012. La directrice de la maison d’édition et son mari, Jean-Paul Capitani, deviennent propriétaires des locaux parisiens d’Actes Sud, situés dans le très chic quartier de Saint-Germain-des-Prés, par l’intermédiaire d’une SCI nommée Séguier. Le couple décide alors d’agrandir l’hôtel particulier de 321 mètres carrés, en ajoutant plusieurs mezzanines et escaliers sous le plafond de 4,60 mètres de hauteur.

    Problème : « dans les archives de la Direction de l’urbanisme de la mairie de Paris, pas la moindre trace de dépôt d’une demande d’autorisation de bâtir« , obligatoire pour tout agrandissement supérieur à 20 mètres carrés, relève Le Canard Enchaîné. Les travaux du bâtiment, classé monument historique depuis 1926, auraient également dû nécessiter l’accord des Bâtiments de France et de l’architecte en chef des Monuments historiques.

    L’hebdomadaire assure enfin que l’agrandissement de 150 mètres carrés n’a pas été déclaré à l’administration fiscale, permettant à la SCI Séguier d’économiser un tiers de la cotisation foncière des entreprises, mais aussi la taxe sur la création de nouvelles surfaces (au moins 50 000 euros) et une seconde taxe de 2 500 euros annuels. […]

    francetvinfo

  • Une centaine de migrants pénètrent de force à Ceuta, des gardes civils blessés à l'acide (VIDEO)

     

    Une centaine de migrants pénètrent de force à Ceuta, des gardes civils blessés à l'acide (VIDEO)   © FADEL SENNA Source: AFP
    Des migrants subsahariens regardent l'enclave espagnole de Ceuta depuis le Maroc, le 5 juillet 2018 (Image d'illustration.)
     

    Au moins 115 migrants subsahariens ont franchi ce 22 août la double clôture séparant le Maroc de l'enclave espagnole de Ceuta. Selon les autorités espagnoles, sept gardes civils ont été blessés par des brûlures à la chaux et à l'acide.

    Les autorités espagnoles ont annoncé qu’au moins 115 migrants ont réussi, ce 22 août vers 9h (heure locale), à franchir la barrière de six mètres de haut séparant le Maroc et Ceuta, une des deux enclaves espagnoles situées dans le royaume chérifien. 

    Dans une déclaration à l’AFP, le porte-parole de la préfecture a précisé que sept garde-frontières avaient été «légèrement» blessés suite à des brûlures d’acide et de chaux lancés par les migrants.

    Quelques heures après l’incident, le chef du gouvernement espagnole Pedro Sanchez a adressé sur Twitter un message de soutien aux forces de l’ordre : «Tout mon soutien aux forces de l'ordre qui affrontent de manière exemplaire le défi migratoire, en particulier aux agents blessés aujourd'hui [ce 22 août].»

    Ce n'est pas la première fois que Ceuta est le théâtre de tels incidents. Le 26 juillet dernier, des centaines de migrants (plus de 700 selon les différentes agences de presse) armés de bâtons et de bombes aérosols faisant office de lance-flammes artisanaux, avaient pris d'assaut la barrière. Plus d'une centaine de migrants et une quinzaine de garde-frontières avaient alors été blessés durant les affrontements. 

    Selon l’Organisation internationale pour les migration (OIM), 3 100 migrants sont parvenus à entrer illégalement à Ceuta et Melilla, l’autre enclave espagnole située en territoire marocain. 

    Lire aussi : Armés de bâtons, plus de 700 migrants prennent d'assaut la frontière espagnole à Ceuta (VIDEOS)

  • JOURNAL TVL 21 AOUT 2018