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Pas de congé de paternité pour la lesbienne

Une jeune Française homosexuelle qui réclame un congé paternité pour s'occuper de l'enfant de sa compagne a été déboutée de sa demande le 11 mars par la Cour de cassation, la plus haute juridiction judiciaire française, a-t-on appris jeudi.

Elodie, 33 ans, réclame un congé de paternité pour l'enfant que sa compagne Karine, 35 ans, a porté après une insémination artificielle en Belgique. Le congé paternité est, en France, un congé de 11 jours que les pères peuvent prendre dans les quatre mois après la naissance

Ce congé lui a été refusé par l'assurance maladie, puis par le tribunal des affaires de sécurité sociale de Nantes (ouest) en 2006. Elodie et Karine ont ensuite été déboutées par la Cour d'appel de Rennes (ouest) en 2008 avant de l'être à nouveau par la Cour de cassation.

"Ma compagne et moi-même, qui menons ce combat depuis six ans, ne sommes pas surprises de cette décision rendue", a expliqué Elodie. Mais cet arrêt "est pour nous un passage obligatoire afin d'accéder à la Cour européenne des droits de l'homme qui, nous l'espérons, abondera dans notre sens", a-t-elle ajouté.

Depuis le début, les deux jeunes femmes se battent en s'appuyant notamment sur la condamnation de la France pour discrimination sexuelle par la Cour européenne des droits de l'homme pour avoir refusé le droit d'adopter un enfant à une enseignante lesbienne.

Le Figaro - 18.03.10

Commentaires

  • La Papa du bébé ne peut pas prouver qu'elle est un monsieur dame, ni l'inverse.
    Quand donc ces folies disparaîtront-elles totalement de notre Pays ; une vraie histoire de fous à moitié folles, de folles réellement folles, et de folles complétement fous.

  • Je plains le bébé qu’elles ont piqué on ne sait où !
    Il est évident que ces gouines ne font pas ces procès d’elles-mêmes. Elles sont en réalité téléguidées par les lobbies pédés qui les financent et leur font faire ces procès pour déstabiliser la société. Comme Halimi l’avait fait dans son temps avec l’avortement, avec le succès que l’on sait aujourd’hui puisque l’avorteuse en chef est reçue sous la Coupole. Tous ces gens qui ne vivent que la haine de leurs semblables veulent détruire la société qui les fait vivre.

  • «les deux jeunes femmes se battent en s'appuyant notamment sur la condamnation de la France pour discrimination sexuelle» : elles devraient attaquer le Bon Dieu pour discrimination sexuelle, vu qu’il a obligé que la fécondation soit faite entre un spermatozoïde et un ovule ! Voilà un beau motif de bagarre judiciaire, n’est-ce pas figaro ?

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