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Après "Hemingway", PPDA encore poursuivi pour plagiat!

PPDA et Agathe Borne le 18 mai 2008.jpg

Patrick Poivre d'Arvor et Agathe Borne le 18 mai 2008 au Festival de Cannes - (Cliquez sur la photo)

Patrick Poivre d'Arvor, qui se débat déjà avec des accusations de plagiat dans sa biographie d'Hemingway, doit comparaître le 9 février devant la justice pour "contrefaçon", cette fois pour son roman "Fragments d'une femme perdue" (Grasset, 2009), révèle mardi lexpress.fr.

L'affaire sera examinée le 9 février par la 17e chambre civile du tribunal de grande instance de Paris.

Selon la plaignante, "Fragments d'une femme perdue" reprendrait mot pour mot, sur des pages et des pages, 11 longues lettres d'amour qu'elle avait envoyées à PPDA. Cette correspondance occupe une dizaine de chapitres, souligne L'Express.

Or le droit est formel : si une lettre appartient bien physiquement à son destinataire, la décision de la publier (le "droit moral") relève, elle, uniquement de son auteur. Et nécessite une autorisation signée.

PPDA et Agathe Borne, de vingt-cinq ans sa cadette, se sont connus dans une tribune de Roland-Garros, lors de la finale du tournoi 2006. Une liaison va bientôt les unir. Une couverture de Paris Match montrera même le couple, radieux, sur les marches du Festival de Cannes en 2008...

La même année, rupture. Et, à la rentrée 2009, Patrick Poivre d'Arvor publie "Fragments d'une femme perdue". Ce roman - le mot figure en toutes lettres sur la couverture - est une transposition transparente de son idylle avec Agathe Borne, assure l'hebdomadaire.

En janvier 2010, la jeune femme demande à son avocate, Me Nathalie Dubois, de déposer plainte contre PPDA pour violation de la vie privée. Et l'attaque également pour contrefaçon.

A l'appui de son accusation, elle fournit les copies de deux lettres manuscrites (retournées par PPDA et annotées), un fax, de très longs messages écrits sur IPhone (authentifiés par un huissier), ainsi que des carnets et brouillons où elle rédigeait ses missives avant de les envoyer. Tout cela se retrouve in extenso dans le roman, selon l'hebdomadaire.

AFP. 18/01/11

Commentaires

  • Parce qu’il recopie les lettres de sa copine, ça se croit écrivain !

  • Cher abad, c'est un mufle, un ignoble goujat!

  • l,ex-présentateur ne doit pourtant pas manquer de fric , pour écrire encore des bouquins , en plus il manque d,imagination , pour piquer celle des autres!!
    salutations.

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