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Insouciance de l'abandon
Promesse de Bonheur
Ses petits poings fermés
Pour mieux sentir son Être
Le visage offert à la tendresse
Il dort
Il rêve
Il est et sera
Celui par qui l'Homme survit
Entendons le
Regardons le
C'est un Enfant
C'est l'Espoir
Merci, Gaëlle, pour cette très belle photo qui fait chaud au cœur.
Cher abad, ce beau petit bébé est un "rescapé".
Les enfants nés après 1975, loi Veil-Chirac, peuvent se dire aujourd'hui, dans le secret de leur pensée: " Maman ne m'a pas tué! Elle a choisi de me garder, de me permettre de voir la lumière du monde..." - et c'est triste quand on y réfléchit de se dire de telles choses, que votre existence n'a dépendu que du désir, ou du caprice, d'une personne, même si elle est votre mère. Cela crée un lien de dépendance. Votre vie a été voulu par quelqu'un d'autre que par la Vie (ou par Dieu pour les croyants). Et cette personne aurait pu décider autrement.
A l'avortement de "confort", répond l'acharnement de certaines femmes stériles à avoir un enfant par tous les moyens possibles: ovule d'une autre femme, fécondé in vitro...
"Science sans conscience n'est que ruine de l'âme" (Rabelais!): c'est toujours exact.
Merci, christian, pour ce beau poème plein de douceur qui fait du bien, qui réchauffe le coeur, c'est précieux, un enfant... ce nouveau visage dans le monde, qui n'est pas interchangeable, qui est unique...
Le bébé s'abandonne en toute confiance à sa mère, il lui sourit, il l'aime sans arrière-pensée, et c'est merveilleux... comme ton poème que j'aime, si sensible à l'émotion la plus secrète...
Commentaires
Insouciance de l'abandon
Promesse de Bonheur
Ses petits poings fermés
Pour mieux sentir son Être
Le visage offert à la tendresse
Il dort
Il rêve
Il est et sera
Celui par qui l'Homme survit
Entendons le
Regardons le
C'est un Enfant
C'est l'Espoir
Merci, Gaëlle, pour cette très belle photo qui fait chaud au cœur.
Cher abad, ce beau petit bébé est un "rescapé".
Les enfants nés après 1975, loi Veil-Chirac, peuvent se dire aujourd'hui, dans le secret de leur pensée: " Maman ne m'a pas tué! Elle a choisi de me garder, de me permettre de voir la lumière du monde..." - et c'est triste quand on y réfléchit de se dire de telles choses, que votre existence n'a dépendu que du désir, ou du caprice, d'une personne, même si elle est votre mère. Cela crée un lien de dépendance. Votre vie a été voulu par quelqu'un d'autre que par la Vie (ou par Dieu pour les croyants). Et cette personne aurait pu décider autrement.
A l'avortement de "confort", répond l'acharnement de certaines femmes stériles à avoir un enfant par tous les moyens possibles: ovule d'une autre femme, fécondé in vitro...
"Science sans conscience n'est que ruine de l'âme" (Rabelais!): c'est toujours exact.
Merci, christian, pour ce beau poème plein de douceur qui fait du bien, qui réchauffe le coeur, c'est précieux, un enfant... ce nouveau visage dans le monde, qui n'est pas interchangeable, qui est unique...
Le bébé s'abandonne en toute confiance à sa mère, il lui sourit, il l'aime sans arrière-pensée, et c'est merveilleux... comme ton poème que j'aime, si sensible à l'émotion la plus secrète...