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Placée en garde à vue pour une affaire "bien distincte"... on le précise!

Alexandrine Brugerolle de Fraissinette, la mère du petit Antoine, 6 ans, porté disparu depuis le 11 septembre à Issoire (Puy-de-Dôme), a été placée quelques heures en garde à vue mercredi 29, dans le cadre d'une affaire de consommation de stupéfiants.

Cette jeune femme de 23 ans avait été interpellée par les gendarmes de Veyre-Monton (Puy-de-Dôme) «pour une affaire d'usage de stupéfiants» et devait être relâchée «quelques heures plus tard», a-t-on précisé de source judiciaire, confirmant une information du Figaro.

 Cette affaire est «bien distincte de celle de la disparition du petit Antoine», a souligné cette même source.

L'enquête sur la disparition du petit Antoine, signalée il y a plus d'un mois à Issoire, se poursuit sans réelle avancée et sans piste privilégiée. Une information judiciaire pour «enlèvement et séquestration de mineur» est ouverte depuis le 14 septembre, trois jours après le signalement de la disparition d'Antoine de l'appartement de sa mère.

Comment en effet pourrait-on faire "l'amalgame" entre la disparition d'Antoine et le fait que sa mère soit une toxicomane avérée? Il ne faut tout mélanger!

Commentaires

  • Oui, chère Gaëlle, il ne faut surtout pas faire d’amalgame : on s’empresse de relâcher une toxicomane ! Ceci est évidemment sans rapport avec la disparition de son fils, alors qu’elle est soupçonnée et déjà condamnée par le passé. Petite question sans réponse dans cet article : comment la police sait qu’elle a encore pris de la drogue ?

  • J'aime ça également : "Pas d'amalgame !".
    Traduction du Tyranniquement Correct en français : "Ordre de cesser de penser sous peine d'exclusion sociale et de déclenchement de la culpabilité implantée dès la naissance".

    Curieux que la génitrice porte un nom à consonnance aristocratique. Fraisinette est le nom original de "Charlotte aux fraises" au Canada. La dégénérescence dans toute sa splendeur. Pauvre petit. Dans quel réseau pédophile/satanique a-t-il fini ?
    Jean-Pierre Petit avait publié des documents effrayants à ce sujet, dont une vidéo sur Youtube des enfants de ce juge toulousain poussé au suicide par un de ces réseaux par lequel il était compromis.
    Mais en République Française tout va bien. Dormez, tout va bien.

  • Je constate voyageur que concernant le gamin nous avons les mêmes soupçons.

  • Vraiment, dans cette terrible affaire où la vie d'un gosse est en jeu, il faut, semble-t-il, prendre des pincettes pour parler des deux adultes (toxicomanes), mère et compagnon!
    L'information est distillée au compte-gouttes.

    Certes, tant qu'on n'a pas retrouvé le corps de ce petit, que peut-on faire? Il semble que tout ait été fouillé aux alentours...

    Bonne question, en effet, cher abad! Comment, par qui savent-ils?

    Elle peut porter plainte pour harcèlement de la part des enquêteurs... Elle le déclare disparu, enlevé, le 11 septembre. Le temps passe... pas un témoin qu'on juge crédible...

    C'est comme pour Maddie: pas de cadavre.

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