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L'hymen et la virginité

On désigne par défloration ou dépucelage la première pénétration d'une verge dans un vagin; si cette pénétration y déchire normalement l'hymen, sa présence ou son absence ne prouve formellement ni la virginité ni l'activité sexuelle de la femme.

D'une part, l'hymen est souvent déchiré pendant l'enfance dans le cours des activités physiques ordinaires, comme faire de la bicyclette, de la gymnastique, de l'équitation ou même quelquefois tomber d'une mauvaise manière. Il peut également arriver que l'hymen soit rompu par l'utilisation maladroite d'un tampon hygiénique. Certaines femmes naissent même sans hymen.

D'autre part, certaines femmes peuvent avoir une pénétration par un pénis sans même que l'hymen ne soit déchiré (hymen complaisant).

Pour toutes ces raisons, l'hymen ne doit donc pas être considéré comme le garant de la virginité d'une femme. Il peut d'ailleurs être restauré chirurgicalement pour feindre la virginité (réfection de l'hymen).

(Source (biologie) Wikipedia)

Commentaires

  • D'autre part, certaines femmes peuvent avoir une pénétration par un pénis sans même que l'hymen ne soit déchiré (hymen complaisant).

    Généralement, une pénétration se fait avec un con plaisant...

  • Voilà de quoi nous sommes contraints de parler...à cause de ces abrutis/hystèriques/arrièrés

    avant dans l'ancienne France l'Hymen c'était Chimène, Corneille..L'hyménée..

  • Oui, cher abbé tymon de quimonte, voilà où nous en sommes! Mais il faut en parler dans la mesure où certains hommes, comme beaucoup de femmes, ignorent "de quoi on il s'agit" exactement. Ces exigences "religieuses" de virginité - alors même que la jeune épouse peut être sincère! - me révoltent.
    De toute manière, ce problèmes ne se posent pas aux desouches: il y a une pudeur élémentaire qu'on respecte chez la femme, et si on doute de sa vie privée antérieure, on ne la demande pas en mariage.

    L'hymen, c'est le mariage en France! Un fiancé n'aborde pas ces questions intimes. C'est l'amour entre deux êtres qui comptent avant tout, et non pas une membrane anatomique.

    Je suis entièrement de ton avis, et on en arrive à mettre un peu d'humour dans tout ce "sérieux" ridicule et d'une toute autre "culture" que la nôtre?
    Autrefois, les jeunes filles se mariaient en blanc, un point c'est tout. On ne parlait pas de virginité! A la fin, je suis exaspérée par cet étalage d'impudeur sous couvert de "religion". Ce sont des histoires bonnes pour les "matrones"! Cette traque à la virginité physique n'a pas de sens dans notre civilisation.

  • L'hymen, c'est la cheptelisation de la femme. C'est grâce à cette membrane que l'on sait que ça n'est pas une chaudasse. C'est l'appropriation de leur ventre, par les hommes. En effet, les hommes ne sont jamais sûrs à 100% que l'enfant à naitre est le leur. La femme sait, elle, que c'est le sien, vu qu'il sort de son ventre. D'où la domination et l'aliénation de l'homme sur la femme, à toutes les époques, et dans toutes les cultures. Tchador, burqa, pieds bandés, etc...Les femmes ne peuvent pas s'enfuir, et ainsi, tromper leur mari. Les femmes ne sont jamais laissées seules, sinon, comme dit un proverbe arabe: "Femme de personne, femme de tout le monde". Une femme seule est donc, soit une vieille, non désirable, soit une pute. La civilisation occidentale a libéré la femme de tous ses carcans. Il faut voir ce qu'elle en a gagné, je suis très mitigé. Ces pauvres arabes, qui débarquent chez nous, en sont tout dévariés.

  • Chère Gaëlle, je voudrais vous féliciter pour votre splendide commentaire ci-dessus en réponse à l’abbé. Vous nous rappelez exactement le sens de ce qu’est un mariage selon notre culture et notre civilisation. Ces incroyables discussions qu’a engendré ce jugement, certes complètement stupide mais qui à mon sens fut volontairement décidé par les juges pour provoquer ce problème, nous transportent dans un univers qui nous est complètement étranger. Et nous n’avons pas à nous lancer dans ce genre de considérations complètement dégradantes.
    Il faudrait que votre commentaire connaisse une très large diffusion sur internet et que les lecteurs y réfléchissent.

  • Merci, cher abad, j'ai dit ce que je pensais, et j'ai vérifié la question de l'hymen sur des sites médicaux avant d'en parler. mais je le savais déjà.

    Pour Arauris, je lui dirai qu'une femme peut tromper son mari, si ele le veut, sans qu'il s'en aperçoive le moins du monde! Même si elle reste chez elle à faire le ménage et la cuisine. Il suffit du facteur... comme on disait! Quant à l'âge, eh bien, ce n'est pas ce qu'il croit non plus! C'est l'homme qui devient impuissant... pas les femmes... Penser à Diane de Poitiers!

  • Ce sont les monothéismes, surtout l'islam et le judaïsme, qui ont cassé, enfoui dans l'obscurantisme, la belle santé naturelle des rapports hommes-femmes. A propos de l'Islam, lire le livre dAnne-Marie Delcambre, docteur en civilisation islamique: l'Islam des interdits, éd. Desclée de Brouwer
    Dernière de couverture:
    "Dans les débats actuels sur l'Islam, la question des interdits et des blocages à l'égard de la modernité revient de manière permanente. Il est souvent de bon ton de distinguer un islam ouvert, pacifique et compatible avec la modernité, d'un islam intégriste, mettant en valeur une approche intolérante de la foi. mais cette distinction est-elle pertinente? Ne relève-t-elle pas d'abord d'une attitude "politiquement correcte", qui évacue tout débat de fond, au détriment des évolutions nécessaires?
    A travers un propos incisif, Anne-Marie Delcambre montre que nombre d'interdits ou de blocages actuels de la religion musulmane ne sont pas seulement des dérives intégristes mais font partie intégrante de l'Islam lui-même. Bien des éléments de ces interdits se retrouvent en effet dans le Coran ou dans la tradition la plus établie. Ainsi du statut discriminatoire des juifs et des chrétiens, de l'appel à la guerre sainte voire au meurtre, de la place des femmes..."

  • Merci, cher Dragon, de nous signaler ce livre d'Anne-Marie Delcambre. Je pense qu'il n'y en dait qu'un SEUL Islam, le mono-islam, tout comme le mono-théisme. Il y a bien sûr des classes sociales, des différences d'éducation entre les musulmans, mais le fond reste le même.
    Quand je lisais Benoist-méchin, j'étais charmée par le monde oriental islamique (sans songer une seconde à me convertir!)... mais maintenant je le vois d'un tout autre oeil, appliqué aux Infidèles, et aux femmes... Je me demande comment font certaines femmes d'origine chrétienne pour se marier avec eux. "Et s'il me plaît à moi d'être battue?"

    Amitiés

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