Le 26 janvier 2008: "Qu'on rende les 7 milliards aux familles!"
Ségolène Royal a dénoncé une forme de connivence du pouvoir : «Comment se fait-il que le pouvoir aujourd'hui, au lieu de sanctionner et de condamner ces comportements, nous dise: "mais non, tout va bien", "Monsieur Bouton reste en place"... Mais comment voulez-vous que les gens y comprennent quelque chose ? Où est le bien, où est le mal et où est la responsabilité ?».
Et celle qui, en réanimant son association Désirs d'avenir, prépare sa prise du parti socialiste, d'ajouter : « ces sept milliards doivent être rendus aux familles surendettées». Elle a également appelé à une réforme du système bancaire.
Le problème, justement, est que les 4,9 (et non pas 7) milliards d'euros sont partis en fumée! Ils n'existent plus!
Commentaires
Bien trouvé, chère Gaëlle, vous l’avez promue générale.
Rions un peu. Vous connaissez certainement le problème linguistique suivant :
On s’adresse à un général en l’appelant : monsieur le général ; on s’adresse à son épouse en l’appelant : madame la générale. Quand on a nommé une femme au grade de général, il a été décidé de l’appeler : madame le général, pour éviter, paraît-il toute confusion. Mais faut-il en conclure que l’époux d’une femme général (sic) doit être appelé : « monsieur la générale », malgré le risque de confusion avec une pièce de théâtre ? Bientôt le même problème se posera avec les maréchaux, (ne pas confondre avec les boulevards du même nom).
Je ne tire pas sur les ambulances, il me reste quelques principes de vie.
Mais tout de même, l'approximation de son discours ne s'est pas amélioré.
Cette candidate n'a toujours pas compris que la bourse est virtuelle, sauf quand il y a "prise technique". Là, c'est sonnant et trébuchant.
Dans le cas de la Générale, le problème est autre que technique.