Vitry-le-François - quartier Rome-St Charles
"L'avant Guerre civile"
Le parquet s'appuie entre autres sur le matériel utilisé, samedi, après la mort de Mohamed, à Vitry-le-François: battes de base-ball, cagoules, jerrycans d'essence,...
Pour le parquet de Châlons-en-Champagne, pas de doute: les violences qui ont suivi la mort du jeune Mohamed, 22 ans, samedi, à Vitry-le-François, dans la Marne, étaient "organisées".
Pourquoi?
A cause des témoignages recueillis et du matériel immédiatement utilisé: battes de base-ball, cagoules, draps, gros jerrycans d'essence,..
Comment ça s'est passé?
"Il y a une première vague (d'individus) qui casse les voitures, une deuxième vague qui jette le produit incendiaire et une troisième vague qui met le feu aux véhicules", selon le procureur de la République de Châlons Dominique Laurens.
C'était quoi l'histoire?
Les violences avaient eu lieu après la mort de Mohamed, tué d'une balle dans la tête. Des échauffourées avaient eu lieu entre une cinquantaine de jeunes, des gendarmes et des pompiers, faisant neuf blessés légers.
Interpellé dans la nuit de samedi à dimanche, le meurtrier, un ancien militaire de 22 ans, a été mis en examen et écroué. Il a reconnu être l'auteur des faits et a dit que tout était parti d'un trafic de drogue.
Combien de plaintes?
10 pour dégradation de bâtiments, notamment la gare SNCF et des commerces.
11 pour violences physiques.
Environ 90 pour dégradation ou incendie de véhicules.
"Compte tenu de l'ampleur de l'affaire, du nombre de victimes et d'auteurs, je souhaite qu'une information judiciaire soit ouverte par le pôle de l'instruction et qu'il y ait cosaisine de deux juges d'instruction" a ajouté le procureur.
Pourquoi?
A cause des témoignages recueillis et du matériel immédiatement utilisé: battes de base-ball, cagoules, draps, gros jerrycans d'essence,..
Comment ça s'est passé?
"Il y a une première vague (d'individus) qui casse les voitures, une deuxième vague qui jette le produit incendiaire et une troisième vague qui met le feu aux véhicules", selon le procureur de la République de Châlons Dominique Laurens.
C'était quoi l'histoire?
Les violences avaient eu lieu après la mort de Mohamed, tué d'une balle dans la tête. Des échauffourées avaient eu lieu entre une cinquantaine de jeunes, des gendarmes et des pompiers, faisant neuf blessés légers.
Interpellé dans la nuit de samedi à dimanche, le meurtrier, un ancien militaire de 22 ans, a été mis en examen et écroué. Il a reconnu être l'auteur des faits et a dit que tout était parti d'un trafic de drogue.
Combien de plaintes?
10 pour dégradation de bâtiments, notamment la gare SNCF et des commerces.
11 pour violences physiques.
Environ 90 pour dégradation ou incendie de véhicules.
"Compte tenu de l'ampleur de l'affaire, du nombre de victimes et d'auteurs, je souhaite qu'une information judiciaire soit ouverte par le pôle de l'instruction et qu'il y ait cosaisine de deux juges d'instruction" a ajouté le procureur.
LePost- 19 juin 2008