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Les Sarközy ont plaidé pour Florence Cassez dont la culpabilité ne fait aucun doute pour les victimes du gang

Calderon et Sarkozy Mexique.jpg
Sarközy et Felipe Calderon signent quelques accords commerciaux

Vendredi après-midi, en marge de leur luxueuse escapade privée sur la paradisiaque côte pacifique du Mexique, Nicolas et Carla Sarközy ont longuement téléphoné à Florence Cassez, condamnée à une peine de soixante ans en appel il y a une semaine pour enlèvement et séquestration. Depuis le centre carcéral de Tepepan, la jeune femme de 34 ans leur a confié qu’elle ne se pourvoirait pas en cassation, renonçant ainsi à être innocentée et ouvrant la voie à son transfert dans une prison française.

Un contact tenu totalement secret par l’Elysée jusqu’à hier. Et pour cause : l’hypothèse d’un rapatriement de celle que les journaux mexicains baptisent la « kidnappeuse » ou la « diabolique » a déclenché la colère dans un pays où les rapts (quelque 8 000 par an) sont un fléau national.

Attaqué par l’opposition et les associations de victimes, Calderon sait qu’il devra affronter en juillet des législatives à risques…
Conscient que le dossier est explosif, Sarközy, tendu et agacé, en a fait des tonnes pour calmer le jeu lors d’une conférence de presse avec son homologue. Non, il ne se fait pas l’avocat d’une possible kidnappeuse ! Non il ne s’ingère pas dans les affaires mexicaines ! « Je ne suis pas venu ici pour contester la décision de la justice mexicaine, je ne suis pas magistrat », a-t-il lâché. Avant d’ajouter : « Je ne suis pas l’homme de l’impunité ! »
Il s’est d’ailleurs bien gardé de se prononcer sur l’innocence ou la culpabilité de Florence Cassez. Et avant de repartir pour Paris, il a reçu cinq associations de victimes… Quant à ceux qui craindraient une hypothétique amnistie ou réduction de peine de Florence Cassez une fois en France, Sarközy a été clair. Ce n’est pas lui qui décidera, mais la justice française : « La France est un Etat de droit, on n’y fera pas n’importe quoi ! »
C’est donc avec une immense prudence que le président français et son homologue mexicain Felipe Calderon ont officiellement engagé hier la procédure de transfèrement, en vertu de la convention de Strasbourg de 1983. Une commission de juristes des deux pays réglera les derniers détails « dans les trois semaines ». Une manière de gagner un peu de temps pour laisser la polémique retomber alors que l’opinion mexicaine est ulcérée...



Reste la question : que se passera-t-il une fois Florence Cassez rentrée en France, où elle demande à purger sa peine ? Selon le Code pénal français, la sanction serait ramenée à vingt ans de réclusion. Son père, Bernard Cassez, rêvait d’un scénario « à la tchadienne », où Calderon accorderait sa grâce comme le président tchadien Idriss Déby le fit avec les membres de l’Arche de Zoé. Mais le Mexique n’est pas le Tchad, et Calderon a douché ses espoirs: « Il n’y aura pas d’impunité pour Florence Cassez ni pour d’autres ! » a-t-il martelé, visage fermé, évoquant « ces hommes et ces femmes qui ont vécu enfermés, ces enfants menacés de se faire amputer un doigt, un bras ».

Commentaires

  • C'est la Justice française qui décidera ! c'est courru d'avance;elle sera remise très vite en liberté pour un motif quelconque ; Sarkozy se moque du monde; il n'a pas été élu pour voler au secours de la racaille française condamnée à l'étranger, mais c'est sa seule réelle activité.
    Et il ose dire« Je ne suis pas l’homme de l’impunité", après Petrella, Battisti !
    Le renseignement intérieur doit le tenir au courant de l'opinion française sur cette affaire; c'est à mon sens la seule raison pour laquelle il avance avec prudence sur le sujet.
    Je ne pensais pas qu'on pouvait être pire que Chirac, mais là on atteint les sommets de l'ignominie; j'avoue souhaiter qu'un malheur lui arrive dans les plus brefs délais (je parle d'un malheur en toute légalité, bien sûr!).

  • Beaucoup de Français (naïfs ?) croient qu’il y a de graves problèmes en France : le chômage, la crise financière, l’insécurité et la violence généralisées, l’inflation,…..Mais non, il n’y a aucun problème important, mis à part les criminels français purgeant de lourdes peines dans les geôles étrangères (en France, il sont déjà libres !). Mais notre nain, qui n’a rien d’autre à faire, s’en occupe. Il va ramener dans ses bagage la petite Florence, comme Dame de Compagnie de sa Première Dame Pipi. Emportera-t-elle, comme souvenir, les doigts qu’elle a coupé à ses otages ? Cela fera bien dans les salons de l’Elysée ! Au fait j’espère que les enleveurs d’enfants du Tchad courent comme des cabris dans les couloirs de l’Elysée.

  • Si elle est réellement impliquée dans les activités d'un tel gang,la réponse de Calderon se justifie.

    Si le nain funeste a pu faire pression sur le Tchad car ancienne colonie de la France,ici il n'a aucun pouvoir sur un
    Calderon,autrement coriace que le Duvalier du Tchad.

  • Arrêtez de croire la presse des mafieux !
    Florence est INNOCENTE ! Le blog Florence inocente est d'ailleurs interdit désormais, il parlait de trop de choses.
    Sarkozy dit n'importe quoi : c'est la Justice qui s'en occupera ! Et tout de suite après, assume en roi absolu qu'elle est coupable et que les ragots ridicules (doigt coupé, oreille etc...) sont la vérité.
    J'espère que ce n'est qu'une posture pour calmer le jeu.
    Je souhaite moi du bonheur à Florence et du malheur aux salauds qui l'ont mise en taule.

  • Luz ne pensez vous pas qu'il y a une limite à l'aveuglement il n'est guère possible qu'elle n'ai jamais rien deviné, senti, vu. Elle est comme ses mères dont l'enfant est violé et qui ne s'appercoivent de rien. Je dis moi qu'elles ne veulent pas savoir. Qu'elle laisse leur esprit dormir par crainte de ne pas aimer ce qu'elles peuvent découvrir.
    Elles manipulent leur esprit. s'auto suggestionne que tout va bien que le mari, l'amant est merveilleux. C'est tellement confortable pour dire après : je suis innocente. Je ne dirais pas qu'elle a elle même torturé mais elle est certainement complice par une certaine lacheté. Vous m'amusez avec l'histoire de son site vous pensez vraiment que quelqu'un de coupable même un tout petit peu va le dire au monde entier. On dit que le garçon parfois pense avec leur B... mais les filles parfois ne sont pas mieux dans le choix de leur partenaire. Je n'irai pas pleurer sur son sort rien que pour son absence de réflexon. A la prochaine présidentielle elle ira voter sarkosy !

  • Mélanie,

    On ne condamne pas sur des suppositions, des intentions. On ne croit pas ce que la presse raconte. On se méfie des accusations d'un ministre de l'intérieur narco, responsable de son emprisonnement. On prend garde de ne pas créer des boucs émissaires, c'est si facile quand ils sont en prison, étrangers, accusés par des hordes, affaiblis physiquement et prêts à lutter malgré tout. Ce n'est pas odieux ni ridicule de défendre la simple vérité à partir de FAITS. C'est odieux et ridicule de défendre les thèses d'un ministre narco que ne contrôle pas un président corrompu d'un pays contrôlé par les narcotrafiquants, payé pour se taire.

    J'ai pris le temps de chercher l'info qu'on nous cache.
    Je ne participerai de toutes façons plus ici, soyez rassurés.

    F.C n'a JAMAIS vécu avec Israel Vallarta. Elle n'est pas condamnée pour l'avoir fréquenté ou cru (elle avait rompu une relation épisodique) mais sur des faits qu'elle n'a pas commis et des MENSONGES. Elle est française moyenne, nous lui devons le soutien, au lieu de hurler avec les hyènes. Ce qui lui arrive peut arriver à n'importe quel touriste isolé au Mexique, en Afrique, en Asie.

    Quels sont les faits réels ?
    Pour comprendre les dessous de l'affaire, revenons 3 ans en arrière :
    http://www.lepetitjournal.com/content/view/3690/310/
    Interview du frère de Florence (janvier 2006) sur lepetitjournal
    Extrait d'un forum :
    "La dernière sur Lefigaro :
    L'arrestation de Florence Cassez aurait été un coup médiatique

    Anne Vigna (à Mexico)
    05/03/2009 | Mise à jour : 23:12

    Ses ennuis ont commencé lorsqu'elle a mis en difficulté le ministre de l'Intérieur mexicain, en direct à la télévision.
    Pour la première fois en trois ans d'«affaire Cassez», le président mexicain Felipe Calderon a évoqué mercredi soir le sort de Florence Cassez. «Nous pourrions étudier la possibilité qu'elle purge sa peine sur le territoire français», a-t-il déclaré à l'AFP, assurant «avoir été très attentif au procès» et rappelant les charges qui pèsent sur Florence Cassez, interpellée en décembre 2005 : «Les victimes de cette bande l'ont identifiée précisément comme ayant participé aux enlèvements. Ces preuves ont eu un poids juridique qui a motivé, j'imagine, le jugement en première instance puis en appel», a-t-il expliqué.

    La déclaration du président est une très mauvaise nouvelle pour Florence Cassez. «Le président n'est pas bien informé», a réagi son avocat mexicain, Agustin Acosta. Car si les victimes la condamnent aujourd'hui comme le dit le président, ces mêmes victimes au moment de leur libération en décembre 2005 ne l'accusaient jamais : ils ne la reconnaissaient pas derrière la vitre sans tain, ni au son de sa voix. Aucune charge n'existe contre elle dans l'enquête préliminaire menée pendant six mois par l'Agence fédérale d'investigation (AFI), le FBI mexicain. «Dès le début, elle aurait dû être entendue comme témoin», explique son avocat. Son ex-compagnon, avec qui elle n'a jamais vécu, reconnaît les enlèvements mais l'innocente également.

    Redorer le blason de la police

    En réalité, les témoignages des victimes changent radicalement en février 2006, date où Florence Cassez confond l'actuel ministre de l'Intérieur lors d'une émission télévisée. Genero Garcia Luna, alors directeur de l'AFI, doit reconnaître que l'arrestation de Florence a été un coup médiatique. Une opération montée pour redorer le blason d'une police accusée de tous les maux. Quatre jours après l'émission, les victimes changent de discours et accusent la Française.

    Pour les avocats de la défense, «les victimes sont manipulées car elles se contredisent sans cesse». Mais ce sont ces témoignages que la justice comme le président ont tout de même retenus."

    http://forum.mexique-fr.com/sutra95242.php

  • Mélanie
    On ne condamne pas sur des suppositions, des intentions. On ne croit pas ce que la presse raconte. On se méfie des accusations d'un ministre de l'intérieur narco. On prend garde de ne pas créer des boucs émissaires, c'est si facile quand ils sont en prison, étrangers, accusés par des hordes, affaiblis physiquement et prêts à lutter malgré tout. Ce n'est pas odieux ni ridicule de défendre la simple vérité. C'est odieux et ridicule de défendre les thèses d'un ministre narco que ne contrôle pas un président corrompu d'un pays de narcos, payé pour se taire. J'ai pris le temps de chercher l'info qu'on nous cache.
    Je ne participerai de toutes façons plus ici, soyez rassurés.
    F.C n'a JAMAIS vécu avec Israel Vallarta. Elle n'est pas condamnée pour l'avoir fréquenté ou cru (elle avait rompu une relation épisodique) mais sur des faits qu'elle n'a pas commis et des MENSONGES. Elle est française moyenne, nous lui devons le soutien, au lieu de hurler avec les hyènes.
    Quels sont les faits réels ?
    Pour comprendre les dessous de l'affaire, revenons 3 ans en arrière :
    http://www.lepetitjournal.com/content/view/3690/310/
    Interview du frère de Florence (janvier 2006) sur lepetitjournal
    Extrait d'un forum :
    "La dernière sur Lefigaro :
    L'arrestation de Florence Cassez aurait été un coup médiatique
    Anne Vigna (à Mexico)
    05/03/2009 | Mise à jour : 23:12
    Ses ennuis ont commencé lorsqu'elle a mis en difficulté le ministre de l'Intérieur mexicain, en direct à la télévision.
    Pour la première fois en trois ans d'«affaire Cassez», le président mexicain Felipe Calderon a évoqué mercredi soir le sort de Florence Cassez. «Nous pourrions étudier la possibilité qu'elle purge sa peine sur le territoire français», a-t-il déclaré à l'AFP, assurant «avoir été très attentif au procès» et rappelant les charges qui pèsent sur Florence Cassez, interpellée en décembre 2005 : «Les victimes de cette bande l'ont identifiée précisément comme ayant participé aux enlèvements. Ces preuves ont eu un poids juridique qui a motivé, j'imagine, le jugement en première instance puis en appel», a-t-il expliqué.
    La déclaration du président est une très mauvaise nouvelle pour Florence Cassez. «Le président n'est pas bien informé», a réagi son avocat mexicain, Agustin Acosta. Car si les victimes la condamnent aujourd'hui comme le dit le président, ces mêmes victimes au moment de leur libération en décembre 2005 ne l'accusaient jamais : ils ne la reconnaissaient pas derrière la vitre sans tain, ni au son de sa voix. Aucune charge n'existe contre elle dans l'enquête préliminaire menée pendant six mois par l'Agence fédérale d'investigation (AFI), le FBI mexicain. «Dès le début, elle aurait dû être entendue comme témoin», explique son avocat. Son ex-compagnon, avec qui elle n'a jamais vécu, reconnaît les enlèvements mais l'innocente également.
    Redorer le blason de la police
    En réalité, les témoignages des victimes changent radicalement en février 2006, date où Florence Cassez confond l'actuel ministre de l'Intérieur lors d'une émission télévisée. Genero Garcia Luna, alors directeur de l'AFI, doit reconnaître que l'arrestation de Florence a été un coup médiatique. Une opération montée pour redorer le blason d'une police accusée de tous les maux. Quatre jours après l'émission, les victimes changent de discours et accusent la Française. Pour les avocats de la défense, «les victimes sont manipulées car elles se contredisent sans cesse». Mais ce sont ces témoignages que la justice comme le président ont tout de même retenus."

  • @Luz: j'ai lu Le petit journal, etc... - tout est parti d'un article dans ELLE, la magazine féminin bien connu, de Valérie Toranian, qui signe sous un pseudo, articla consacré à l'innocence d'une "jeune française incarcérée au Mexique", dont la France doit obtenir le rapatriement, etc... Cette Valérie Toranian, directrice de ELLE, aurait téléphoné à Carla Bruni pour lui demander d'intervenir. Changement d'attitude de Sarközy, à ce moment, sans doute influencé par sa femme, comme pour Marina Petrella...(lire l'article de la LA TRIBUNE) Est-ce la presse people qui mène actuellement la politique de l'Elysée?
    As-tu eu en mains les pièces du dossier d'accusation? Non? Alors comment peux-tu être aussi affirmatif?
    J'ai des amis français qui vivent au Mexique. Ils sont très bien informés. Plusieurs victimes l'ont reconnue comme preneuse d'otages, elle possédait des armes de guerre. On ne peut pas aller contre de tels témoignages, qui n'émanent nullement du gouvernement mexicain, ni de la maffia... ni de sombres histoires de vengeance...Allons!
    Tu la défends parce que c'est une jolie femme qui te fait rêver... Il faut donc qu'elle soit innocente, qu'elle ait "à peine" connu son amant... Tu en fais une oie blanche!
    Son livre sera écrit par un "nègre" de ELLE ou d'une maison d'éditions parisienne.
    Rassure-toi: elle sera vite amnistiée...

    Tout cela part certes d'un mouvement généreux de ta part. Mais je crois que la vérité est, héalas, bien différente...

  • Cher Luz, je viens de lire l’article du petit journal dont vous nous donnez le lien. J’étais prêt à vous suivre dans vos explications. Hélas, c’est l’effet inverse qui s’est produit : le frère de Florence donne l’impression d’être un petit malfrat, peut-être tombé dans un piège de son associé ; mais il l’a bien cherché : on ne dirige pas ainsi ni une société commerciale, ni une entreprise industrielle, sauf si le seul objectif est de faire du fric le plus rapidement possible sans aucune autre considération pour ses clients ou ses employés. Dans ces conditions il ne faut pas s’étonner des risques que l’on court. En ce qui concerne la sœur, à mes yeux, être défendue par ces grands merdiats qui défendent toujours les criminels contre les victimes, c’est plutôt en sa défaveur.

  • Luz si vous me lisez bien je ne dis aucunement qu'elle est coupable de chaque crime qu'on lui impute. Je ne connais cette affaire que depuis que gaelle en parle. J'ai donc fait quelque recherche sur le net. Et je persiste à dire que bien des femmes manquent totalement de discernement. le gars en face lui fait du gringue et hop c'est parti. Il n'y a aucune réflexion là dedans. Ce sont leurs hormones qui dirigent. Et bien des femmes aiment ce qui est dangereux pas très légal voire même interdit c'est tellement plus exitant. c'est drôle.
    Et SI comme elle le dit : "je ne savais pas que le mal existait, que les gens pouvaient mentir., Elle vivait dans quel monde ? A notre époque être une pareille oie blanche c'est difficile. Ses parents sont alors responsables d'une telle inconscience. Vivait elle dans un petit monde ou le seul souci d'une jeune fille est de savoir quelle paire de chaussures va le mieux convenir pour aller faire ses emplètes ?

  • @mélanie: c'est loin d'être l'oie blanche pour laquelle on veut la faire passer!

    On essaie de la disculper parce que ça la fiche mal pour Sarközy!

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