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  • Le faux plafond d’une école primaire s’effondre sur les élèves à Carpentras

     

    >Faits divers|Le Parisien|06 novembre 2018, 19h18|0

    Les pompiers sont intervenus dans une école dont le plafond s’était effondré. LP/O.B.
     
     

    Six enfants en classe de CM2 ont été blessés.

    Le plan « nombreuses victimes » a été déclenché par les pompiers ce mardi en fin de journée, selon les informations de La Provence. Le faux plafond de l’école Nord de Carpentras (Vaucluse) s’est en effet effondré faisant plusieurs blessés parmi les écoliers.

    Vers 15 heures, le faux plafond d’une salle de classe de CM2 où se trouvaient 22 enfants et deux adultes a commencé à s’écrouler. Six enfants ont été blessés, selon les informations de France Bleu. Les blessures sont légères, des égratignures, précise la radio. Le faux plafond n’était pas composé de matière rigide.

    Des ambulances et des infirmiers ont été dépêchés sur place. Le niveau 1 du plan Novi (nombreuses victimes) a été déclenché. Une cellule psychologique a été ouverte.

    Une expertise devrait avoir lieu. Les pluies importantes des dernières heures ne seraient pas en cause. Le bâtiment est fermé dans l’attente de l’expertise.

     

  • Effondrement d’immeubles à Marseille : un 4e corps retrouvé dans les décombres

     

    >Faits divers|Victor Fortunato avec AFP|06 novembre 2018, 8h34|MAJ : 06 novembre 2018, 20h36|21
     
     

    Deux immeubles insalubres se sont écroulés dans le quartier populaire de Noailles lundi. Les marins-pompiers poursuivent leurs recherches des victimes dans les gravats.

    Les corps de quatre personnes ont été retrouvés sous les décombres des immeubles vétustes qui se sont effondrés la veilledans le centre-ville de Marseille.

    Le corps d’une quatrième victime, une femme, a été découvert ce mardi sous les décombres, a annoncé le procureur Xavier Tarabeux. Le corps de deux hommes et celui d’une autre femme avaient déjà été retrouvés par les secours dans la journée dans les ruines de ces immeubles du quartier très populaire de Noailles. Au total, selon les autorités, 5 à 8 personnes pourraient avoir été ensevelies sous les gravats.

     

     

    Effondrement d’immeubles à Marseille : un corps retrouvé
     

     

    Mardi, les 80 pompiers et 120 policiers sur place poursuivaient le déblaiement, sous les gravats des deux bâtiments. Ils sont déblayés « minutieusement », « à la pelle » selon Christophe Castaner, le ministre de l’Intérieur également sur place.

    Christophe Castaner explique : « Ce qui compte c’est l’urgence et de sauver des vies ». Le ministre de l’Intérieur poursuit : « Les marins-pompiers ont détecté des poches de survie lors de leur travail de déblaiement. Ils tentent de retrouver des personnes encore vivantes et de sauver des vies ».

    Il ajoute : « L’expérience montre que jusqu’à 3 jours s’il y a des poches de survie il y a des possibilités ». « On a encore de l’espoir même si l’espoir est faible. Des poches de vie peuvent encore être présentes », confirme à la mi-journée le capitaine de frégate Samuel, commandant des opérations de secours du Bataillon des marins-pompiers de Marseille.

     

    Marseille : deux immeubles s’effondrent en plein centre-ville
     

     

    Interrogé sur l’état du parc immobilier à Marseille, Christophe Castaner estimé que « le temps de la polémique appartiendra à ceux qui veulent la faire ». Selon lui, il existe à Marseille « 6 000 copropriétés indignes ».

    L’immeuble numéro 65 rue d’Aubagne avait fait l’objet d’une visite d’expert agréé auprès du tribunal le 18 octobre mais ce dernier « n’avait pas requis l’interdiction d’habiter », a rappelé le ministre. Les deux immeubles mitoyens qui se sont aussi écroulés, au 63 et au 67, étaient en revanche murés et théoriquement inhabitables.

    Toute la nuit et encore ce mardi, alternant les travaux avec une imposante grue, une pelleteuse ou à mains nues, les secours ont continué à fouiller les décombres, un amas d’une profondeur de 15 m. Régulièrement, des chiens inspectaient également la zone, à la recherche d’éventuelles victimes.

    Le Parisien

  • R-Uni : une porte-parole du parti travailliste dans la tourmente après avoir promu son fils délinquant au rémunérateur poste de chef de son équipe. Elle accuse ses détracteurs de racisme.

     

    11h49

    Une député travailliste de premier plan, dont le fils a été reconnu coupable d’avoir fait entrer clandestinement des milliers d’euros de drogue dans un festival de musique, lui a offert une promotion.

    Kate Osamor, 50 ans, porte-parole de l’opposition en matière de développement international, fait maintenant l’objet d’une enquête sur son refus de congédier son fils de son poste au sein de son bureau parlementaire.

    Ishmael Osamor, 29 ans, a plaidé coupable à l’accusation d’avoir près de 3000€ de drogue avec l’intention d’approvisionner le Bestival dans le Dorset l’an dernier.

    Mais sa mère a résisté aux pressions pour qu’on le retire de son emploi, financé par les contribuables, à la Chambre des communes. Il a même été promu chef d’équipe par sa mère.

    Hier soir, les travailleurs ont refusé de dire s’il s’était vu confier ce nouveau rôle – qui est assorti d’un salaire pouvant atteindre 57 000€ – avant ou après son arrestation en septembre dernier.

    NdB: Quelle rigolade!!! 

     

     

  • Allemagne : un ex-garde d’un camp nazi jugé à 94 ans

     

    >Faits divers|Le Parisien avec AFP|06 novembre 2018, 13h56|4
    Münster (Allemagne), mardi 6 novembre 2018. Un officier de justice aide l’ancien garde d’un camp nazi qui arrive en fauteuil roulant au tribunal. 
     

    L’accusé, âgé de 18 et 20 ans au moment des faits, est jugé en tant que mineur pour avoir occupé des fonctions de garde à Stutthof au moment où des centaines de personnes y étaient assassinées.

    Un ancien garde du camp de concentration nazi de Stutthof, âgé de 94 ans, comparaît depuis mardi à Münster en Allemagne pour complicité de centaines de meurtres. Un procès tardif mais hautement symbolique et important pour les descendants des victimes.

    Cet Allemand vivant à Münster est accusé d’avoir servi à plusieurs reprises, entre juin 1942 et septembre 1944, dans ce camp situé à quarante kilomètres de Gdansk. Le parquet n’a pas divulgué son identité mais selon le quotidien Die Welt, il s’agit d’un paysagiste à la retraite prénommé Johann.

     

    Il est arrivé devant la cour en fauteuil roulant, un bob sur la tête et une canne à la main. Face à lui aussi, les représentants de 17 parties civiles.

    L’accusé, âgé de 18 et 20 ans au moment des faits, est jugé en tant que mineur pour avoir occupé des fonctions de garde à Stutthof au moment où des centaines de personnes y étaient assassinées. « A Stutthof, toutes les manières de tuer ou presque ont été employées », a dit à la presse le procureur de Dortmund Andreas Brendel.

    Selon l’accusation, l’accusé en ayant connaissance de ces exactions s’est rendu complice de centaines de morts. Selon Die Welt, le nonagénaire a nié devant la police en août 2017 avoir su que des atrocités étaient commises, affirmant notamment que les soldats souffraient aussi du manque de nourriture.

    65 000 morts sur les 110 000 déportés

    A Stutthof, premier camp de concentration établi en dehors du territoire allemand fin 1939, 65 000 personnes sur les quelque 110 000 déportés périrent.

    Gardé par des SS et des auxiliaires ukrainiens, il a d’abord servi à la détention de prisonniers de guerre et opposants polonais, norvégiens ou danois avant que des Juifs des pays baltes et de Pologne, essentiellement des femmes, y soient déportés à partir de 1944 dans le cadre de la « solution finale » nazie.

    « Je suis très reconnaissant de la tenue de ce procès, personne dans ma famille n’a cru que des poursuites étaient possibles. Pour moi qui suis de la troisième génération c’est très important », se félicite Ben Cohen, petit-fils d’une déportée rescapée du camp, Judy Meisel.

    Les 14 audiences prévues jusqu’à janvier seront limitées à deux heures chacune afin de ménager le nonagénaire. A l’origine, un second ex-garde SS de 93 ans aurait dû être jugé mais son aptitude à comparaître fait encore l’objet d’expertises.

    L’accusé encourt un maximum de 15 ans de prison mais une peine aussi lourde est peu probable.

    Plusieurs anciens SS condamnés

    « Les (parties civiles) ne cherchent pas à ce qu’un vieil homme de 94 ans aille en prison, mais veulent que justice soit rendue, même si ce n’est que de façon très partielle », note Onur Özata, avocat de deux victimes originaires de Lettonie et de Lituanie dont « toute la famille a été assassinée ».

    « Pour les proches et les victimes des crimes du national-socialisme, l’Allemagne se doit d’enquêter encore aujourd’hui sur ces faits et de poursuivre ces délits », martèle le procureur Brendel.

    Après des décennies marquées par l’absence de pugnacité en la matière, l’Allemagne a condamné ces dernières années plusieurs anciens SS pour complicité de meurtres : John Demjanjuk, Reinhold Hanning et Hubert Zafke.

    Tous très âgés lors de leur condamnation, ils occupaient des positions subalternes pendant la guerre. Et aucun n’est allé en prison grâce à des recours ou en raison de leur état de santé.

    Le Parisien

     

  • Europe: Une tempête menace à la frontière croate, selon des experts: « Maintenant, d’autres arrivent »

     

    23h29

    À la frontière croate, à seulement 224 kilomètres de l’Autriche, plus de 20 000 migrants espèrent avoir une chance de percer en Europe centrale.

    L’exécutif est inquiet. Alarmiste? Hystérique? Le danger de l’immigration clandestine est-il trop souvent et trop fortement relayé par le gouvernement fédéral?

    Notre journal a interrogé des experts de l’exécutif ayant les meilleures relations dans les Balkans.

    Les informations les plus récentes des officiers de liaison sur la situation dans la région frontalière entre la Bosnie et la Croatie à Velika-Kladusa, à 224 kilomètres de Spielfeld, se trouvent sur le bureau du chef du département au ministère de l’Intérieur. Leur analyse: une tentative décisive d’au moins 20 000 migrants à ce poste frontalier avec l’Europe centrale pourrait être imminente.

    « Ils sont armés, presque tous ont un couteau »

    « Les Croates essaient vraiment de gérer cela seuls. Ils ont également positionné des forces spéciales lors de cette transition », déclarent les analystes du groupe III (Migration) du ministère de l’Intérieur à Vienne.

    Mais il y a des développements inquiétants, les responsables disent:

    « Maintenant, d’autres arrivent, plus de familles, et il n’y a presque pas de femmes. 95% de ces migrants qui souhaitent percer (Nota: La ligne frontalière)  sont des hommes jeunes, presque tous armés de couteaux. Un policier des frontières a déjà été poignardé. « 

    Parmi les immigrants en attente en Bosnie, il n’y aurait pas de Syriens:

    « La masse vient du Pakistan. Et il y a beaucoup d’Iraniens, d’Algériens, de Marocains.  »

    Leur objectif n’est pas l’Autriche:

     » Les migrants veulent aller en Allemagne, dans les pays scandinaves. L’Autriche a maintenant trop mauvaise réputation pour elle.  »

    Exercice Frontex pour prévenir cette tempête à la frontalière
    Les effectifs de ces masses de population sont « relativement bien encadrés », indiquent les officiers de liaison: De nombreux immigrants ont des cartes de crédit prépayées du HCR et de l’UNICEF.

    « L’Europe ne veut imposer aucune action aux Croates », souligne le ministère de l’Intérieur. Dans le même temps, une avancée majeure à Velika-Kladusa devrait être empêchée pour cette seule raison, afin que cela ne devienne pas un signe pour le départ de dizaines de milliers de migrants supplémentaires. Une solution a déjà été trouvée: en novembre, un vaste exercice de déploiement de la force de protection des frontières Frontex doit avoir lieu exactement à cette frontière.

    Kronen Zeitung

    La Kronen Zeitung, aussi connue sous le nom de Krone est le plus important quotidien d’information autrichien.