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Fruits et légumes: les producteurs ne rembourseront pas les aides

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Les syndicats agricoles, représentant les producteurs de fruits et légumes, ont réaffirmé ce mardi qu'ils ne rembourseraient pas les aides publiques percues entre 1992 et 2002, à l'issue d'une réunion au ministère de l'Agriculture.

"Nous ne paierons pas", a déclaré Jean-Bernard Bayard, secrétaire général adjoint de la FNSEA, principal syndicat agricole français. L'Etat "continue d'expertiser le dossier" du remboursement de quelque 500 millions d'euros d'aides publiques versées par la France à ses producteurs mais que Bruxelles juge anti-concurentielles.

Une réunion est prévue jeudi à propos de la situation de la filière fruits et légumes, a par ailleurs annoncé M. Bayard. Cette rencontre traitera des questions plus générales sur la situation financière des producteurs pour tenter de l'améliorer.

AFP. 04.08.09

 

Commentaires

  • S'ils ne remboursent pas et bien le contribuable français payera pour eux.
    Schlengen, Maastrich etc etc... comment ont-ils voté ?
    Qu'ils réfléchissent au moins à la portée de leur vote passé...

  • @zelionaya: très juste! ils ont voté pour l'Europe et voilà le résultat! Je ne plains pas ceux qui ont voté pour l'U.E.! Quel retour de bâton! - mais c'est nous qui paierons, bien sûr...

  • C’est nouveau, ça vient de sortir : il faut maintenant que les agriculteurs remboursent les «aides» ! En fait le gouvernement, qui a versé beaucoup d’argent aux financiers internationaux et cosmopolites, a un énorme besoin d’argent. Alors, il fait d’une pierre deux coups : il demande à Bruxelles d’exiger ces « remboursements » pour se refaire un peu de trésorerie et en même temps il ruine un peu plus l’agriculture française pour le plus grand profit des agriculteurs mondialistes !

  • L'aspect grotesque de cette demande de remboursement
    est à rapprocher de l'énormité des amendes réclamées
    aux entreprise qui ne respectent pas toujours les lois du machin boiteux bruxellois.

    Etant aux abois , les agriculteurs risquent d'administrer aux
    crânes d'oeufs qui dirigent cette bureaucratie byzantine une leçon qu'ils n'oublieront pas de sitôt .

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