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Visite électoraliste de Sarkozy dans les Ardennes: "retour sur les lieux du crime" pour Marine Le Pen

Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

Le déplacement électoraliste de Nicolas Sarkozy dans les Ardennes a quelque chose d’écœurant pour la France des travailleurs sous-payés, de la misère et du chômage. A l’endroit même où fin 2006 le candidat Sarkozy s’adressait à « la France qui souffre et dont on ne parle jamais », le président revient, espérant tromper une nouvelle fois nos compatriotes les plus pauvres. Combien de temps encore allons-nous devoir subir les opérations de communication d’un président en déroute dans les sondages ?

Les Français en ont soupé de ces shows destinés à faire croire que le pouvoir agit pour eux, alors qu’il se vautre depuis des années dans une politique outrageusement favorable à ses amis du CAC 40 et du Fouquet’s. Nicolas Sarkozy parle dans les Ardennes, comme d’habitude, mais plus personne ne l’écoute, car les mots qui sortent de sa bouche ne sont que mensonges et manipulations à visée électorale.

Nicolas Sarkozy trouve aujourd’hui toutes les excuses pour justifier les pertes de pouvoir d’achat des Français, mais il en est en réalité le premier responsable, lui qui n’a jamais cessé d’œuvrer depuis son élection à l’appauvrissement et à la désindustrialisation de la France par sa politique économique ultralibérale.

Marine Le Pen, Présidente du Front National, appelle les Français à refuser d’être continuellement traités comme des spectateurs qu’on gave de propagande et de communication mensongère. Nicolas Sarkozy n’a strictement rien fait pour le pouvoir d’achat, l’emploi et l’industrie, il ne fera rien pendant les quelques mois qui lui restent. Sous son mandat, tout a empiré.

La ré-industrialisation que Marine Le Pen propose comme projet à la France passe par une rupture de politique économique fondée sur des protections raisonnées aux frontières et un fer de lance, l’Etat stratège. Cela suppose de remettre en cause les dogmes de l’UMP et du PS : l’Europe de Bruxelles, l’euro et le libre-échange généralisé. Le reste n’est que verbiage.

NPI - 19 avril 2011

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