Véronique Courjault, reconnue coupable le 18 juin 2009 par la cour d'assises d'Indre-et-Loire d'un triple infanticide, est sortie de prison vendredi, la justice ayant accepté sa demande de remise en liberté, a déclaré à l'AFP son avocate, Me Hélène Delhommais.
En liberté conditionnelle, Mme Courjault "a interdiction de communiquer avec la presse. Elle respectera ses obligations", a affirmé son avocate. "Elle souhaite vivre au calme et si sa vie privée était violée, elle attaquerait en justice", a ajouté Me Delhommais.
Détenue à la maison d'arrêt d'Orléans, Véronique Courjault a effectué près de quatre ans de prison. Incarcérée depuis octobre 2006, elle avait été condamnée le 18 juin 2009 par la cour d'assises d'Indre-et-Loire à huit ans d'emprisonnement pour avoir tué trois de ses nouveau-nés.
Devant les enquêteurs, Véronique Courjault reconnaît trois infanticides. Le premier sur un nouveau-né mis au monde clandestinement au cours de l'été 1999 en Charente-Maritime, les deux autres sur deux bébés nés en septembre 2002 et décembre 2003 à Séoul où son mari, ingénieur, travaillait pour une société américaine. Il a été mis hors de cause après avoir été dans un premier temps mis en examen pour "complicité d'assassinats".
En liberté conditionnelle, Mme Courjault "a interdiction de communiquer avec la presse. Elle respectera ses obligations", a affirmé son avocate. "Elle souhaite vivre au calme et si sa vie privée était violée, elle attaquerait en justice", a ajouté Me Delhommais.
Détenue à la maison d'arrêt d'Orléans, Véronique Courjault a effectué près de quatre ans de prison. Incarcérée depuis octobre 2006, elle avait été condamnée le 18 juin 2009 par la cour d'assises d'Indre-et-Loire à huit ans d'emprisonnement pour avoir tué trois de ses nouveau-nés.
Devant les enquêteurs, Véronique Courjault reconnaît trois infanticides. Le premier sur un nouveau-né mis au monde clandestinement au cours de l'été 1999 en Charente-Maritime, les deux autres sur deux bébés nés en septembre 2002 et décembre 2003 à Séoul où son mari, ingénieur, travaillait pour une société américaine. Il a été mis hors de cause après avoir été dans un premier temps mis en examen pour "complicité d'assassinats".
Le Figaro - 17/05/10
Commentaires
Souhaitons pour les foetus qu'elle soit ménopausée...
Me Delhommais est une super avocate : réussir à faire libérer une femme qui a commis 3 infanticides au bout de moins de 4 ans de prison, soit, en gros, 15 mois par assassinat, chapeau ! Mais, comme nous le précise figaro, en bon valet de ses maîtres, madame Courjault reste très sévèrement punie : elle ne doit pas communiquer avec la presse ! Mais si elle est violée, elle attaquera en justice : ça, c’est un avertissement pour Polanski qui a intérêt à bien se tenir !
Avec cette libération, notre société s’enfonce un peu plus dans le sang, la boue, la fange,….
Quelle est l'origine communautaire de Véronique Courjault?
A zélionaya : mais même ménopausée, avec les techniques modernes de fécondation in-vitro et d’implantation in-vivo, et grâce aux grands experts de fécondation assistée, qui seront réquisitionnés au besoin, elle pourra tranquillement faire son quatrième infanticide : et ce sera un record dûment enregistré au Guiness !
@Zelonaia et Matthieu : excellent !!!
Et pour la légion d'honneur c'est pour la prochaine fournée. C'est sûr.