10/06/2011 – 00h05
Foggia (NOVOpress) – Nouvel épisode de l’invasion des villes italiennes par les revendeurs sauvages, Africains souvent clandestins, spécialisés dans les marchandises contrefaites.
Avant-hier, à Foggia, dans les Pouilles, six agents de la police municipale effectuaient des contrôles dans le centre-ville pour essayer d’empêcher la vente illégale de CD et DVD contrefaits, quand des revendeurs sauvages les ont attaqués à coups de pieds et de poings. Un Sénégalais (selon la plupart des journaux : l’agence ANSA dit « un Ghanéen », mais la vente de marchandises contrefaites en Italie est globalement aux mains des Sénégalais) – un Sénégalais a mordu le bras d’un agent qui tentait de confisquer sa marchandise illégale.
Ce pacifique immigré, qui a été arrêté, a encore cherché à frapper les agents pendant qu’on l’emmenait à la caserne de la police municipale. Trois autres étrangers qui avaient participé à l’agression ont en revanche réussi à s’enfuir. Les agents ont été emmenés aux urgences où ils ont été soignés pour des blessures qui devraient être guéries dans une huitaine de jours.
Le maire de Foggia a assuré les agents de sa solidarité. Les agents réclament désormais d’être armés. Les Sénégalais, quant à eux, vont sans doute exiger une mosquée.
Commentaires
les agents sont rassurés , le maire les a réconforté!!
les Sénégalais vont surement exiger en tant qu,honnétes commerçants ne plus étre empécher de travailler , par des méchants policiers , racistes de surcroit!!
salutations.
L’agent qui a été mordu devrait faire d’urgence un test anti-sida ! En fait tout est fait pour favoriser le trafic de drogue dans les pays européens.
@ parvus: l'Italie est en perdition, comme nous...
J'avais visité une bonne partie de l'Italie, en 2004-2005-2006, au sud de Rome-Venise. Arrivés à Florence, j'ai découvert mes premières chances pour l'Italie, CPI, des africains, vendeurs à la sauvette. Ils regardaient partout, le sac des femmes, ça plombait l'atmosphère, surtout que, durant tout notre séjour, le nombre d'allogènes rencontrés ne tenaient pas dans les doigts de mes mains. Du coup, j'étais sur mes gardes, auprès de ma femme, au cas où. J'arrête là, par peur de déraper...
@ arauris: être sur ses gardes à Florence, au lieu de se promener sans souci dans cette si belle ville! Quel monde pourri par l'invasion (qui continue de plus belle)!