INFO MÉTROPOLITAIN. Un courageux commerçant du boulevard du Jeu de Paume, à Montpellier a neutralisé trois mineurs âgés de 13 ans pour deux d’entre-eux et de 15 ans, samedi après-midi en les coursant au guidon de son scooter. Des scènes surréalistes dignes d’un polar vécues par des centaines de témoins.
(…) « J’ai entendu des cris de femmes et j’ai aperçu deux dames de 50 à 60 ans courir dans le hall d’un immeuble poursuivies par trois jeunes. Le trio est ressorti et a détalé, après avoir arraché le collier en or autour du cou de l’une des victimes. »
(…) Pour l’anecdote, les deux femmes agressées revenaient du rassemblement organisé sur la place de la Comédie en faveur du bateau des migrants Aquarius. Et elles ont croisé le chemin des trois arracheurs de colliers en or : des mineurs étrangers de 13 et 15 ans non accompagnés…
(Merci à Auréliane et Bruno)
On ne va pas les plaindre...
Commentaires
C'est ce qu'on appelle une justice immanente ! Dommage qu'elles n'aient pas reçu une leçon bien méritée ! Mais de toute manière, elles n'auraient pas tiré l' enseignement de leur engagement au service des envahisseurs!
Celui qui affirma ' je crois parce que c'est absurde " était profond psychologue . Les faits ne prouvent rien à qui est imbu de la doxa antiraciste Démenti constamment , ce credo est invincible . Tous les hommes ne sont-ils pas égaux ? Cette vérité , mille et mille fois controuvée , s'impose auprès des imbéciles .
L'Occident paraît en proie à une névrose de masse entretenue par se's pires ennemis , ceux qu'il héberge en son sein . Les humiliations qui lui sont imposées annoncent sa mise à mort .
Mieux vaut respirer un autre air . Allez à l'Est et préparez-y l'hypothétique Reconquista .
dommage , elles ont eu de la chance que cet homme courageux soit venu à leurs secours , car sachant leur sympathie de collabo , je les aurai volontiers laisser se faire dépouiller par leurs petits protégés.
retour de la réalité en pleine poire , pas sûres que ces deux cruches changent d,avis sur la question.
salutations.
On est toujours puni par là où on a pécher.