Hortefeux s'est rendu lundi à Saint-Aignan, théâtre d'une vendetta menée par les "gens du voyage" après la mort d'un des leurs.
Panneaux de signalisation arrachés, tilleuls abattus et découpés à la tronçonneuse, vitrines de commerces brisées, voitures et locaux municipaux incendiés et brigade de gendarmerie attaquée… La paisible vallée du Cher, réputée pour son caractère bucolique, est secouée par une invraisemblable vendetta.
Pendant deux jours, des raids sporadiques ont été menés par des gens du voyage assoiffés de vengeance après le décès de Luigi, un jeune de leur communauté abattu d'une balle vendredi vers 22h30 à Thésée-la-Romaine (Loir-et-Cher) alors qu'il forçait un contrôle. Faisant mine de s'arrêter, le conducteur accompagné du jeune homme avait réaccéléré sur les gendarmes. «Ils étaient clairement identifiables avec leur chasuble et leur véhicule dont le gyrophare était allumé», assure un officier. Un militaire avait ouvert le feu à deux reprises, touchant mortellement le passager.
Surpris quelques heures auparavant pendant qu'il agressait un adolescent à un distributeur de billets dans le bourg voisin d'Onzain, ce dernier avait percuté avec sa Renault 19 un gendarme de 51 ans venu l'interpeller. Traîné sur le capot du véhicule sur 500 mètres, le militaire s'en était tiré par miracle avec quelques blessures à la tête, au bras et à la hanche.
Bien décidés à faire rendre gorge aux forces de l'ordre, dont ils contestent la version des faits, des inconnus (sic) ont écumé un périmètre de 900 kilomètres carrés dans la vallée pour semer le désordre. Dans la nuit de dimanche à lundi, six véhicules ont été retrouvés calcinés dans les villages d'Onzain, de Mehers et Chemery, où une vitrine a été défoncée à la voiture bélier. Par ailleurs, deux salles communales ont été livrées aux flammes, à Couddes et à Thésée. Là, huit cocktails Molotov ont été retrouvés en bordure d'une voie ferrée.
La veille, une horde d'individus, certains encagoulés, armés de haches et de barres de fer, avaient semé la terreur à Saint-Aignan avant d'enfoncer le portail de la gendarmerie, de dégrader les locaux du peloton autoroutier et de dévaliser une boulangerie.
Venu lundi après-midi dans ce village tranquille de 3400 âmes, Brice Hortefeux a prévenu d'emblée: «Nous ne pouvons pas tolérer l'intolérable, j'ai donc demandé à ce que des moyens importants lourds et massifs soient mis en place.» «Les gens du voyage ne sont pas au-dessous des lois, ils ne sont pas au-dessus non plus», a précisé le ministre de l'Intérieur.
Mobilisation maximale
Quelques heures auparavant, le général Jacques Mignaux, le directeur général de la gendarmerie, ayant lui aussi fait le voyage dans le Loir-et-Cher, a promis: «Cela durera le temps qu'il faudra, nous interpellerons les auteurs des exactions et nous les transférerons à la justice.» De son côté, le parquet de Blois a indiqué vouloir mener «de façon impartiale et rigoureuse» l'enquête permettant d'éclaircir les circonstances du tir ayant coûté la vie au jeune fuyard.
Lundi, tandis que la famille gitane endeuillée criait sa colère, quelque 300 gendarmes, dont des hommes d'élite du GIGN, ont été déployés pour quadriller le secteur. Un large périmètre était survolé par deux hélicoptères équipés de caméras thermiques. La mobilisation des services de sécurité restera maximale aujourd'hui, les obsèques de Luigi ayant lieu mardi matin à Saint-Gervais-la-Forêt, près de Blois.
Le Figaro - 20/07/10
Commentaires
Ce qu'il convient de noter dans ces deux affaires crapuleuses qui secouent le pays,ce sont les capacités de mobilisation des musulmans et des gitans à la vitesse de l'éclair.
Chez nous,pour l'instant,cette capacité est proche du zéro.
Réfléchissons bien:en cela consiste toute la différence entre la vie et la mort.
L'histoire toujours ne s'embarrasse pas de morale mais de force.
Notre peuple doit retrouver sa cohésion sinon il succombera comme des centaines d'autres peuples avant lui sous les coups des barbares.
Alors circoncis par persuasion(voire ONU) ou de force,nous prendrons probablement tous le chemin des mosquées.
Les vainqueurs réécriront l'histoire et s'inventeront alors une morale pour expliquer leur victoire et ils effaceront nos noms aux frontons de nos monuments.
D'ailleurs pour qui visite une certaine encyclopédie sur le net,cette "épuration" est déjà en cours dans un consensus général.
Soumission ,lacheté
Au cours d'une chasse en Afrique j'ai eu à tirer sur des pintades sur un arbre perché . Tir facile ; Une pintade tombait . les autres gardaient la pose sur la branche et tombaient à leur tour . Aucune panique ,aucun envol précipité .
Les français d'aujourd"hui sont comme ces pintades . Un d'entre eux tombe sous un coup assassin ,les autres regardent à peine et poursuivent leur digestion .
à Saint Aignan ,la population trop paisible a regardé sans bouger les hommes en cagoule abattre leurs arbres centenaires . Aucun n'est sorti de sa demeure pour crier : Holà ! La rue était abandonnée à une poignée d'hommes du voyage .La peur d'avoir à affronter cloitrait les hommes chez eux . Aucun élan pour défendre le patrimoine urbain .,le patrimoine commun.
Le français a perdu l'instinct de conservation . il lui manque désormais cet esprit de meute qui rassemble instantanément les immigrés et leurs enfants à la moindre alerte. C'es l'esprit de meute qui donne la victoire . La brebis finit toujours par etre mangé
ou la pintade
Les français sont devenus pintades .
Que sont devenus les hommes de ratonnades . Les ratons ,aujourd"hui ,c'est nous
Ils ont osé couper des arbres magnifiques qui ne leur ont rien fait ! Mais pas un écologiste-vert ne s’est élevé contre ce crime ! Cela prouve une nouvelle fois que ces écologistes ne sont absolument pas de vrais écologistes : ce sont des gauchistes anti-nationaux qui, en fait, veulent détruire le pays !
Nous avons quelques ennemis notoires : les muzz, les gitans et les crotales.
@ tramoni nos jeunes au lieu de s'instruire sur nos mouvements ont pris la tangente et se sont transformés en nazillons de pacotilles incapables de la moindre ratonnade ou le moindre combat contre les crotales des milices de la ligue de défense juive et du Bétar.
Quant aux gitans il faut appliquer le principe
-du chat noir crevé jeté au milieu du campement ce qui signifie que le gardien est mort ou un coq mort symbole de la vie, voire un écureuil mort véritable porte-bonheur pour les matrones
- ou lui péter sa voiture car un gitan sans cheval n’est pas un gitan.
C’est une forme de langage qu’ils comprennent fort bien puisque qu’on s’attaque à leurs symboles.