Tôt ce matin, vers 5 heures, la caserne des marins-pompiers de Plombières, dans le 3e à Marseille, a été "attaquée" par une quinzaine de personnes (des Cap-Verdiens), en état d'ébriété, en provenance de Nice et qui participaient à une soirée africaine, organisée dans la cité phocéenne.
Il y a d'abord eu des échanges verbaux à hauteur du poste de garde avant que les choses ne dégénèrent en coups.
Sept marins-pompiers ont été légèrement blessés, quatre ont tout de même été transportés à l'hôpital de Laveran. Quatre des assaillants sont en garde à vue, après avoir été interpellés par la police.
Source La Provence - 10/07/11
Commentaires
Il ne manquait plus que les Cap-Merdiens pour compléter ou agrandir le tableau des horreurs, des souillures affectant notre Patrie.
Doucement mais inévitablement, la foule se réveillera brutalement et ces étrons lâches et troullards se montreront tels qu'ils sont : un fruit de Cambronne.
Marseille serait-elle aussi la capitale du Cap Vert ?
@ abad: les marins-pompiers de Marseille, qui sont des militaires, on les appelle les "soldats du feu", sont une élite de la jeunesse, de la force et du courage! L'éloge de leur dévouement et de leur professionnalisme n'est plus à faire!
Ils sont la seule fierté de cette ville!
Il faut n'être que des m..... pour les insulter et les blesser...
aprés la caserne militaire , la caserne des pompiers!!
un état qui laisse pourrir une situation !!
les cap-verdiens dans le cas , ou ils auraient procéder à la méme action dans leur ile, les autorités n,auraient surement pas pris de gants pour réprimer ces agissements!!
mais en Europe , tout est permis, ils le savent ceux qui viennent d,ailleurs!!
mais le réveil des Européens n,est pas pour demain!
donc d,autres problémes auront lieu , pas besoin d,étre Cassandre pour le deviner!!
salutations.
Sur "La Provence" de ce jour:
Ces marseillais sont d'une violence aujourd'hui !!!
"Quand on évoque du bout
des lèvres, presque dans
un chuchotement gêné,
cette triste histoire, au numéro
16 de l’avenue de la Corse (7e),
on ouvre devant vous de grands
yeux aussi stupéfaits qu’interrogatifs.
Non, on ne s’attendait
pas à cela. Pas à une telle affaire
de violences intrafamiliales, de
celles qui ont suscité, hier, beaucoup
d’émoi dans le quartier
du Pharo.
"C’était une dame très gentille",
assure une voisine, en parlant
de la mère de famille, âgée
de 26 ans. Elle avait un bébé de
8 mois, Kenny, un petit garçon
adorable.
Mais samedi, le père, un
Capverdien âgé de 30 ans, est
rentré au domicile conjugal
très alcoolisé. "Il a pris son enfant
dans les bras, s’est éloigné
un moment, puis est revenu.
Quand la mère l’a vu, elle lui a
fait une critique sur la façon de
tenir son bébé. C’est là qu’il a explosé",
raconte une source proche
de l’enquête.
Le père aurait alors violemment
jeté l’enfant par terre. La
tête du petit Kenny a heurté le
sol. Bilan : traumatisme crânien,
accompagné d’un hématome
sous-dural. L’enfant,
transporté de toute urgence à
l’hôpital de La Timone-enfants,
s’y trouvait toujours hier soir.
Mais après un premier pronostic
très alarmiste, l’Assistance
publique des hôpitaux de
Marseille faisait état hier soir d’"
un état grave", mais "stabilisé".
"Les jours de l’enfant ne sont
plus en danger", précisait un
porte-parole de l’AP-HM.
Dans le même temps, le père,
interpellé près du Vieux-Port
peu après les faits, était placé
en garde à vue dans les locaux
de la brigade des mineurs de la
Sûreté départementale de Marseille.
Entendue, sa compagne a parlé
des violences sur l’enfant,
mais aussi accusé le père de
l’avoir déjà frappée, elle, sous
l’emprise de l’alcool, à coups de
fer à repasser. Pendant de longues
heures, le mis en cause a
donc dû livrer des explications
cohérentes sur son comportement.
Après avoir donné une version
divergente de celle de sa
compagne, en affirmant notamment
que c’est sa concubine
qui avait laissé tomber le bébé,
il a fini par reconnaître les faits
de violences, précisait-on de
source policière. "La confrontation
a été positive", commentait-
on de même source.
Une rapide enquête a aussi
permis d’apprendre que l’enfant
avait déjà été victime il y a
4 mois d’une suspicion de chute,
mais qui n’aurait pas été suivie
d’hospitalisation. Avait-il déjà
été victime des agissements
de son père ? C’est la suite de
l’enquête, qui se poursuit activement,
qui doit le dire. Jusque-
là, le père ne souffrait
d’aucun antécédent judiciaire.
Au numéro 16 de l’avenue de
la Corse, une porte située au
premier étage reste, depuis,
muette. C’est là que toute la famille
résidait quand le pire est
arrivé.
Denis TROSSERO"
J'espère que la ville de Marseille a dit son indignation et leur a apporté de nombreux témoignages de soutien.
En effet, les marins-pompiers de Marseille sont, comme vous l'écrivez, Gaëlle, une élite de la jeunesse et leur courage est réputé et leur compétence unanimement reconnue.
Une question se pose : pourquoi une "soirée africaine" à Marseille ?
C'est fou ce que l'été devient une occasion de plus de transformer la France en mascarades afro-n'importe quoi !
Le plus consternant étant le succès que remportent ces manifestations auprès des "touristes".
Chère tania, je l'espère, mais je n'en sais rien.
Je n'ai rien lu à ce sujet.
Amitié!
@ babotchka: merci pour cet article? Je vais rarement sur le site de ce journal...
J'aime bien le titre: "Ces marseillais sont d'une violence aujourd'hui !!!"
Marseillais??? Vraiment???
@ babotchka: supprimer le ? après merci pour cet article. C'est une faute de frappe.
Chère Gaëlle le titre c'est moi qui l'ai rajouté... dans un réflexe konkien.
Cher babotchka, ce titre est excelllent, bravo, tout à fait dans l'esprit de ce quotidien! Vous avez de bons réflexes konkiens!
moi même je suis capverdien mais quand je découvre des fait aussi grave dans ce pays où ailleurs causer par des capverdiens je vous assure que j'ai honte d'être capverdien et croyé moi je pèse mes mots et ne croyer pas qu'ils font parreil au cap vert et je dirais même qu'ils n'auseraient même pas se la ramener devant un représentant de l'état et encore moin les agrésser, dans tous les cas mon principe est très simple ne faite pas de pitié pour les gens qui sont normal et encore moin pour ceux qui sont bourré vous savez chez nous il y a un proverbe quand un homme veu faire du mal a quelqu'un mais qu'il a trop la honte de son entourage il ne lui reste qu'une solution de se bourré la gueul comme ça tous qu'il auras a dire pour sa défence c'est qu'il était soul et qu'il ne savais ce qu'il fesais; par consécant soyer sans pitié avec ces con là et je vous assure que tant qu'ils ont pas eu une binne leçon croyer moi ils vont continuer a foutre le bordel bonne chance a tous et ne les laisser pas faire comme au portugal où ils foutent la merde jours après jours (je ne veu pas que la france devient comme la bas et poutant c'est un capverdien qui dit cela parce qu'il aime ce pays qui est la france) a bientôt gomes