Le président helvétique, Hans-Rudolf Merz, a cherché à rassurer la population en promettant aux Suisses que le “muezzin” ne retentirait pas dans la Confédération.
Cette promesse montre à elle seule quelle sera la prochaine revendication des islamistes présents sur le sol suisse et plus largement en Europe.
L’Union démocratique du centre (UDC, droite populiste) a lancé une initiative en 2008 pour interdire la construction de nouveaux minarets.
lls considèrent que ces édifices n’ont pas un caractère religieux mais représentent “le symbole apparent d’une revendication politico-religieuse du pouvoir, qui remet en cause les droits fondamentaux”.
La classe politicienne suisse tente au contraire d’expliquer à la population que ces violations manifestes et provocantes à l’identité architecturale du pays sont légitimes et doivent être accepter au nom de la paix religieuse.
Altermédia - 19.11.09
Commentaires
Hans fait des promesses,comme toujours,de plus il a peur de Kadafifi,qui détient toujours 2 ressortissants suisses.
Le peuple a peut-être un compte à régler dans les urnes fâce à l'islam,le 29 Nov 09.
La Suisse est aussi une Grande Banque, elle n'a jamais craché sur le Fric, dans ce cas il faut faire des concessions et qui sait si une petite ....amabilité....
« La classe politicienne suisse tente au contraire…..» : tout le monde aura corrigé la faute de frappe et lira à la place : ‘politichienne’….