L'auteur présumé des coups de couteau portés à Martin s'est présenté au commissariat mardi en fin d'après-midi. La victime, 23 ans, a été entendue lundi par les policiers.
Les policiers qui enquêtent sur le lynchage de Grenoble, le 9 avril dernier, ont pu rendre visite à la victime pour la première fois lundi. Le visage tuméfié, le corps bandé aux endroits où la lame de ses agresseurs lui a tailladé le bras et transpercé le poumon,
Martin, 23 ans, a répondu aux questions du mieux qu'il pouvait. Les médecins craignaient qu'il ne manifeste des séquelles neurologiques après son coma. Mais il s'est exprimé sans que l'on décèle de troubles de la parole. Problème : du fait du traumatisme de l'agression et des dix heures d'opération qu'il a subies, il se souvient à peine des faits. La présentation des photos des suspects n'a rien donné, de son côté.
Pour cerner les responsabilités des voyous filmés dans le tramway peu avant l'agression, les policiers s'accrochent donc aux déclarations de ses camarades et des autres témoins.
Ce soir-là, vers 23 h 15, Martin, sa petite amie et deux autres copains montent dans une rame pour aller boire un dernier verre en ville. À bord, une bande issue des quartiers sud chahute. «Nous étions à l'avant du tram, raconte un copain, eux à l'arrière. Ils sont sortis en même temps que nous.»«Certains étaient visiblement dans un état second», ajoute un policier.
Drogue ? Alcool ? «Les jeunes mélangent souvent les deux les soirs de sortie et ce cocktail occasionne de nombreux dérapages», explique le fonctionnaire. «On voyait qu'ils cherchaient la bagarre, poursuit l'ami de la victime. Ils ont demandé une cigarette à la copine de Martin qui n'en avait plus.» Celle-ci s'est alors fait insulter. « Puis ils ont apostrophé Martin en lui lançant : Hé toi, le frisé !», raconte le témoin. Et voici comment le jeune cartographe, qui voulait calmer le jeu, a focalisé l'agressivité de la bande.
«Comme un instinct grégaire»
Le groupe d'amis a pressé le pas pour échapper aux provocations. Mais au bout de 200 mètres, sur la place Grenette, «ils ont commencé à le frapper et Martin s'est retrouvé à terre, raconte son camarade. On a essayé d'intervenir, mais les cinq ou six du départ ont reçu le renfort d'autres jeunes. Ils étaient au total quinze ou vingt.»
Une sorte de pulsion collective aurait donc poussé d'autres voyous présents sur les lieux à se mêler au lynchage. «Comme un instinct grégaire, constate un policier. Ce phénomène très inquiétant est d'ailleurs de plus en plus fréquent.» Une jeune fille, autre témoin direct, cité par Le Dauphiné, raconte : «Ils l'ont passé à tabac et se sont acharnés sur lui avec une violence inimaginable. L'un des agresseurs a même pris son élan pour lui décocher un coup de pied dans le dos.» Tout à coup, l'un des voyous a dit : «On se barre ! On se barre !» À cet instant, le groupe d'agresseurs s'est divisé en deux pour prendre la fuite. Martin venait d'être frappé de deux coups de couteau, dont l'un dans le dos.
Mardi, la police avait arrêté sept personnes, dont cinq mineurs. En fin de journée, le suspect principal, un jeune adulte connu des services de police pour violences, s'était présenté au commissariat de police, où il a été placé en garde à vue. Agé d'une vingtaine d'années, le jeune homme a été identifié comme l'auteur des coups de couteau sur la base de divers «témoignages» et d'«éléments techniques». Il a reconnu «avoir eu le couteau en main mais assure que ces coups seraient involontaires», a-t-on précisé de source judiciaire. Il devrait être déféré dans la matinée au parquet.
Seuls deux jeunes mis en cause reconnaissent avoir porté des coups, mais sans fournir d'explication à leur geste, se contentant de «déclarations a minima». Les autres nient toute violence. Le parquet, qui a ouvert une information judiciaire, a requis leur mise en examen pour tentative d'homicide visant l'auteur présumé des coups de couteau, violences aggravées en réunion avec usage d'une arme et «participation à un groupe violent».
Le Figaro - 14 avril 2010
Commentaires
Nouvelle découverte importante en physique : la Merde est magnétique, si deux merdes passent, les autres merdes rappliquent du Nord, du Sud, de l'ouest de l'est et de partout, une forme nouvelle d'aimantation , les pôles de même noms ne se repoussent pas.
La lâcheté seule obtient la dislocation du tas de merdes sur pieds.
Ce malheureux jeune Français représente à lui seul toute la jeunesse Française potentielle victime de fous venus de l'islam, ne soyons pas hypocrites. On reconnait une Vraie Civilisation à la façon dont vivent les individus.
La Civilisation venue du Christianisme a fait notre grandeur dans le monde entier, voici que l'Acivilisation mahométane se montre sous son jour hideux, une anti- civilisation.
J'accuse ce faux gouvernement de complicité avec les saloperies abominables qui souillent la France par leur seule présence.
En fait ce magnétisme qui rassemble toute une bande pour frapper l'homme à terre ,c'est la curée §
"Drogue ? Alcool ? «Les jeunes mélangent souvent les deux les soirs de sortie et ce cocktail occasionne de nombreux dérapages», explique le fonctionnaire".
Les déclarations du policier dans cet article donnent l'impression qu'il cherche à excuser ces crapules .
@turigol
Il y a plusieurs années , des émeutes aux EU provoquées par des noirs , ont fait de nombreuses victimes blanches ; des images terrifiantes de malheureux battus à mort , au moyen de coups de pied avec élan, ont été diffusées.
Ces noirs n'étaient pas musulmans ; je pense qu'il s'agit avant tout d'une prédisposition raciale (voir le génocide des tootsies).
@marie
Ces noirs n'étaient pas musulmans.
Il y a des musulmans noirs aux USA, Cassius Clay était chrétien puis s'est fait appelé Mohamed Ali pour indiquer un choix islamique.
Alors, sont-ce les gènes ou pas, je n'en sais fichtre rien, je connais des noirs chrétiens d'une grande bonté et douceur.
Peut-être y at-il une réponse chez Bernard Lugan, spécialiste de l'Afrique.
@ turigol
C'est le problème de la cause et de l'effet.
L'Islam est une religion violente , certes ; mais les populations qui ont adopté cette religion l'ont -elles adoptée parce qu'elles étaient naturellement violentes ou sont-elles devenues violentes parce qu'elles ont adopté,volontairement ou non l'Islam ?
Un peu des deux , certainement.
Regardez les tchéchènes, barbares et maffieux, qui sont des indo-aryens , sous réserve d'une erreur de ma part .
Savez-vous quelle est l'origine ethnique de Martin ?
Avez -vous vu une photo de lui ?
Le prénom Martin est en général adopté par des noirs ou des israélites; ajouté à cela que ses agresseurs l'ont appelé le "frisé ", alors qu'ils feraient partie, de populations frisées ou crépues , je trouve cela curieux .
Les médias s'intéressent plus que de coutume au cas d'une victime.
Bon, je délire peut-être, mais les manipulations sont tellement quotidiennes !
Il y a une vidéo sur fdesouche. Horrible à voir, la bestialité et la lâcheté comme jamais vue en France.
Toute cette pourriture doit être anéantie, nos enfants sont en grave danger, unissons nos forces et rendons cent coups pour un, et pas de pitié pour ces chiens enragés, leurs mères auraient franchement mieux fait de crever, que d'engendrer pareils démons.
Bon, grâce à figaro, on a compris : tout ça c’est la faute à l'alcool et au couteau qui, par hasard est allé se planter dans les côtes de Martin. Merci, figaro de nous éclairer ! Que deviendrions-nous sans ce valet de chambre ?
Et remercions ce jeune boursier qui a eu le courage et l’honnêteté de se présenter lui-même à la police, qu’il connaissait pourtant déjà. Et la ‘présumée’ victime ne se souvient de rien ! Si cela se trouve, il n’y a jamais eu d’agression ! Et d’ailleurs cette victime a été rétrogradée du rang de géographe à celui de cartographe ! C’est tout de même beaucoup moins noble ! Alors, on ne va pas s’embêter pour un simple cartographe ! D’ailleurs, on n’interroge même pas les deux autres amis de la ‘présumée’ victime qu’ils accompagnaient lors de l’agression : ces amis qui n’ont rien à dire, ils n’ont rien vu, rien entendu, voyons ! Au fond, je me demande si tout ça n’a pas été inventé par JMLP qui commence à s’ennuyer depuis qu’il a annoncé qu’il quitterait la présidence du FN.
@marier
Votre texte n'était pas encore lisible , au sujet de Martin , c'est aussi le Patronyme le plus courant en France.
En tout cas ce jeune homme a été frappé avec une sauvagerie que seules des saloperies peuvent commettre.
Des fils de chiens, de porcs, dont il faut débarrasser le Pays.
Dératiser de toute urgence, s'organiser en bandes et rendre la monnaie de la pièce sans pitié.
Un chien enragé on le négocie.
@turigol
J'ai fait cette remarque car les seuls Martin , de prénom, que j'ai connus dans ma vie étaient noirs (référence à Martin Luther King) ou israélites .
Je suis tout à fait d'accord avec vous : les musulmans doivent retourner dans leurs pays d'origine , cela est tout à fait naturel, mais pas que les musulmans : tous les africains immigrés récemment, quelque soit leur confession.
Ils ont un pays et en outre ils ne sont en France que pour les allocations, quelque soit leur confession.
Mon Dieu, je n'excuse pas du tout ces criminels !
Au contraire ;mais quelque chose me parait bizarre dans cette affaire ; une simple intuition.
Quant aux déclarations de ce policier , elles sont immondes ; mine de rien, il ne cherche qu'à excuser ces ordures : alcool,drogue, "instinct grégaire".
La violence et la bestialité, à ce point répandue, se trouve dans les gènes.
Ils sont tarés dès leur naissance. Beaucoup battent leurs mères, et leurs père aussi, violent leurs soeurs...
Tous ou presque sont violents, anormalement, y compris les femmes.
J'ai failli me faire gifler et arracher les yeux par un professeur de francais, Algérienne vivant à Alger, de passage à Marseille! Elle écoutait ce que je disais au vendeur dans une librairie, et elle a cru que je tenais des propos RACISTES! Alors que ce n'était nullement le cas! - cette "dame", d'environ 45 ans, m'a suivie ensuite dans la rue, menaçante, jusqu'à ce que je retourne et lui demande ce qu'elle me voulait. Elle a éclaté! Je l'ai calmée, ne voulant pas être défiguée par ses ongles!
Je lui ai beaucoup parlé, comme à une enfant, et peu à peu elle s'est calmé, a reconnu son erreur grossière, et m'a demandé pardon! - Pauvre cinglée obsédée par le "racisme"! Et elle enseignait le français à Alger...