Une femme de 62 ans a été victime d’une agression d’une rare violence, dans la nuit du 13 au 14 août. La victime a été retrouvée, gisant dans son sang, rue de Cambrai dans le XIXe arrondissement de Paris, à quelques pas de son domicile. Le jour des faits, vers 7 h 30, un passant donne l’alerte après avoir aperçu la victime, très grièvement blessée à la tête, à demi inconsciente et allongée sur le sol.
« Elle a été prise en charge par les secours avant d’être évacuée vers l’hôpital Lariboisière, confie une source proche de l’affaire. Elle a dû subir une intervention chirurgicale pour soigner plusieurs de ses blessures. C’est une agression particulièrement sauvage et qui demeure, pour l’heure, sans mobile. Elle a été violée et frappée à de nombreuses reprises par son ou ses agresseurs. Ils se sont littéralement acharnés sur elle. » Toujours hospitalisée, Albertine n’a pas pu être entendue par les enquêteurs. « Elle est très choquée par ce qui lui est arrivé, ajoute la même source. Les enquêteurs se sont rendus chez elle et, apparemment, ils n’ont rien remarqué de suspect. Tout semble en ordre et rien n’a été volé. »
Les policiers de la 2e DPJ tentent, pour l’heure, d’établir le parcours de la victime avant son agression.
« Les médecins qui l’ont prise en charge ont précisé qu’elle semblait ne plus se souvenir des circonstances des multiples violences qu’elle a subies, relate un proche de l’affaire. Le lieu des faits reste à déterminer. Elle a été retrouvée rue de Cambrai mais elle a pu être agressée ailleurs avant d’être laissée pour morte à cet endroit par son ou ses agresseurs. »
Décrite comme « une femme discrète » par plusieurs de ses voisins, Albertine avait été suivie pour des troubles psychiatriques. « C’est une femme fragile psychologiquement, précise un enquêteur. Son entourage va être étudié mais aucune piste n’est privilégiée. »
Les policiers ont tenté de faire des recoupements avec des faits similaires commis dans le même secteur. En vain. « Aucune agression d’une telle violence n’a été commise sur une retraitée à Paris au cours des derniers mois, poursuit la même source. Ces faits sont très inquiétants. »
* Le prénom de la victime a été changé.
Le Parisien - 19/08/10
Commentaires
C'est la faute à Rousseau, à Voltaire ?
Non, c'est la faute à Galinier.
Encore une victime de la division "Das Reich" qui se retirait d'Oradour !
C'est fou le nombre de personnes qui sont fragiles psychologiquement.
Elles deviennent la proie des hyènes de la république compatissante.
Je rêve d'un réveil total et inconditionnel, d'une levée de boucliers du peuple de FRANCE, et qu'on en finisse avec tous les malfaisants qui nous pompent l'ozone.
Cette malheureuse pourra se consoler en pensant qu’elle ne risque pas d’être poursuivie pour « légitime défense » ! Encore que cela ne soit pas sûr ! On ne sait jamais avec ces procureurs soumis au lobby !
Et cet article révèle leur noirceur : «C’est une agression particulièrement sauvage et qui demeure, pour l’heure, sans mobile » : effectivement violer une femme exige un mobile, sinon ce n’est pas un viol. Ce serait comique s’il ne s’agissait pas d’un tel drame ! Je crois que c’est la première fois que je lis une pareille ignominie ! Tous les jours, en France les autorités dépassent les bornes de l’ignominie !