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Fillette poignardée: c'était la mère, pas le petit frère

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La maison d'Uckange où habitait cette famille monoparentale

La petite fille poignardée à Uckange (Moselle) samedi matin l’a été par sa mère. La violence du coup porté au thorax de Khadija*, 9 ans, a étonné les chirurgiens de l’hôpital de Nancy-Brabois. Pour ces médecins, Mehdi*, 5 ans, n’aurait pas eu la force suffisante pour blesser sa soeur de la sorte.

Hier en début d’après-midi, la mère, Samia G., 37 ans, a été placée en garde à vue par les gendarmes de la brigade de recherches de Thionville. L’audition des deux enfants, lundi soir, avait aussi troublé les enquêteurs.
Selon le parquet général, Khadija a déclaré à deux reprises lors d’un entretien avec les gendarmes que sa mère était bien à l’origine de ses blessures. Puis en fin de journée, Samia a finalement reconnu avoir « eu un mauvais geste » vis-à-vis de sa fille.
Travaillant comme serveuse de nuit sur une aire d’autoroute au Luxembourg, tout proche d’Uckange, Samia G. serait rentrée chez elle dans son petit appartement route de Thionville, samedi matin à 3 heures, avant de s’écrouler de fatigue dans sa chambre. Tentant de retrouver un sommeil perdu, Samia aurait été gênée par le bruit des deux enfants en train de jouer en milieu de matinée. C’est à ce moment-là qu’elle aurait frappé sa fille, dans un geste d’énervement. Puis elle aurait convaincu son fils Mehdi de dire qu’il était à l’origine de ce coup. En le culpabilisant.
Les gendarmes avaient tout envisagé dans ce drame familial lorsqu’ils ont été saisis de l’enquête. Même l’acte autoagressif de la fillette contre elle-même, avant d’exclure cette piste face à l’impossibilité d’étayer l’hypothèse par les constatations. Ils ont ensuite été convaincus de la dispute entre frère et soeur qui aurait mal tourné. La vice-procureur de Thionville, Catherine Gallen, évoquant l’utilisation d’un couteau comme d’« un jouet » lors de ce conflit.


Les premières auditions de Mehdi par les gendarmes spécialisés d’une brigade de prévention de la délinquance juvénile ont semblé accréditer cette version. Mais pour ces spécialistes de l’écoute des enfants, plusieurs éléments sonnaient faux. « L’intervention d’une tierce personne n’était pas à exclure », évoque une source judiciaire.
Puis les confrontations des différentes versions ont commencé à semer le trouble. La mère, séparée de son compagnon, avait déjà été entendue dimanche, comme témoin, par les gendarmes. Elle avait expliqué qu’elle dormait au moment des faits et aurait été réveillée par les cris de Khadija avant de retirer le couteau de sa poitrine.
Hier les gendarmes, après avoir décrypté toutes les auditions, ont placé Samia G. en garde à vue. Puis ils l’ont conduite à son domicile d’Uckange, un appartement loué à un bailleur social, pour procéder à une perquisition. Une heure plus tard, elle quittait les lieux, cachée sous une couverture et entourée par les militaires.


Samia élève seule ses deux enfants. A deux reprises, elle a rompu avec son ex-compagnon, en 2001 et 2004, notamment à la suite de violences conjugales qui ont aussi marqué les enfants. Lorsqu’elle s’absente la nuit, personne ne les garde. Ils sont livrés à eux-mêmes. « C’est l’aînée qui s’occupe de son petit frère », constate un enquêteur. Lorsque Samia rentre trop tard le matin pour les accompagner à l’école, les enfants n’y vont pas. Un signalement pour absentéisme avait d’ailleurs été effectué à l’inspection d’académie par la direction de l’école Jean-Jacques-Rousseau. « Cette famille, socialement défavorisée, ne nous avait pas été signalée alors que nous disposons de tous les moyens pour les suivre et les aider », proteste Gérard Léonardi, le maire socialiste d’Uckange.

* Les prénoms des enfants ont été changés.
Les vrais responsables de ce drame lamentable, ce sont les immigrationnistes!

Commentaires

  • Le père est albanais. La mère, je ne sais pas. Elle est en tout cas musulmane, apparemment.

  • Le métissage imposé par le hongrois passe par le sang.

  • J'avais parié en attendant l'histoire alors à son début que Samia s'appelait Samia. Pari gagné.
    Je vais ouvrir un cabinet de voyance. En prime je prévois même l'avenir du pays.

  • @Voyageur
    Je vous parie que le couteau va prendre perpète...

  • Vive les familles monoparentales ! Et on va faire une loi pour favoriser et donc multiplier encore plus ces familles.
    Félicitons les médecins d’avoir déjoué les mensonges de la mère, sinon avec ces enquêteurs nous refaisaient un nouvel Outreau.

  • "en entendant" : quelqu'un modifie mes phrases quand j'ai le dos tourné. Vous voyez bien qu'il y a un complot !

    Je viens d'entendre 1 minute de "Plus belle la Collaboration" en faisant mes abdos : une femelle enceinte faisait part à une autre de son désir d'avorter. Bien blanche, bien entendu. J'ai tourné la tête pour vérifier tout en continuant mes exercices, mais c'était inutile ; comme vous le savez, j'ai un don de voyance depuis peu.
    La leçon normative de vie aurait pu s'arrêter là, mais je n'avais pas tout compris : la femelle en état de reproduction était homosexuelle (je dois être homophobe, tout le monde dit "gay". Moi je suis très gai, mais pas "gay" pour un sou. I am very gay but not gay at all. Maybe a bit schizophrenic). Je n'ai pas trop bien compris comment ce miracle virginal avait eu lieu, en étant à la fin d'un exercice, mais au moment où je pestais en me disant que dans cette série de science-fiction, le message était qu'un petit blanc n'allait pas naître et que c'était un grand bonheur.
    Nenni : l'engrossée miraculeuse, au milieu de ses peines de coeur, annonce la bonne nouvelle : c'est une fille.
    Moralité : les homosexuelles peuvent se reproduire entre elles. Elles ont affecté de parler tout au long de la conversation comme si ç'avait été effectivement le cas. Il a été vaguement et rapidement question de l'étalon à un moment donné, mais comme je vous l'ai dit, ma concentration été accaparée par l'effort.

    Conclusion personnelle : "Plus belle la Propagande" est encore plus une série de science-fiction que je ne le croyais. Ca me donne presque envie de la regarder à fin d'étude "scientifique". Si j'arrive à surmonter mon envie de vomir, ce qui est loin d'être sûr.

  • Oui, Voyageur, ‘Plus belle la propagande’ est un modèle dans son genre et il ne s’en cache pas (ce qui, sans qu’ils s’en rendent compte, en diminue beaucoup la force). Mais dans toutes les émissions de télé ou de radio, chaque mot, chaque phrase sont le résultat d’un savant calcul de propagande pour bourrer le crâne des téléspectateurs de leur nauséabonde idéologie.

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