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Otages en Afghanistan: Paris espère leur libération après l'action de Kaboul

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La ministre des Affaires étrangères le 15 décembre 2010

La France espère que l'action du gouvernement afghan dans l'affaire des otages français en Afghanistan permettra leur libération rapide, a déclaré dimanche la ministre française des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, sans précisions sur cette action.

Elle n'a pas dit en quoi consistaient ces démarches.

Les journalistes de France 3 Hervé Ghesquière et Stéphane Taponier, et trois accompagnateurs afghans, ont été enlevés il y a près d'un an, le 30 décembre 2009, dans la province de Kapisa, où est stationnée une partie des forces françaises engagées avec les troupes de l'Otan.

"Nous savons qu'ils sont vivants, plutôt en bonne santé même s'il est évident qu'au bout d'un an ça doit commencer à peser", a ajouté Michèle Alliot-Marie.

Interrogée sur la situation des otages français au Sahel, elle a répondu: "Moins on en parle, moins on les met en danger et plus les choses ont des chances d'avancer". "Le gouvernement et les ministres concernés sont totalement mobilisés" pour les faire libérer, a-t-elle assuré.

Le 16 septembre, cinq Français ainsi qu'un Togolais et un Malgache, pour l'essentiel des collaborateurs des groupes industriels français Areva et Satom, ont été enlevés à Arlit dans le nord du Niger, un site d'extraction d'uranium. Ils seraient détenus dans le nord-est du Mali. Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué ce rapt le 21 septembre.

AFP. 20.12.10

 

 

 

Commentaires

  • Vous avez vu ce sourire béat de l’imbécile heureuse ?
    «au bout d'un an ça doit commencer à peser» : alors, ça pèse combien ?

  • Cher abad, j'ai remarqué aussi sa magnifique pelisse fourrée! Des vêtements qui valent aujourd'hui une fortune! Mais elle a les moyens...

  • Je verrais bien la parfumée binoclarde et dûment recouverte de sa pelisse aux mains de primitifs talibans (pléonasme) se faire reluquer des pieds à la tête .

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