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La violence scolaire a atteint un seuil critique - Les profs ont peur des jeunes et de leurs parents...

Ne jamais tourner le dos à sa classe, pour éviter le compas qui vole, ils en avaient déjà plus ou moins pris l’habitude. Mais là, les profs n’en peuvent plus. Insultes, menaces, bagarres plus ou moins armées entre élèves, intrusions vengeresses… La violence atteint un degré tel qu’ils en viennent en rafale à poser le cartable et exercer un « droit de retrait ».

  
Injurié et frappé par un élève de 11 ans

La semaine dernière, c’était dans la Sarthe. Hier, c’était dans un lycée de Vitry (Val-de-Marne), théâtre la veille d’une agression à l’arme blanche entre jeunes. Ce même mardi après-midi, les profs d’un collège de Champigny avaient déjà cessé le travail après l’altercation entre un parent et un prof à l’issue d’un conseil de discipline. Même ras-le-bol dans un lycée professionnel de Villiers-le-Bel (Val-d’Oise) : les enseignants feront jouer leur droit de retrait ce matin, en soutien à un collègue régulièrement chahuté, bousculé et tapé en plein hier. A Meaux (Seine-et-Marne), un prof de primaire a porté plainte contre un gamin de 11 ans qui l’avait injurié et frappé. « On ne le fait jamais de gaieté de coeur », confie Dominique Thoby, qui suit les questions de sécurité au syndicat enseignant Unsa. Elle confirme que la violence, à force de grimper, atteint un niveau insupportable.

A l’abri des recensements chiffrés, puisque, en changeant son logiciel statistique il y a deux ans, le ministère a voilé les données. « La situation devient invivable, et plus seulement dans les ZEP », constatent les enseignants. Certains ont peur au point de s’enfermer en classe entre les cours, comme le raconte un prof de Vitry, où l’équipe se mobilisait depuis des mois pour signaler que le niveau d’agressivité des élèves atteignait un seuil critique.
La majorité souffre en silence. « Car la règle, c’est encore trop souvent de ne pas en parler, ou alors entre soi, parce que ce serait un aveu de faiblesse », déplore Dominique Thoby, qui, comme le Snes, regrettait hier que la réponse du ministère ne se résume qu’à des remèdes techniques : grilles et équipes de sécurité.

Le Parisien - 04.02.10

Commentaires

  • Profs de gauche, vous êtes coupables, vous vouliez la gauche, elle vous revient en pleine gueule.
    Si des hommes, dignes de ce nom, pas des PD, usaient enfin de la riposte dure et sans pitié, l'ordre reviendrait immédiatement. La Franche-Merde veille, son "ORDO AB CHAOS" marche selon ses désirs et ceux des invisibles qui la manipulent .
    Français n'espérez pas un retour à une vie normale tant que la Répugnante Gueuse sera à la tête du Pays.
    Pire qu'en 4O, il nous faudrait plus que jamais un Vieux Maréchal à la poigne de fer pour dégommer beaucoup de salopards.

  • Turigol a raison,depuis 65 la gauche et l'extrême gauche a noyauté l'enseignement,le résultat est là.
    Ils sont en train de transformer les lycées,écoles etc en prisons.

  • Ils ont ce qu'ils méritent. la France aussi . L'immigration est un désastre national .§

  • turigol, JLA et tramoni ont raison. Que tous ces gauchos - socialos de la rééducation nationale en prennent plein la g....., ce n'est qu'un juste retour des choses. Leur stupide idéologie antinaturelle les ménera droit dans le mur. Ils vont bientôt se retrouver à "enseigner" le droit de l'hommisme dans des écoles entourées de grilles - bientôt des miradors et des chiens ? La connerie humaine n'a pas de limites !

  • @turigol et à JLA: qui sème le vent récolte la tempête! Ils l'ont, qu'ils tremblent eux aussi!

    Que deviennent les élèves raciniens dans tout cela? On dirait dans tous ces articles sur la violence scolaire que les élèves français-français n'existent plus!

  • Ils sont forts ces ‘profs’ : ils ont deux cordes à leur arc : le droit de grève et le droit de retrait. Je ne sais pas quand ils ont fait cette invention, mais je reconnais que c’est astucieux ! ils ont inventé la double-grève. Une sorte de double-peine, en somme (pour les autres) !

  • @Gaelle

    Des Catholiques depuis quelques années créent des écoles "hors contrat" ; évidemment elle ne touche aucun argent de l'état, et pourtant ceux qui les fréquentent paient des impôts comme tout le monde, mais que ne ferait pas la gueuse pour détruire le véritable enseignement.
    Une de ces écoles a ouvert à Marseille il y a quelques années, elle était petite, faite pour 5OO élèves; en moins d'une semaine il y avait eu près de trois mille demandes d'inscription. Cette école ne pouvait pas faire plus qu'elle ne pouvait, ce qui est triste.
    Il y a aussi le problème de l'argent pour les familles Françaises trop pauvres pour accéder à ces écoles où règnent le calme, le travail paisible, le respect absolu des professeurs,les perturbateurs sont exclus rapidement.
    Toutefois une association diriger par Adrien Loubier (auteur, en particulier, de deux petits ouvrages par la taille mais d'une importance capitale pour les mises en garde : "Le Clubisme et les clubs" et "Groupes réducteurs et Noyaux dirigeants" ) a été fondée il y a de nombreuses années pour aider les familles Françaises financièrement, son nom :CEFOP , Les Guillots, 18260 Villegenon.
    Près de mille enfants de familles Françaises pauvres bénéficient ainsi d'une aide pour suivre une scolarité de qualité.
    Plus il y aura d'école "hors contrat" et de mécènes (mêmes petits) plus les Français modestes pourront accéder à la qualité.
    Trop de gens de bonne volonté donne de l'argent pour des causes souvent peu transparente (télémouton, arbalète,millauparty pissedjohn, etc, je parle en code bien sûr) alors que leurs dons seraient totalement utiles à des enfants de chez nous. L'argent est une arme, le nerf de la guerre, que nous gaspillons bien souvent , pour des C....ries.
    Aidons les, les résultats sont remarquables, ne dormons pas.

  • @turigol: je connaissais une de ces écoles, mais elle a été fermée, ne correspondant pas aux normes (je ne sais lesquelles)! Une guerre est menée contre les vraies écoles libres. Il y a des problèmes ensuite pour les élèves lorsqu'ils passent un examen d'Etat, comme le brevet ou le bac. Ils sont traités comme des marginaux, des sortes de parias.

  • effectivement tous ces professeurs de gauche n,ont qu,à étre courageux et expliquer leur pseudo-morale des droits de l,hommard et autre tolérances tout azimuts, à leurs chers éléves!!nous n,aurons pas une larme sur leur malheur!salutations.

  • @Gaelle

    Le grand Roger Holeindre avait ouvert une colonie de vacances où tout était impeccable. Une équipe de chieurs (chieuses aussi) vinrent contrôler (pour emmerder) l'état des lieux.
    Horreur tout était parfait !!
    Soudain ,l'un (une ?) de ces trous du chose eut une idée géniale...prendre un escabeau et passer un chiffon sur le plafond (plus le plafond est haut plus l'intelligence est basse et ce n'est pas des maths modernes).
    Victoire !! (dansons la Carmagnole) il y avait de la poussière ( pas beaucoup) mais pas de la bonne Poussière ripoublicaine.
    Je n'ai su la suite, mais gageons que R.Holeindre n'a pas du leur faire guili guili sous le menton.

  • @Gaelle


    Une guerre est menée contre ces écoles.

    La petite personne concurrente de la sarcozitude, ambitionnait à demi-mots , de faire passer pour secte les écoles Catholiques hors contrat.
    C'est toute la bienfitude de cette espèce d'ophidien au sourire niais mais redoutable en cas de prise du pouvoir.
    Nous ne pouvons pas nous permettre de nous laisser impressionner lors du passage d'examens, être des parias ou passer pour des marginaux ne durent que le temps d'une bataille, une bataille n'est pas une défaite.
    Nos enfants et leurs parents prémunis contre ces préjugés garderont leur calme, les batailles futures continueront.
    Il est remarquable de constater que beaucoup de gens "haut-placés" font l'impossible pour mettre leurs enfants dans ces écoles. Un de ces personnages disait un jour à la télé :"J'ai étudié chez les Jésuites, si j'en rencontre un dans la rue je lui casserai la G..,Mais je ferai tout pour y mettre mes enfants".
    Certes, la donne a changée, la persécution se renforce, ne capitulons pas malgré les pressions écoeurantes des zotorités. C'est leur faire beaucoup d'honneur que de leur parler de Cambronne.

  • Oui, c'est cela, turigol, les faire passer pour des sectes, avec de la poussière au plafond! Eux, ils des araignées au plafond, ils sont bourrés de haine, de mesquinerie, de mauvaise foi...
    Actuellement circule un texte contre le cardinal Ratzinger, comme quoi il aurait fait étouffer des scandales pédophiles dans les écoles catholiques... Je ne les mets sur le blog, tellement on sent le "montage", le mensonge fabriqué dans des officines anti-Vatican!

  • @parvus: pas une larme, en effet! Ils ont un sacré retour de bâton, ils le méritent! Ce sont tous des immigrationnistes!

  • @Gaelle

    Ceux qui insultent l'Eglise à travers le Pape, sous prétexte de prêtre pédomachin, sont sans doute de ces gens habitués a ces pratiques et hurlent avec les loups pour ne pas être reconnus.
    A la fin de la guerre, beaucoup d'individus louches ou lâches, se disaient résistants, et pour le prouver, commettaient les pires actes envers des personnes pour se donner bonne contenance. Les Communistes en furent les pires modèles.
    Les deux espèces sont du même im-monde.

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