Un musulman a obtenu après l'avoir exigé de façon véhémente le retrait d'un crucifix accroché au mur de la chambre de sa fille soignée dans une clinique catholique de Bourgoin-Jallieu (Isère), indique le Dauphiné libéré dans son édition de mercredi.
Lundi en fin d'après midi, à la clinique Saint-Vincent de Paul, le père d'une petite fille, qui venait de subir une intervention chirurgicale programmée, a demandé que le personnel décroche un crucifix de la chambre de sa fille. "Pendant près d'un quart d'heure, le père en présence de son épouse s'est emporté verbalement, exigeant que le crucifix soit décroché", a raconté un témoin, cité par le Dauphiné libéré. Le personnel de l'établissement a finalement cédé à cette exigence.
La direction de la clinique a exprimé son étonnement. La directrice de la clinique, Marie-Thérèse Besson, a déclaré au Dauphiné libéré que cette demande était "surprenante de la part d'une famille qui a choisi librement notre établissement".
"Quand les gens choisissent d'être soignés dans notre établissement, ils savent qu'ils sont dans une maternité catholique", a ajouté Mme Besson.
Le Figaro -24.06.08
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Commentaires
ben alors fallait pas l'enlever la croix de NS Jésus Christ, hé Marie-Thérèse, celle qui s'étonne quand on la lèse...
comme le dit l'abbé fallait pas l'enlever cette croix
en se regardant dans la glace elle n'a pas honte Marie Thérèse de se mettre à plat ventre !
Ces gens ne sont fort que de nos faiblesses
à mélanie rault: comme tu le dis si justement, ils ne sont forts que de nos faiblesses, et ils méprisent les gens qui ne respectent pas leur religion comme eux le font. A force de céder, on voit où ça nous mène... A quand les églises incendiées?
Si vous rencontre les auteurs de cette courageuse décision collective, ne manquez pas de leur faire comprendre ce que vous en pensez.
Aucune excuse n'est acceptée pour des gens qui tiennent notre santé physique et morale entre leurs mains.