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LES BANLIEUES RESTENT UNE POUDRIERE

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Demain, tout peut s'embraser...
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Les "immigrationnistes" qui trompent les Français
Deux ans après les émeutes qui avaient secoué la France à l'automne 2005, les banlieues françaises restent une "poudrière" alors que le gouvernement travaille toujours à un plan en faveur des "quartiers défavorisés" promis par le président Nicolas Sarközy.

Les trois semaines d'émeutes, commencées le 27 octobre 2005 après la mort accidentelle de deux jeunes qui fuyaient la police, avaient fait des centaines de blessés. Plus de 10.000 véhicules et quelque 300 bâtiments, dont des écoles, avaient été incendiés. Sans compter les Français molestés, et deux morts assassinés par des racailles...

Ces violences avaient mis en lumière les graves problèmes d'insertion des jeunes d'origine immigrée, notamment du Maghreb et d'Afrique noire, "victimes de discriminations et d'un taux de chômage élevé, atteignant dans certains quartiers jusqu'à 40%."

Le président Nicolas Sarközy était à l'époque ministre de l'Intérieur, et certains de ses propos l'ont rendu très impopulaire auprès de nombreux jeunes.

Elu président, il a nommé Fadela Amara, une femme d'originaire algérienne, issue de la gauche et du monde associatif, comme secrétaire d'Etat à la politique de la Ville.

Elle travaille depuis sa nomination en juin à un "plan banlieue" qui devrait être présenté début janvier, axé sur le désenclavement des quartiers défavorisés, l'éducation et l'emploi des jeunes.

En attendant, associations et élus dénoncent une situation inchangée depuis les émeutes, voire encore dégradée.

"La poudrière est toujours là, l'approfondissement de la ségrégation territoriale et le sentiment que l'ascenseur social est en panne", affirme Manuel Valls, député-maire socialiste d'Evry, dans la banlieue sud de Paris.

"Les choses se sont aggravées", affirme même François Pupponi, maire socialiste de Sarcelles, une commune "pauvre" (70% de logements sociaux) de la banlieue nord-est de Paris.

L'association Ville et Banlieue, qui réunit 120 maires de tous bords, a dénoncé jeudi "la contradiction existant entre l'annonce d'un énième plan Marshall pour les banlieues et la baisse des financements attribués aux villes concernées".

"Il ne manque qu'une allumette pour que tout s'enflamme comme en 2005. Les armes circulent de plus en plus", dit sous couvert d'anonymat un policier, évoquant des incidents récurrents dans le département de Seine-Saint-Denis (nord-est de Paris) où les émeutes avaient démarré.
LES ARMES CIRCULENT DE PLUS EN PLUS, EN TOUTE IMPUNITE!
 

Commentaires

  • Banlieue, terme improprement synonyme de tout ce que le centre ville rejette.
    Banlieue, réalité de tout ce qui fut, est et sera rejeté par le centre ville.
    Ainsi, le probléme se pose dans toute sa complexité, pas seulement immigrés. Complexité de ceux qui travaillent et sont pauvres, de ceux qui travaillent et ne peuvent avoir d'autres hotizons, de ceux qui étudient et n'ont pas d'horizons.
    Du haut d'une tour de 12 étages, s'étendent les champs de la périphérie, rails, routes, fils, zones commerciales etc. première ceinture qui fortifie les centres.
    Je me pose toujours la même question, qu'est-ce qui fait qu'aux travers des âges, nous revenions sans cesse à ces fortifications, ces zones de droits et non droits. En fait, je pense qu'à l'infini au travers de nos révolutions technologiques, nous produisons les mêmes effets, voire les mêmes exclusions.
    Et si la civilisation était autre chose .. peut-être à inventer!

  • @Christian: ton com. est intéressant, et donne à réfléchir sur l'entité "banlieue"... Jadis, Auteuil, Passy étaient des banlieues de Paris...il existait encore vers 1968 une ferme avec des vaches à Auteuil... Est-ce vraiment ce que rejette le centre ville? L'exclusion? Je connais au coeur de Paris des rues bien tristes et sans horizon pour les derniers qui y habitent... Les "banlieues" où vivent les immigrés sont tristes et laides, "criminogènes" comme on dit, parce qu'elles procèdent d'une utopie: ces barres staliniennes de béton ne sont destinées qu'au sommeil des travailleurs (villes dortoirs), mais pas à leur joie...
    Il y a eu des banlieues heureuses, des pavillons de banlieue en meulière, où les gens n'étaient pas si malheureux, il y avait un jardinet plein de fleurs... soigneusement entretenu...

    Faut-il construire les villes à la campagne, comme le disait Alphone Allais?

    Il y a banlieue et banlieue, me semble-t-il... Les banlieues d'Alger ne doivent pas être plus gaies... Ce sont toujours les mêmes "faux" immeubles en vrai béton, construits à la va-vite, en serrant les coûts... Aucun amour n'est entré dans les plans des architectes anonymes, aucune considération pour les humains qui allaient y vivre et se multiplier... pas d'âme... C'est le manque d'âme qui fait la différence... Dans un pauvre village des Cévennes, on est plus heureux, au centre de l'humain, devant un feu de bois, dans une cuisine noire et pâtinée par les âges... Il y a accord entre l'homme et son environnement, sa maison en pierres... Aucune utopie, ici, aucun délire futuriste d'architectes coupés de la vie vraie... des Travaux et des Jours humains...
    regarde ce que l'on a fait de Mantes-la-Jolie, au bord de la Seine!
    A Marseille, sur les collines provençales, libres et sauvages (pas de fortifs ici), au nord de la ville, on a érigé de grands ensembles, des tours, des barres d'où l'on voit la mer... le soleil brille sur les vitres... ce ne devrait pas être affligeant, et cependant on ressent l'intense tristesse de ces constructions, le rejet précisément, la greffe qui ne prend pas... Car on ne bâtit pas n'importe quoi n'importe où... Ce n'est pas parce que c'est "moderne", avec un certain confort, que les hommes vont être heureux... Tu imagines des violons en béton avec des cordes en fil de fer? Qui voudrait en jouer, en tirer un air de bonheur ou même nostalgique? Personne. Ce n'est pas la civilisation qu'il faut réinventer, c'est la musique intérieure dans le coeur des hommes et des femmes... cette harmonie vitale...
    On en est loin, hélas!

    Amicalement.

  • Pour calmer cette faune sauvage,les maires communistes de ces banlieues devraient pour les calmer leur lire la lettre de Guy Moquet.
    Dans le cas contraire,faire sortir le trio Dati-Fadela-Rade en string,armées d'un karcher-Taser.
    A l'arrière une love-Parade dirigée par Jack-lang et N-Dame de paris.
    Suite un de ces jours......

  • Pour calmer cette faune sauvage,les maires communistes de ces banlieues devraient pour les calmer leur lire la lettre de Guy Moquet.
    Dans le cas contraire,faire sortir le trio Dati-Fadela-Rade en string,armées d'un karcher-Taser.
    A l'arrière une love-Parade dirigée par Jack-lang et N-Dame de paris.
    Suite un de ces jours......

  • Pour calmer cette faune sauvage,les maires communistes de ces banlieues devraient pour les calmer leur lire la lettre de Guy Moquet.
    Dans le cas contraire,faire sortir le trio Dati-Fadela-Rade en string,armées d'un karcher-Taser.
    A l'arrière une love-Parade dirigée par Jack-lang et N-Dame de paris.
    Suite un de ces jours......

  • Dear Gaelle,
    Les mêmes éternelles causes engendrent toujours les mêmes effets:les causes sont la surnatalité(plus de 2 enfants et l'impossibilité de leur assurer un présent acceptable )et la pauvreté ou misère
    qu'elle induit inévitablement.
    Les enfants de ces familles lapinesques(africaines principalement) sont obligés de rester à l'extérieur de leur immeuble pour échapper aux hurlements de leurs frères et soeurs ou des vociférations de leurs parents.
    Plantés devant ces HLM ils sont des proies faciles pour les vautours islamiques ou les "droguistes".
    Le véritable remède à apporter à la majorité de ces problèmes devrait consister en une limitation obligatoire par stérilisation de la progéniture de ces familles africaines.
    De même,il serait de s'interroger sur la "nécéssité" de posséder en Europe une population de 500 millions de personnes sur un territoire somme tout exigu.
    Malheureusement,ceci ne figure pas au Grenelle de l'environnement,grande sauterie du nano président.

  • Dear marcel! Si tu parles de stérilisation, oh là là! Déjà qu'ils coupent le bout des préservatifs!
    Les enfants sont une richesse dans certaines cultures (sans cultures vivrières). Un homme qui a beaucoup d'enfants est respecté pour sa puissance génésique!- Bientôt l'Afrique en Europe! (sauf les 103 petits tchadiens-darfouriens)... Personne ne semble s'en inquiéter... Nous, nous irons en Afrique: que veux-tu? On creusera des puits, on bâtira des ponts, on tracera des routes, etc...

    De tous temps, les enfants des classes défavorisés ont joué dans la rue! Les mères ne voulaient pas les avoir "dans les jambes"! les gamins de Paris jouaient sur le trottoir ! (photos de Doisneau). Mais dans les cités d'immigrés, ils semblent tourner mal, sont utilisés par les "grands frères" dealers... Pauvres gosses! mais dans les tous les pays du tiers-monde, ça doit être la même chose pour les enfants du peuple... on ne peut pas jouer au foot dans un appartement plein de bébés! Quant à y faire ses devoirs, il faut être héroïque! Pour les filles, c'est pire... ma fille en a connu au lycée: c'était réussir le bac ou le mariage au bled! Elles ont réussi au bac! Tant mieux! Au bled, un vieillard les attendait!

    Le Grenelle de l'environnement ne me semble avoir abouti qu'à deux choses:
    1) D. Voynet est enchanté de Borloo, qu'elle trouve "formidable" (RTL matin, avant-hier): elle ne tarissait pas d'éloges à son propos!
    2) l'écopastille!!!

    Je n'y crois pas. Ces écologistes sont avant tout des gens de gauche, faisant partie de la classe (ou: caste) politique ou politicienne, à l'affût d'un mandat, d'un poste...

  • Gaelle,
    Le lapinisme que je reproche aux familles immigrées est le même que je reproche à toute famille de quelqu'
    origine qu'elle soit.
    Cette mentalité nataliste encouragée par des imbéciles au début du siècle en Europe couplée à un esprit économique de croissance à outrance est responsable de toutes les
    pollutions que nous connaissons,de la dramatique surpêche,de l'ultra violence(guerres,etc...) et le plus grave de tout ,d'une stérilisation des sols agricoles.
    Sans résolution drastique de ce problème,nous nous exposons à la régulation naturelle accélérée avec
    des exterminations de populations entières à côté desquelles le génocide rwandais passera pour de la rigolade!

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