Cédric Horneck a été condamné vendredi à la réclusion criminelle à perpétuité, avec une période de sûreté de dix-huit ans, pour le meurtre d'Anne Deriez et la tentative d'assassinat contre le fils de celle-ci, Antoine, 8 ans, en mai 2008.
Le petit garçon, qui avait échappé miraculeusement à la noyade, avait alors été surnommé «l'enfant du lac».
Avant que les jurés se retirent pour délibérer, Cédric Horneck a déclaré : «Avec le procès, ça m'a permis de prendre conscience de certaines choses que je ne réalisais pas seul en prison.» «Je ne peux que reconnaître ma responsabilité dans ce qui s'est passé, je demande pardon aux victimes, à la famille des victimes et à la société», a-t-il dit.
Le Parisien - 28/05/10
Commentaires
Il peut remercier Badinter qui lui a sauvé la vie ! Il est vrai que Badinter réserve la peine de mort aux innocentes victimes !
@ abad: il méritait la mort, mais l'affreux Badinter l'a sauvé!
1981: je me souviens de cette date; quand j'ai appris l'abolition de la peine de mort, j'ai compris qu'on venait de faire un grand pas vers le désordre et le crime. Et que les meurtriers pouvaient se réjouir! - La preuve, nous l'avons presque tous les jours, maintenant... Il n'y a plus de frein, plus de dissuasion, et je ne crois pas du tout aux arguments des abolitionnistes.
Ceux qui donnent si facilement la mort aux innocents avaient PEUR de mourir à l'aube, entre les bois de justice.
Avec les expertises ADN, il ne peut plus y avoir d'erreur judiciaire.