Déplacement de la colonne infernale
Le 28 février 1794, tuant et incendiant sur leur passage, les colonnes des généraux Cordellier et Crouzat se dirigent vers le village des Lucs-sur-Boulogne. Mais sur le chemin, ils sont attaqués par Charette et mis en déroute. Cependant, après sa victoire, Charette, obligé de pratiquer la guérilla, se retire. Martincourt, un lieutenant de Cordellier s'en aperçoit et après avoir rallié plusieurs fuyards, se dirige vers Les Lucs avec l'intention d'y exercer des représailles.
Le massacre
Les Républicains, une fois entrés dans le village, rassemblent la population devant l'église. Les villageois n'étaient guère en mesure de se défendre, la population présente comptant principalement des vieillards, des femmes, des enfants dont 109 avaient moins de 7 ans. La quasi-absence d'hommes adultes convainquit les Républicains que ces derniers avaient participé aux combats sous les ordres de Charette. Matincourt avait choisi de ne pas faire de quartier ; de plus, il souhaitait que l'opération se fasse en économisant le plus de cartouches possibles. Les soldats firent donc entrer la population dans l'église jusqu'à ce que, tout à coup, la cohue s'arrête, l'église s'avérant trop petite pour pouvoir contenir toute la population du village. Les Républicains mirent leur baïonnette au canon, chargèrent et massacrèrent toutes les personnes restées à l'extérieur. Les portes de la chapelle furent ensuite fermées, emprisonnant les civils à l'intérieur. L'église fut ensuite incendiée et des tirs de canons provoquèrent son éboulement. (Wikipédia)
Commentaires
Merci, Gaëlle, pour cette évocation d'une des pages atroces et sanglantes de la Révolution. Bien sûr, elle ne figure pas dans les manuels scolaires...
Il y a "devoirs de mémoire" et ..."DEVOIRS DE MEMOIRE" !
La terreur révolutionnaire en Vendée :
Terreur d’état : « Nous porterons la terreur jusqu’où elle peut aller » (Garat).
L’homme nouveau : « Nous ferons un cimetière de la France plutôt que de ne pas la régénérer à notre manière » (Carrier)
Épuration ethnique :
les révolutionnaires donnent volontiers dans la symbolique macabre : ils coupent le sexe des hommes pour s’en faire des boucles d’oreille et font exploser des cartouches dans le vagin des femmes
Création, à Noirmoutier, du premier camp d’extermination de l’histoire moderne
Premiers essais de gazage de masse : insuccès, dû au gaz employé et à l’absence de confinement adéquat.
Première utilisation de fours crématoires : Essais peu concluants : il s’agissait de simples fours à pain de villages qui ne firent que quelques centaines de victimes. Plus efficace : l’utilisation des églises comme crématoires de grande capacité (Les-Lucs-sur-Boulogne, 563 villageois carbonisés)
Bonne communication : Quand les révolutionnaires ficellent de jeunes garçons et de jeunes filles, nus, par couple, avant de les précipiter dans la Loire (Bourganeuf, Nantes, 3000 noyades), il s’agit simplement de « mariages républicains »… Le terme « brigand » désigne tout Vendéen, insurgé ou républicain.
À Clisson, création d’ateliers de tannage de peau humaine - pantalons en peau (vendues par Saint-Just) dont se vêtirent les officiers républicains – et d’extraction de graisse par carbonisation : les corps des villageois massacrés constituent la matière première.
Solution finale : à partir de mai 1793 : pour les Robespierre, Saint-Just, Danton, Barère, Marat, Lazare Carnot, Carrier et autres gentils camarades du Comité de Salut public, le projet à l’ordre du jour n’est plus la simple mise au pas d’une province rebelle ; il s’agit clairement de l’extermination des 815.000 habitants de la Vendée, hommes, femmes, enfants, et la confiscation ou l’anéantissement de leurs biens.
Un grand spécialiste ne s'y est pas trompé :
« Il nous faut des Vendée ! »
Le camarade Trotski
Je viens juste de tomber sur le texte intégral du discours commémoratif prononcé par Alexandre Soljenitsyne, le samedi 25 septembre 1993, aux Lucs-sur-Boulogne.
http://eclairage.over-blog.net/article-alexandre-soljenitsyne-aux-lucs-sur-boulogne-45831790.html
LES VALEURS DE LA REPUBLIQUE :::
""Notez bien que pour se donner bonne conscience, la Répugnante a falsifié totalement l'Histoire de France ( et donc du monde) en cachant ses propres turpitudes, ses horreurs, ses crimes.. en les imputant au Millimètre près aux Allemands.
Affreux et honteux faux vase communiquant, cette Salope a cru se draper dans une blanche pudeur, une parfaite dignité pour en noircir d'autres beaucoup plus innocents que coupables.
" J'aimerais avoir cent mille langues, pour crier la Vérité sur les toits" (St Catherine de Sienne).
@justnaïf: merci pour le lien et pour votre commentaire qui
rappelle des FAITS prouvés que nous ne devons jamais oublier. C'est un devoir que de les faire connaître à nos enfants, qui n'apprendront pas à l'école ces HORREURS soigneusement occultées dans les programmes d'Histoire.
La voilà, la Mémoire, la nôtre!
Il y a eu génocide au nom de la République, au nom d'une idéologie monstrueuse sortie tout droit de la Franc-Maçonnerie. (je ne peux pas en dire plus)
Merci encore pour votre contribution.
Comme il est réconfortant d'entendre la voix de la vérité, alors que la TV ne nous montre constamment que les horreurs subies par le peuple juif !
Pauvre France républicaine qui se veut toujours l'initiatrice des "droits de l'homme" et ainsi se glorifier partout. Combien devrait-elle avoir honte, cette république franc-maçonne de conserver les noms de ses bourreaux sur l'Arc de Triomphe !
La Vérité est en marche, grâce à Dieu !
@ CHERBONNEAU: je vous remercie pour votre commentaire. Que je partage absolument. Les crimes commis par la République, au nom des principes maçonniques, sont innombrables. Ils sont la honte de la France, les seuls dont elle a à se repentir.
les humanistes passent et pour cause le génocide vendéen sous silence!!
pour ces faits monstrueux , nous avons un devoir de mémoire!!
salutations.