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Luc Chatel: "J'installe aujourd'hui un Conseil scientifique contre le harcèlement à l'école"
D'après l'étude, les phénomènes de "victimation" restent plutôt limités puisque près de neuf élèves sur dix (88,9%) déclarent se sentir "tout à fait bien" ou "plutôt bien" à l'école et plus de sept sur dix disent n'être "jamais" victimes de violences ou "très occasionnellement".
Mais pour une minorité d'élèves, la violence se fait sentir, souvent par de petites agressions répétées allant du vol de goûter aux insultes et menaces, mais aussi aux coups, racket ou violences sexuelles.
"Chaque petite agression a peu d'importance prise isolément, mais c'est la répétition qui fait que la situation devient grave", a expliqué Eric Debarbieux, directeur de l'Observatoire et auteur du rapport.
Le taux d'élèves victimes de harcèlement physique est estimé à 10,1%, 71,8% des élèves interrogés n'étant pas victimes de violences et 18% l'étant occasionnellement. 67% des agressions physiques sont le fait de garçons contre 20% par des filles et 12% par des groupes mixtes. Pour les violences verbales, près de deux tiers des élèves (65%) se disent pas ou très peu concernés comme victimes, tandis que 14,4% le sont modérément ou fréquemment.
Au total, 11,7% des élèves interrogés sont victimes de violences répétées à la fois physiques et verbales et deviennent les "boucs émissaires" ou "souffre-douleur" d'une classe, et ce, quelle que soit la sociologie de l'établissement...
Source RTL - 29/03/11
Commentaires
la violence à l,école ou à l,extérieur sera toujours de mise!
mais elle serait moindre si une volonté politique serait mise en place , par l,éducation et la punition sans état d,ame!
mais sachant dans quel monde et société , nous vivons , ce n,est pas demain la veille !! n,en déplaise à tous les comités théodules et autres sociologues , psy, etc!!!
salutations.
la violence à l,école ou à l,extérieur sera toujours de mise!
mais elle serait moindre si une volonté politique serait mise en place , par l,éducation et la punition sans état d,ame!
mais sachant dans quel monde et société , nous vivons , ce n,est pas demain la veille !! n,en déplaise à tous les comités théodules et autres sociologues , psy, etc!!!
salutations.
Les responsables politiques sont bien obligés de reconnaître ce qu’ils ont nié depuis des années : la violence et l’insécurité dans notre pays n’est pas une invention de Le Pen ! Mais maintenant c’est la violence à l’école qui les inquiète, violence qu’ils cherchent tout de même à camoufler sous le nom de harcèlement ! Et ce n’est pas un conseil, fut-il scientifique qui résoudra le problème. Le fond du problème est le même que celui de la violence quotidienne dans les villes : c’est le changement de population que l’on constate dans les écoles comme dans les villes, population qui refuse de s’adapter à nos meurs, nos coutumes et nos lois !
La vie devient intenable en France, dès l'école primaire!