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Carla Bruni et son mari adorent New York

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Pour la cinquième fois, le couple présidentiel a choisi de faire escale à New York. L'occasion pour l'épouse du chef de l'État de mener la première action caritative de sa fondation.

L'épouse du président est pourtant avare de visites protocolaires, mais, depuis son mariage, en février 2008, elle n'a jamais raté un voyage américain. «New York, c'est leur Venise à eux», résume un proche du couple présidentiel.

C'est aussi à New York que l'épouse du chef de l'État a trouvé «la meilleure écoute pour financer la Fondation Carla Bruni-Sarkozy», observe son entourage. «La Fondation de Carla va développer un programme ambitieux de scolarisation dans les milieux défavorisés, marié à un projet culturel d'envergure», a expliqué le président. Son épouse avait rencontré plusieurs mécènes fin septembre, lors de leur dernier passage pendant l'ouverture de la session officielle des Nations unies. Très discrète depuis plusieurs semaines, Carla Bruni est réapparue dans les médias à l'occasion d'un numéro spécial du Figaro Madame . Depuis New York, elle a voulu montrer, le temps d'un week-end, qu'elle n'oublie pas ses «fondamentaux» de première dame.

 

«Amener le savoir aux plus vulnérables» 

 

Outre son rôle d'ambassadrice du Fonds mondial de lutte contre le sida, Carla Bruni explique souvent qu'elle a lancé sa fondation «pour amener le savoir et les arts aux plus vulnérables». Mais il manquait l'illustration par l'exemple à ce beau programme. La toute jeune fondation, née officiellement au mois d'octobre, initie donc depuis Manhattan sa première action caritative.

Au menu, l'éducation aux arts et la lutte contre l'illettrisme dans les quartiers défavorisés. Carla Bruni a visité dans l'après-midi l'école d'art lyrique, la ­Julliard School, où elle s'est réjouie d'être, «dans une maison aussi prestigieuse entourée de gens aussi talentueux». Parmi eux, le chef d'orchestre William Christie, dont elle a suivi une répétition. Elle a annoncé un programme franco-américain de bourses d'échange. Puis elle s'est rendue à l'Université de New York, également partenaire de ce programme.

Aujourd'hui, elle visitera à Washington une école dans un quartier défavorisé. Carla Bruni avait déjà visité à Pittsburgh une école d'art américaine, avec son «amie» Michelle Obama, et toutes les épouses de chef d'État présentes. Cette fois-ci, elle découvrira en solo cette école ­modèle.

Le Figaro - 30 mars 2010

Commentaires

  • il est vrai que chez nous ,il n,y a pas de gens défavorisés! rien que des nantis!salutations.

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