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Yasmina Reza et Sarközy: leurs faces cachées

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Yasmina Reza, née le 1er mai 1959 à Paris, est une écrivaine et actrice française. Yasmina est la fille d'un père ingénieur juif, mi-iranien, mi-russe, et d’une mère violoniste hongroise arrivée en France pour fuir la dictature soviétique. C'est également une grande amie du président. Qu'on ne s'y trompe pas: ils se sont choisis mutuellement, d'un commun accord. Elle l'a suivi pendant toute sa campagne présidentielle, et si elle se montre parfois rosse, elle ne cache pas à la fin de l'ouvrage son affection et son admiration pour Nicolas Sarközy, d'origine hongroise comme elle.

Elle "le"raconte au fil de petites phrases qu'elle a soigneusement notées et qui ne manqueront pas de pimenter son livre "L'aube le soir ou la nuit" tant attendu par les naïfs et les bobos. Celles-ci par exemple lors d'un déplacement "électoral" à Brest :

"Qu'est-ce qu'on va foutre dans un centre opérationnel sinistre à regarder un radar ? Qui a eu cette idée de demeuré ?... Je me fous des Bretons. Je vais être au milieu de dix connards en train de regarder une carte ! Derniers jours de campagne dans une salle à voir une carte ! Grand sens politique vraiment !... ".

 Ce propos relevé par Yasmina Reza dans son ouvrage consacré au candidat à la présidence, lors de sa visite au Cross Corsen de Plouarzel, fait couler beaucoup d'encre en Bretagne. Les Bretons font savoir dans le Télégramme de Brest, qu'ils sont offensés par ces propos du président. Marylise Lebranchu, actuelle députée du Finistère et vice-présidente de la région Bretagne, espère que ces propos sont dus à la fatigue de la campagne. Elle souhaite également que le nouveau président découvre le sens de l'appartenance régionale... et se met sans doute le doigt dans l'oeil!

(Photos: Yasmina Reza et Nicolas Sarközy à Pointe-à-Pitre en mars 2007 - Le best-seller de la rentrée littéraire, édité chez Flammarion)

Commentaires

  • Ma chère Gaëlle,
    Croyez-vous qu’il vaille la peine de s’intéresser à ce livre qui n’est, certainement, que du ...pipeau ?
    Evidemment, elle va se faire de l’argent à bon compte, et lui encore plus de publicité. Laissons cela aux me(r)diats (excusez ma grossièreté).
    Amicalement.

  • Mazarine Mythe-Errand et Yasmina Reza,les écrivaines du XXI siécle.lol.

    Elles vont détrôner les écrivains français des derniers siécles.

  • Cher abad, ce livre n'est pas du pipeau! Je ne l'achèterai pas, bien sûr, mais des gens vont le faire, sans savoir que l'auteur(e) est une amie très proche de Sarközy!
    Ce qui est du pipeau, ce sont ses promesses non tenues! Il se moque des ingénieurs (peut-être pas tous bretons!) qui travaillent dans ce centre, avec ce radar auquel il ne comprend rien! C'est grave! Mais comme elle se fiche, elle aussi, des Bretons, elle note ces grossièretés (à la limite du racisme...) dans son livre, parce que cela va faire rire les bobos, comme on rit de Bécassine... C'est une honte quand on sait que les Bretons ont fourni les plus forts contingents de "chair à canon" en 14-18... Qu'ils ont défendu la France, sa liberté, avec un courage inouï dans les tranchées! Cela, c'est notre mémoire, aussi, et ce livre y touche par la bande... C'est pourquoi j'ai tenu à en parler avant qu'il paraisse. je crois que son contenu, captieux et biaisé, en valait la peine...

    Amitiés!

  • A JLA : Le XXIème siècle ? Oui, d’après le calendrier, depuis l’année 2001. Mais, à mon avis, il n’a pas encore vraiment commencé, et commencera dans les années 2010-2015 comme les siècles précédents :
    - le XVIIème siècle n’a commencé qu’en 1610 avec la mort d’Henri IV ;
    - le XVIIIème en 1715 avec la mort de Louis XIV ;
    - le XIXème en 1815 avec l’abdication de Napoléon ;
    - le XXème en 1914 avec la déclaration de guerre.
    Amicalement.

  • Chère Gaëlle,
    ce que vous dites est parfaitement vrai et j’espère que les précisions que vous apportez dans votre commentaire aideront certains à ouvrir les yeux.
    Qu’aurait-on dit si c’était Le Pen qui avait fait cette déclaration ? En fait, qui connaît Le Pen, sait qu’il ne tient jamais ce genre de propos ordurier et, qu’en tout état de cause, il ne pourrait penser cela : il estime trop les travailleurs, les vrais, quels qu’ils soient.
    Amitié.

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