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Le Front national a réclamé le rétablissement de la peine de mort pour les assassins d'enfants, alors que les obsèques de Valentin, 11 ans, tué la semaine dernière d'une quarantaine de coups de couteau, avaient lieu aujourd'hui.
"L'émotion ne devrait pas dispenser de poser" les "vraies questions", a regretté aujourd'hui Bruno Gollnisch, vice-président exécutif du FN.
Il a cité notamment "la question de la sanction suprême et définitive pour les assassins d'enfants" et celle "de la terrible déréliction de la psychiatrie française".
"Pourquoi aucune mesure de sauvegarde n'a-t-elle jamais été prise pour Stéphane Moitoiret, manifestement psychopathe et dangereux, comme nombre de marginaux que l'on laisse vagabonder sans aucun suivi psychique?".
Rétablissement de la peine de mort : pourquoi pas, mais avec de nombreux gardes-fous :
-certitude absolue de l’identité de l’auteur du crime : ex. flagrant délit ;
-crimes punissables de la peine de mort bien répertoriés sans laisser la possibilité d’assimilation ni d’élargissement de la liste, car les mondialistes auraient vite fait d’étendre la peine de mort aux simples délits d’opinion, car, n’est-ce pas, rien n’est plus grave à leurs yeux que de mal penser !
Tout à fait d'accord avec la prudence d'abad. On voit très bien où mènent les élargissments ni vu ni connu des amis de la démocratie moderne.
En revanche, la réponse à la dernière question de l'article est connue : tout simplement parce que les "élites" se pensent, elles et leurs héritiers, à l'abri, à tort ou à raison, et que le bas peuple n'est là que pour servir de terrain d'expérimentation aux grandes idées qui prennent l'eau de partout des plus naïfs, et n'intéresse pas les plus cyniques pour qui nous sommes juste du cheptel conçu pour "consommer"( = (se ?) consumer, étymologiquement), dans le meilleur des cas.
Peut-être aussi jouent-ils la carte du désordre à la base pour maintenir l'ordre, thèse du géopoliticien suisse Eric Werner ?
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Rétablissement de la peine de mort : pourquoi pas, mais avec de nombreux gardes-fous :
-certitude absolue de l’identité de l’auteur du crime : ex. flagrant délit ;
-crimes punissables de la peine de mort bien répertoriés sans laisser la possibilité d’assimilation ni d’élargissement de la liste, car les mondialistes auraient vite fait d’étendre la peine de mort aux simples délits d’opinion, car, n’est-ce pas, rien n’est plus grave à leurs yeux que de mal penser !
Tout à fait d'accord avec la prudence d'abad. On voit très bien où mènent les élargissments ni vu ni connu des amis de la démocratie moderne.
En revanche, la réponse à la dernière question de l'article est connue : tout simplement parce que les "élites" se pensent, elles et leurs héritiers, à l'abri, à tort ou à raison, et que le bas peuple n'est là que pour servir de terrain d'expérimentation aux grandes idées qui prennent l'eau de partout des plus naïfs, et n'intéresse pas les plus cyniques pour qui nous sommes juste du cheptel conçu pour "consommer"( = (se ?) consumer, étymologiquement), dans le meilleur des cas.
Peut-être aussi jouent-ils la carte du désordre à la base pour maintenir l'ordre, thèse du géopoliticien suisse Eric Werner ?