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Le chantage de Petrella dénoncé par SOS Attentatsà la justice italienne

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Madame Françoise Rudetzki

AFP.18.10.08. La fondatrice de l'association française SOS Attentats, Françoise Rudetzki, a dénoncé le "chantage" exercé selon elle par l'ex-membre des Brigades rouges Marina Petrella afin de ne pas être extradée vers l'Italie, dans une tribune parue samedi dans le quotidien Le Figaro.

"Condamnée en 1992 pour crime de sang", Marina Petrella "a exercé un chantage auquel il a fallu céder alors qu'elle refuse de répondre de ses actes en Italie, pays disposant d'une justice tout aussi démocratique que la France", écrit Mme Rudetzki.

"Pour ne pas en faire une martyre, au nom de la clause humanitaire, elle ne sera pas extradée. Les familles des 413 morts et les milliers de blessés au-delà des Alpes entre les années 1970 et 1980 apprécieront", ajoute la fondatrice de SOS Attentats, association aujourd'hui dissoute.

Mme Rudetzki a demandé à ce que la "douzaine d'autres brigadistes qui coulent des jours tranquilles en France" soient "extradés immédiatement avant que d'autres pressions ou menaces ne s'exercent contre nos institutions, contre nos valeurs, contre notre conscience".

Marina Petrella, 54 ans, a été condamnée à perpétuité en 1992 à l'issue du procès "Moro ter", qui avait eu à examiner pratiquement tous les attentats revendiqués par les Brigades rouges à Rome entre 1977 et 1982.

La France a renoncé à l'extrader en raison de son état de santé très détérioré.

Dans une lettre publiée par Le Monde daté de jeudi, Marina Petrella a exprimé, "si elle est acceptée", sa "compassion" pour les victimes de ce mouvement armé italien d'extrême gauche.

Sa "compassion", mais pas son repentir!

Commentaires

  • Et quand bien-même, elle se repentirait, elle doit répondre de ses crimes.

    Mais là encore notre président guignol est le seul responsable.

  • c'est dit

  • Pourquoi madame Rudetzki s’exprime-t-elle si tard ? Elle aurait dû faire entendre la voix de son association avant sa libération.

  • @abad : Réponse, parce que cette "dame" fait partie du système, elle est là pour faire penser que quelqu'un s'occupe des victimes. Tout çà est bidon : comme disait David Icke, la méthode employée est "propblème - solution"; ils ont tout noyauté et tous ceux que nous voyons sur le devant de la scène sont là pour nous tromper.

  • A Philippe : je suis évidemment d’accord avec vous !

  • oui c'est le jeu de l'interrogatoire à deux avec le "bon" interrogateur et l'interrogateur "vache".
    Mais tous poursuivent le même but.
    Philippe a raison tous concourent au même but : nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

  • Le problème/solution, le bonnet blanc et son blanc bonnet de contradicteur, voici les bases de la sidération des foules. Il y a d'autres finesses, souvent pas si fines, mais leur combinaison et la naïveté de la "semence du bétail" gavée aux hormones fait le reste. Lire l'abondante production de Vladimir Volkoff sur la manipulation.

    J'ai du mal à comprendre à quoi fait allusion l'"opposante" madame Rudestki lorsqu'elle parle de "la" clause humanitaire. Où exactement figure cette clause ? L'huile de ricin et la corde, ça fonctionne encore en Italie ? Mes informations dateraient ?

  • @voyageur et philippe maréchal,

    dès le début de l'apparition de cette femme , j'ai pensé la même chose; mais là encore aucun représentant politique pour dénoncer tout haut ce fait.

Les commentaires sont fermés.