Gilberta Bruni Tedeschi, dite Carla Bruni, est née le 23 décembre 1967
Depuis quelque temps déjà, Carla Bruni-Sarközy, 40 ans, mariée au chef de l'Etat depuis février, tenait à s'engager dans une cause bien à elle. Elle a franchi un premier pas hier, en devenant ambassadrice du Fonds mondial contre le sida, la tuberculose et le paludisme, une organisation associant des gouvernements et le secteur privé pour aider les malades des pays démunis.
Brushing impeccable, tailleur-pantalon noir et haut bleu lavande, ruban rouge accroché au revers, la première dame, après avoir reçu « le Parisien » - « Aujourd'hui en France », a donné hier sa première conférence de presse, à deux pas de l'Elysée, à l'hôtel de Marigny... avec un Nicolas Sarközy attentif en coulisses !
En quoi va consister votre action d’ambassadrice du Fonds mondial contre le sida ?
Carla Bruni-Sarközy. D’abord à attirer l’attention sur le travail extraordinaire réalisé par cet organisme. Il a vraiment favorisé l’accès aux soins, notamment dans les pays où il n’y avait pas de médicaments, comme en Afrique. Je profiterai de mes déplacements à l’étranger avec mon mari pour exercer mes nouvelles fonctions. Je ne serai plus uniquement dans la représentation.
Concrètement, qu’allez-vous faire ?
Je ne vais pas seulement lever des fonds. Dans bien des cas, il y a des médicaments, mais les malades ne les prennent pas. Car la maladie est encore diabolisée dans certains pays. Je veux donc faire un travail d’éducation sur le sida, notamment auprès des femmes. Une mère séropositive peut, grâce à certains traitements, donner naissance à un enfant sans lui transmettre le virus. Or, beaucoup de femmes dans le monde l’ignorent.
Le sida a frappé un de vos proches…
Oui, mon frère (NDLR : Virginio, décédé en 2006) . A travers lui, j’ai observé la maladie de près. Il a eu la chance d’être soigné en France. Il n’a pas résisté à la maladie, mais a bénéficié de toutes les armes médicales et psychologiques. Mon frère a tout de même vécu vingt ans avec le sida. Il l’a attrapé très tôt, avant les traitements actuels : s’il l’avait contracté un peu plus tard, je pense qu’il serait encore vivant…
Vous faites partie de la « génération sida », qui a débuté sa vie amoureuse avec le préservatif. Avant d’être mariée, vous vous protégiez ?
Oui, comme tous les gens de mon âge et pour lesquels la conscience du sida date du début des années 1980. On s’est habitué à ce mal, or il reste mortel. Il faut se protéger.
Dans les "quartiers difficiles", (musulmans) le sida reste tabou. Le Comité des familles pour survivre au sida voudrait vous rencontrer. Y êtes-vous prête ?
Bien sûr. Tout ce qui se passe en banlieue m’intéresse particulièrement.
Justement, on vous a vue dernièrement avec Fadela Amara. Comptez-vous mener des actions communes ?
En quoi va consister votre action d’ambassadrice du Fonds mondial contre le sida ?
Carla Bruni-Sarközy. D’abord à attirer l’attention sur le travail extraordinaire réalisé par cet organisme. Il a vraiment favorisé l’accès aux soins, notamment dans les pays où il n’y avait pas de médicaments, comme en Afrique. Je profiterai de mes déplacements à l’étranger avec mon mari pour exercer mes nouvelles fonctions. Je ne serai plus uniquement dans la représentation.
Concrètement, qu’allez-vous faire ?
Je ne vais pas seulement lever des fonds. Dans bien des cas, il y a des médicaments, mais les malades ne les prennent pas. Car la maladie est encore diabolisée dans certains pays. Je veux donc faire un travail d’éducation sur le sida, notamment auprès des femmes. Une mère séropositive peut, grâce à certains traitements, donner naissance à un enfant sans lui transmettre le virus. Or, beaucoup de femmes dans le monde l’ignorent.
Le sida a frappé un de vos proches…
Oui, mon frère (NDLR : Virginio, décédé en 2006) . A travers lui, j’ai observé la maladie de près. Il a eu la chance d’être soigné en France. Il n’a pas résisté à la maladie, mais a bénéficié de toutes les armes médicales et psychologiques. Mon frère a tout de même vécu vingt ans avec le sida. Il l’a attrapé très tôt, avant les traitements actuels : s’il l’avait contracté un peu plus tard, je pense qu’il serait encore vivant…
Vous faites partie de la « génération sida », qui a débuté sa vie amoureuse avec le préservatif. Avant d’être mariée, vous vous protégiez ?
Oui, comme tous les gens de mon âge et pour lesquels la conscience du sida date du début des années 1980. On s’est habitué à ce mal, or il reste mortel. Il faut se protéger.
Dans les "quartiers difficiles", (musulmans) le sida reste tabou. Le Comité des familles pour survivre au sida voudrait vous rencontrer. Y êtes-vous prête ?
Bien sûr. Tout ce qui se passe en banlieue m’intéresse particulièrement.
Justement, on vous a vue dernièrement avec Fadela Amara. Comptez-vous mener des actions communes ?
C’est une femme avec qui je me sens des points communs. Elle n’a pas de formation politique, vient du milieu associatif. Elle est courageuse parce qu’elle aurait pu y rester, elle faisait du bon travail. Là où elle est maintenant, c’est plus compliqué : il est plus facile d’être rebelle et de dénoncer que d’être aux prises avec la réalité. Je suis prête à l’épauler.
Pour vous aussi, il est plus difficile d’être de ce côté de la barrière ?
Oui. En tant qu’artiste, je pouvais m’exprimer de façon humaine, politique, militante. En tant qu’épouse du chef de l’Etat, je fais attention. Exprimer mon opinion a forcément des répercussions. En revanche, on peut être plus efficace.
Allez-vous vous engager pour d’autres causes ?
Oui. Plusieurs causes me tiennent à coeur : la pauvreté, l’éducation, tout ce qui est source d’inégalités. Cela paraît un discours simple, mais je crois que ce sont des domaines où je peux apporter quelque chose. J’ai participé à beaucoup de choses en tant qu’artiste, mais jamais rien organisé. Je veux mettre ma vie d’avant au service de ces causes. Sensibiliser les artistes que je connais pour monter des événements. Je suis en train de créer ma propre fondation. J’espère pouvoir l’annoncer début 2009.
Avez-vous des modèles parmi d’autres premières dames ?
Tous les exemples m’inspirent, de Lady Di à Bernadette Chirac. Toutes les femmes qui sont dans cette position privilégiée, très médiatisée et qui en font quelque chose me paraissent très intéressantes.
Quel bilan faites-vous au bout de dix mois à l’Elysée ?
J’ai essayé de m’adapter. En France, être l’épouse du chef de l’Etat n’est pas un métier, mais une fonction. Il n’y a pas d’apprentissage, chacun en fait ce qu’il veut. Je suis déjà heureuse si les Français trouvent que je représente bien le pays.
Le président vous donne-t-il des conseils ?
Il m’en donne lorsque je lui en demande, mais je reste une femme libre. Il serait satisfait si, durant son mandat, je pouvais aider les autres sur un autre terrain que la politique.
Que vous inspire l’élection de Barack Obama ?
Elle a enthousiasmé tout le monde et moi avec. Je suis impatiente de le rencontrer. Mais l’élection de mon mari aussi a montré une volonté de changement énorme. Mon mari est un immigré de deuxième génération et moi-même une immigrée de première génération !
Un an après votre rencontre, vous êtes toujours aussi amoureuse ?
Tout à fait amoureuse. Quand des vies sont aussi publiques que les nôtres, la vie intime augmente aussi en intensité. C’est une bulle qu’on entretient au quotidien.
Pour vous aussi, il est plus difficile d’être de ce côté de la barrière ?
Oui. En tant qu’artiste, je pouvais m’exprimer de façon humaine, politique, militante. En tant qu’épouse du chef de l’Etat, je fais attention. Exprimer mon opinion a forcément des répercussions. En revanche, on peut être plus efficace.
Allez-vous vous engager pour d’autres causes ?
Oui. Plusieurs causes me tiennent à coeur : la pauvreté, l’éducation, tout ce qui est source d’inégalités. Cela paraît un discours simple, mais je crois que ce sont des domaines où je peux apporter quelque chose. J’ai participé à beaucoup de choses en tant qu’artiste, mais jamais rien organisé. Je veux mettre ma vie d’avant au service de ces causes. Sensibiliser les artistes que je connais pour monter des événements. Je suis en train de créer ma propre fondation. J’espère pouvoir l’annoncer début 2009.
Avez-vous des modèles parmi d’autres premières dames ?
Tous les exemples m’inspirent, de Lady Di à Bernadette Chirac. Toutes les femmes qui sont dans cette position privilégiée, très médiatisée et qui en font quelque chose me paraissent très intéressantes.
Quel bilan faites-vous au bout de dix mois à l’Elysée ?
J’ai essayé de m’adapter. En France, être l’épouse du chef de l’Etat n’est pas un métier, mais une fonction. Il n’y a pas d’apprentissage, chacun en fait ce qu’il veut. Je suis déjà heureuse si les Français trouvent que je représente bien le pays.
Le président vous donne-t-il des conseils ?
Il m’en donne lorsque je lui en demande, mais je reste une femme libre. Il serait satisfait si, durant son mandat, je pouvais aider les autres sur un autre terrain que la politique.
Que vous inspire l’élection de Barack Obama ?
Elle a enthousiasmé tout le monde et moi avec. Je suis impatiente de le rencontrer. Mais l’élection de mon mari aussi a montré une volonté de changement énorme. Mon mari est un immigré de deuxième génération et moi-même une immigrée de première génération !
Un an après votre rencontre, vous êtes toujours aussi amoureuse ?
Tout à fait amoureuse. Quand des vies sont aussi publiques que les nôtres, la vie intime augmente aussi en intensité. C’est une bulle qu’on entretient au quotidien.
Le Parisien -02.12.08
Commentaires
Ces bobos-gauchistes sont d'un narcissisme, d'un égoisme immondes.
Son frère est mort du sida, donc elle s'engage dans la lutte contre le sida (tous frais payés - palaces, voyages 1ère classe etc...,)sans aucun risque aucun pour son intégrité physique.
Elle est l'exemple même de la femme "libérée"; des gens atteints du sida n'ont pas eu de chance (le scandale de la transmission du virus par la transfusion sanguine, d'autres, peut-être, qui avaient une vie privée honorable sont tombées sur la mauvaise personne); mais beaucoup avaient une dissolue, comme les homosexuels, et ont donc une part de responsabilité.
Les gens atteints du cancer (et qui sont beaucoup plus nombreux), elle s'en moque royalement, ainsi que ceux souffrant d'autres pathologies très graves.
A vomir.
la soupe est servie !
Il y a quand même une justice : le nain métisseur ne méritait pas mieux que cette dégénérée.
Excellents commentaires ci-dessus.
Act-Up va pouvoir toucher le pactole.
Roméro peut se réjouir,la pédérastie et ses conséquences est financée par l'Etat.
Oh! la jolie photo que nous a trouvée Gaëlle ! Là,c'est sûr ,c'est pas du vivant ou alors c'est du "dégénéré",comme l'écrit Philippe Maréchal .En tant que pathologie,la dégénérescence est "une altération de la cellule vivante " .Et,dans le dictionnaire,"dégénérer" signifie: "perdre des qualités propres à sa race ;s'abâtardir; passer à un état inférieur ".
Chère Gaëlle, ne vous êtes-vous pas trompée de photo ? Je ne la reconnaît pas !
Enfin notre Première Dame Pipi, va enfin pouvoir jouer à touche-pipi ! Avant elle se mettait un préservatif !
La dame pipi et la poupée percée d'aiguilles me rappellent que ce n'est pas la première fois que la france est gouvernée par des étrangers...
Lisez ci-dessous la passionnante histoire de Cosimo Ruggiéri et Catherine de Médicis...
http://luiss.free.fr/ruggieri1/index.htm#colonne
Chère tania, cher abad, c'est la photo prise hier par Le Parisien! Au début, je ne l'ai pas reconnue! mais non, c'est bien elle. Le photographe ne l'a pas gâtée! Sur le papier, c'est encore plus surprenant!
Pour les sodomites, il faut des préservatifs spéciaux. Il y avait eu à l'époque un article dans VSD, qui montrait les "micropores" naturelles du latex au microscope: leur taille était supérieure à celle du virus. Ce n'est pas une protection absolue. Cet article n'a jamais été repris à ma connaissance.
La seule véritable protection est de s'abstenir de sodomie. Comme dit le dalaï-lama, le désir sexuel complique la vie: il prêche l'abstinence.
Ce qui est tendance chez les homos aujourd'hui, c'est de "braver la mort" en me mettant pas de capote.
Tout cela est plus qu'affligeant. Une société de mort.
Erreur de frappe: en NE mettant pas...
Ce soir, je ne peux plus accéder à mon blog. Je ne peux donc mettre aucune note. Ca recommence... C'est très lassant. Espérons que la connexion se fera demain normalement.
Gaëlle, c’est scandaleux : ce soir il y a une émission à la télé intitulée ‘droit d’inventaire’. C’est soi disant un hommages aux soldats qui se sont battus pour la nation. Mais, j’ai regardé la présentation de l’émission : il n’y a rien sur la guerre d’Indochine, et sur celle d’Algérie, on dit : ‘la guerre sans héros’, guerre horrible que les militaires ne revendiquent pas ! C’est du négationnisme, le plus honteux qui soit. Nos soldats se sont battus dans ces deux guerre pour la liberté et contre le communisme et le terrorisme, tous deux aussi abjects que infâmes. Les terrorismes Viet et FLN, c’étaient autre chose que le terrorisme actuel dont on nous rabat les oreilles ! Nos soldats ont été trahis par les politiciens et on en voit le résultat aujourd’hui : le Viet Nam est toujours sous le joug communiste, ainsi que l’Algérie qui subit le régime communiste du FLN, mais aussi le terrorisme : on finit toujours par récolter ce qu’on a semé. Les merdiats ont déjà oublié les camps de concentration des Viets où le taux de mortalité était plus élevé que celui des camps nazis, et souvenons-nous du sinistre Kapo Boudarel qui dirigeait un camp Viet.
Par contre, il est question de rendre hommage aux dix morts récents d’Afghanistan (on a déjà oublié les 14 autres), alors qu’en Afghanistan on ne se bat par pour la NATION, mais plutôt contre la France !
"Justement, on vous a vue dernièrement avec Fadela Amara. Comptez-vous mener des actions communes ?
C’est une femme avec qui je me sens des points "
Entre connasses,il est normal qu'il y ait attirance réciproque.
Elle ne mériterait même pas le virus qui la contaminerait.
Le virus a une utilité écologique (régulation de population)mais elle est dépourvue de toute utilité à part
faire une gâterie au nain difforme qui lui sert de mari.
Elle pique la vedette à de vieilles stars du cinéma la parasite élyséenne.
Un combat de dindes en vue.
Cher abad, en marge du billet de Gaëlle, comme vous l'avez fait (que Gaëlle veuille bien nous excuser) ,je vois l'émission dont vous parlez ,au programme de ce soir .Je suis tout comme vous accablée .Je co-signe votre comm. Ah! Boudarel ....
http://www.piedsnoirs-aujourdhui.com/boudarel02.html
Je crois que nous sommes,pour le moment des ...sentinelles qui guettons dans notre Fort Bastiani .
Chère Tania, merci pour le lien vers ‘l’affaire Boudarel’. Il est indispensable que ceux qui ne la connaissent pas lisent cet article.
Merci, cher zelionaya : cette biographie de Cosimo Ruggieri est excellente. La vie de cet étrange personnage fut passionnante, quoique dangereuse : il a joué avec le feu à de nombreuses reprises. Et ses poupées de cire qu’il piquait avec des aiguilles ont resurgi récemment : la vie est un éternel recommencement !
Cher abad, je suis bouleversée! Mon mari et un ami très cher ont fait la guerre d'Algérie, avec le contingent, ils en sont revenus malades, et leurs places avaient été prises par des planqués. Ils ont vu de près la mort, dans les djebels, j'ai des photos que je ne peux regarder.
Mon père acait accompagné un ami (celui qui avait été prisonnier de guerre en Allemagne) à la Joliette, port de marseille, au dépositoire. Là, dans un hanger ouvert à tous les vents, étaient entassés les cercueils en bois blanc des soldats ramenés morts d'Algérie, sans tambour ni trompette... les familles devaient aller les prendre en charge pour les enterrer. Cet ami venait pour sa fille, dont le fiancé (un vrai fiancé, avec qui elle allait se marier), jeune et brillant officier, avait été tué au combat. Il a fallu qu'ils cherchent parmi les cercueils... Mon père et son ami étaient indignés, scandalisés au-delà de tout... ils ont fini par trouver le pauvre cercueil de ce jeune homme... La jeune fille n'avait pas eu la force de venir... on la comprend... C'était ignoble! Mon père est rentré très assombri à la maison, il n'aurait jamais imaginé tous ces cercueils empilés, dans une sorte d'entrepôt. Pas une fleur, pas un garde, rien, le dernier silence... l'indifférence de la "patrie". Tout ceci est vrai, il faut savoir comment les morts pour l'Algérie française revenaient chez eux, sans respect pour leur jeune vie fauchée. Et maintenant... cette émission immonde, que je ne regarderai pas, je vais hurler de dégoût... LES SALAUDS!
Je connais bien l'affaire Boudarel, pur scandale, encore une belle ordure!
Mais ceux qui ne savent pas doivent regarder et garder à l'esprit qu'on les désinforme, qu'on leur MENT!
Merci pour votre commentaire, cher abad. Je suis très triste. Je ne suis pas "pied-noir", vous le savez, mais l'Algérie française faisait pour ma famille et pour moi totalement partie de la France. C'était une tragédie! Qu'est-ce que cela a dû être alors pour ceux qui étaient nés en Algérie française! Comme je les comprends! (Mais certains n'ont pas eu tellement de chagrin, parmi les rapatriés... je n'insisterai pas sur ce point... la plupart étaient judicieusement revenus avant la débâcle, comme prévenus...).
Amitiés
Chère Gaêlle, la lecture de votre dernier commentaire m’a fait venir les larmes aux yeux. Mais consolez-vous : en Algérie, votre époux et vos amis se sont, eux, battus pour la France et les Français, pour la nation. C’est leur gloire !
Tout le reste est méprisable.
@Gaelle
L'Algérie Française, elle est là pour toujours, elle plane pour toujours sur sa terre.
Oui, Catherine, j'en suis sûre, moi aussi.
Je regarde la mer, à Marseille, et je me dis: en face, cette Algérie que je ne connaîtrai jamais, et qui est toujours française.
Regardez dans l'album photo Marseille le monument aux Morts d'orient et des terres lointaines... Il a été érigé avant la tragédie algérienne, il est très beau, très sobre et grave... Troupes coloniales... Il y a une plaque pour les harkis... Il y a toujours des fleurs, des gerbes, c'est un lieu de méditation et de recueillement face à la Méditerranée.
Un doublon, ça marche si mal ce soir. mais que ma pensée pour l'Algérie française soit deux fois exprimée, tant mieux!( je ne peux accéder ce soir à mon blog pour corriger) -
Je pense que peut-être j'avais mis la photo du monument aux morts d'orient dans l'album photo "Méditerranée". Je ne me souviens plus, entre les deux. Ouvrez-les.
Amicalement
"la plupart étaient judicieusement revenus avant la débâcle" toute allusion à "monsieur beau-frère" ne pourrait être que fortuite :))
@Gaëlle.
Les larmes et le sang versées par les Français sur la terre d'Algérie continuent à faire fleurir les plus belles roses.
Quoi qu’on dise ou pense, l’Algérie est et reste française parce que c’est la France qui a fait l’Algérie et a créé son nom. Comme autrefois elle fut romaine et chrétienne : Terre de Saint-Augustin, Père et Docteur de l’Eglise. Il suffit de regarder ce qui tient encore debout après 46 ans d’indépendance ! Et un jour, elle redeviendra française.
Il y a beaucoup de commentaires affligeants. Même si l'on apprécie pas Carla Bruni, l'action qu'elle soutien mérite un minimum de respect.
Concernant l'émission télé, il n'y avait rien non plus sur la guerre du Rif. Dans les guerres il y a ceux qui les décident et ceux qui y participent souvent sans en comprendre les véritables enjeux et au périls de leur vies.
L'oubli est le plus sûr moyen d'empêcher la compréhension.
@Gaelle
Cet Eric n'a pas eu un mot de compassion pour le drame vécu par les français d'Algérie.
Il indique qu'il y a beaucoup de commentaires affligeants et estime que l'action de la Bruni mérite un minimum de respect.
Il a posté un commentaire sur le fil "la prison, c'est cool, dont vous apprécierez la teneur.
Malgré le soutien que vous lui apportez dans l'affaire Salah M. il n'a pu s'empêcher d'exprimer , et encore il a dû se retenir, son gauchisme.
Il aurait pu s'abstenir, par décence.
Vous faîtes ce que vous voulez, bien sûr, c'est votre blog.
Quant à moi, je n'ai aucune illusion sur l'individu, qui ne voit , à mon sens, en vous, qu'un moyen pour parvenir à ses fins (libération de Salah M).
Eric a écrit : «Il y a beaucoup de commentaires affligeants. Même si l'on apprécie pas Carla Bruni, l'action qu'elle soutien mérite un minimum de respect» : c’est vous qui êtes affligeant de sottises. Si vous n’aimez les vérités que nous écrivons ici, libre à vous d’aller voir ailleurs. Quant à la Première Dame Pipi de France, elle a parfaitement le droit de se moquer des sidaïques et d’exploiter leur misère, mais nous avons le droit de le dire (enfin jusqu'à présent!) !
A Eric :«L'oubli est le plus sûr moyen d'empêcher la compréhension» : la question n’est pas là ; bien d’autres guerres sont oubliées. Ce qui est dit sur la guerre d’Algérie dans cette émission n’est que mensonges sur l’Algérie, terre française, et qu’insulte à la mémoire de ceux qui sont tombés. Mais vous avez montré que vous n’êtes pas un journaliste ; vous n’êtes qu’un complice, un serviteur des propagandistes qui ont la haine de la France et des Français.