La gendarmerie a entamé une série de 800 nouveaux prélèvements ADN depuis un mois et demi dans le cadre de l'affaire Jonathan Coulom, 11 ans, enlevé et assassiné en 2004 en Loire-Atlantique dans des conditions non élucidées, a-t-on appris vendredi auprès de la gendarmerie.
Jonathan Coulom, originaire du Cher, a disparu dans la nuit du 6 au 7 avril 2004 d'un centre de vacances à Saint-Brévin-les-Pins (Loire-Atlantique). Son cadavre a été découvert le 19 mai, ligoté et lesté d'un parpaing dans l'étang d'un manoir proche de Guérande, à 25 km du lieu de l'enlèvement.
La principale piste dont disposent les enquêteurs est une trace ADN relevée sur le lit de Jonathan mais la justice, toujours à la recherche du propriétaire de cet ADN, reste prudente quant à la possibilité qu'il s'agisse de celui du meurtrier de l'enfant.
Quelque 1.500 tests ADN ont déjà été réalisés et la trace ADN a même été diffusée auprès d'Interpol, en vain.
Commentaires
On se demande pourquoi la police a mis près de 5 ans pour faire les analyses d’ADN pour les personnes ayant résidé dans le centre de vacances.
Chère Gaëlle, vous avez raison de rappeler le cas du petit Antoine qui ne semble pas tellement préoccuper les enquêteurs.
On imagine les réseaux pédophiles influents qui sont discrètement à l'oeuvre. Voir le témoignage des enfants du juge toulousain Roche, poussé au suicide, et eux-mêmes harcelés et menacés judiciairement.
http://www.dailymotion.com/bookmarks/krosse/video/xbz4_affaire-allegrele-scandale-roche
Il y a des enterrements vivants qui se perdent...
Avez-vous remarqué cette constance, que ce soit en Belgique , en france ou ailleurs ces cadavres sont quasiment toujours retrouvés dans l'eau.
@The goy: oui, en effet. L'eau est plus "pratique" que la terre. Mais les assassins ne savent pas que tous les corps finissent par remonter à la surface ou par revenir s'échouer.