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Antoine a parlé: l'ex-concubin de sa mère interpellé

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L'ex-concubin de la mère du garçon retrouvé inanimé vendredi dans le lac d'Apremont (Vendée) a été interpellé dimanche à la mi-journée pour être entendu comme témoin, quelques heures après avoir été mis en cause par l'enfant.

Antoine, l'enfant retrouvé dans le lac d'Apremont (Vendée) a mis en cause dimanche l'ex-concubin de sa mère, qui a été interpellé pour être entendu comme témoin au lendemain de la découverte du corps de la jeune femme, tuée dans des circonstances encore indéterminées.

L'interpellation a eu lieu vers 13H30, dans la commune de Saint-Hilaire-de-Riez, une station balnéaire accolée à Saint-Gilles-Croix-de-Vie, avec un «dispositif plutôt conséquent de la gendarmerie», a indiqué le commandant Bertrand Depierre, officier de communication de la gendarmerie des Pays de la Loire.

L'homme, âgé de plus de 30 ans, avait été mis en cause dimanche matin par Antoine, 8 ans, qui a «confirmé officiellement aux enquêteurs qu'il avait été emmené à bord d'un véhicule jusqu'au lac d'Apremont par le concubin et qu'il y avait été jeté à l'eau du haut d'un ponton», a ajouté le commandant Depierre.



Antoine y avait été découvert, flottant à six mètres de la berge, par un promeneur vendredi au petit matin. Inanimé et en état d'hypothermie grave, il avait été hospitalisé «entre la vie et la mort» et ne s'est réveillé que samedi en fin de matinée.

L'ex-concubin, Cédric O.,  un mécanicien appartenant à la communauté des "gens du voyage" et qui pratiquait le ferraillage, s'était séparé d'Anne Deriez, la mère du jeune garçon, «il y a une quinzaine de jours» sans problème, selon le commandant Depierre.

Les enquêteurs estiment que le garçon n'a «probablement pas assisté» à la mort de sa mère, qui aurait succombé à des coups à la tête, probablement jeudi soir. Le corps d'Anne, une aide-soignante de 30 ans, a été retrouvé samedi, le crâne fracassé, au domicile familial, dans un hameau à Bois-de-Céné, au nord-ouest de Challans.

Une enquête «pour homicide» a été confiée à la section de recherches d'Angers, selon le procureur de la République de La Roche-sur-Yon, Pierre Sennes.

Par ailleurs, le père du jeune garçon, qui vivait séparé de la mère depuis de nombreuses années, a pu être contacté au téléphone par les enquêteurs dimanche matin et a fait l'objet de vérifications.

Les accès au domicile familial, une bâtisse blanche située dans un hameau isolé au milieu des marais, restaient interdits dimanche. Une tente a été montée devant la maison pour permettre aux gendarmes scientifiques de poursuivre leurs investigations sur le lieu du crime.

Dans le même temps, l'état de santé d'Antoine s'est amélioré, même s'il reste «perturbé», selon une source proche du dossier. Il était resté plus de 24 heures dans le coma, ce qui n'avait pas permis aux enquêteurs de l'identifier avant qu'il ne commence à parler samedi en fin de matinée.

Malgré la diffusion de sa photo dans les médias et la mise en place d'un numéro de téléphone dédié vendredi dans l'après-midi, le mystère était alors entier sur son identité, d'autant que le lac d'Apremont est situé à une trentaine de kilomètres du domicile familial.

Son grand-père maternel, maire de Bois-de-Céné, n'a ainsi appris la nouvelle que samedi à la mi-journée lorsque les gendarmes l'ont contacté.

Commentaires

  • Jean DUVOYAGE...Ça sonne gaulois comme nom. Qu'est-ce qu'elles ont dans la tête, ces nanas pour se maquer avec des lascars pareils!!! Fille d'un maire de village, en plus.
    Un psychologue nous expliquerait que les femmes blanches, qui se mettent avec des Jean De COULEUR, sont des rebelles. C'est symbolique. Elles règlent leur compte avec leurs parents, réèllement, ou imaginairement, d'après moi. "Vous voyez, je vous ramène un noir, un arabe, ou un gitane. Vous n'avez rien à dire, de toutes façons, vous êtes médiocre, et patati, et patata". On fait le pire choix pour emmerder les parents, celui qui, socialement, et biologiquement, est le plus montré du doigt. Après, voilà où on finit. Ou alors le père emporte les marmots, ou la femme finit seule avec eux, avec quelques châtaignes dans la poire. Ça me désole, ce genre de naufrage.

  • Tiens je croyais qu'il n'y avait que les jean d'armes qui n'étaient pas des gens comme il faut.

    Je n'ai jamais compris comment des femmes encore aujourd'hui peuvent aller s'amouracher d'exotiques.
    Je sais c'est la mode : les chaussures ressemblant à des babouches ; les rideaux pour faire oriental. Les coussins avec des perles toujours pour l'exotisme. et les bois, les papiers peints de couleur chocolat décliné dans toutes les nuances pour faire couleur Afrique agrémenté de couleur vive. Sans parler des objets de décorations ethniques comme l'on doit dire. Je ne veux pas condamner ka personne qui va trouver agréable cette décoration ; mais il faut le faire en toute conscience. L'influence sur le psychique d'une décoration intérieure est importante et la personne doit savoir que dans tout cela il y a un but précis. Comme les percing et cie.
    le but est de les détacher de leur origine.
    Alors le copain exotique c'est tout de même la cerise sur le gâteau. Relisez Attali.
    On dirait que je ne suis pas d'humeur aujourd'hui. Eh bien non, car ces co....... m'énervent. Après elles vont dans l'émission Sans aucun doute pour que des gogos pleurent sur leur sort. Leur exotisme et leur antiracisme me sort par les yeux.
    @ Gaelle vous devriez faire des articles pour montrer que la résistance elle doit se faire dans tout.

  • @ mélanie rault: il y a une façon intelligente de s'ouvrir au monde et à toutes cultures sans pour autant y laisser des plumes!

    Si des ados résistaient "d'eux-mêmes" à des idoles comme par exemple Beth Ditto? Je n'ai pas mis cette note pour faire "people". Voilà ce qu'on propose à la jeunesse pour la pourrir.

    Il y a forcément un tri qui s'opérera, on secouera le tamis et c'est l'or qui restera au fond, qui ne rejoindra pas la boue...

    Il faut, je crois, raisonner suivant une logique qualitative et non quantitative.

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