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L'homosexualité enseignée dans les lycées à la rentrée

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Ce ne sont que quelques paragraphes mais ils suscitent encore un débat qui commence à agacer, surtout, au ministère de l'Education nationale.

 À la rentrée scolaire de 2011, la Direction générale de l'enseignement scolaire a souhaité mettre en place des passages, dans les livres de SVT des lycéens de première ES et L, concernant l'orientation sexuelle. Cette initiative date de près d'un an, quand elle avait été annoncée au Bulletion officiel du 30 septembre 2010, soit quelques mois après la polémique déjà soulevée par le film d'animation Le Baiser de la Lune. En février 2010, la présidente du Parti chrétien-démocrate et ancienne ministre Christine Boutin avait en effet demandé, dans une lettre ouverte au ministre de l'Éducation Luc Chatel, « l'interdiction de la diffusion du film », pour les écoliers de CM1 et de CM2 « au nom du respect de la neutralité de l'Éducation nationale ». Ce projet d'expliquer le relations homosexuelles aux enfants à travers l'histoire de deux poissons avait donc finalement été abandonné.

Ici, la polémique repart de plus belle. Si certaines associations se réjouissent que l’on ose enfin briser un tabou à l’école, l'enseignement catholique, des associations familiales ou encore des politiques multiplient les indignations et les menaces de boycott des livres pour que cette partie du programme soit retirée. Le 28 juillet, l'Association Familles de France a par exemple adressé au Président de la République, une lettre expliquant : « Vous connaissez parfaitement la théorie du genre. Cette idée philosophique, contestable s'il en est, nous revient des milieux féministes d'outre Atlantique », ajoutant  : « Les familles ont parfaitement compris les objectifs des concepteurs : orienter les jeunes vers des expériences sexuelles diverses, considérant que le sexe social est plus important que le sexe biologique ».

"L''identité sexuelle est le fait de se sentir totalement homme ou femme"

Mais au ministère de l'Education nationale, cette fois, on tape du point sur la table. Celle-ci n'a « pas lieu d'être », a-t-on assuré à Libération mardi, et l'on renvoie à une déclaration de Luc Chatel de juillet dernier : « Les programmes se contentent d'affirmer la distinction entre identité sexuelle qui relève de la sphère publique et orientation sexuelle qui relève de la sphère privée, avec l'objectif de lutter contre les préjugés, ce qui correspond aux valeurs de la République que l'École transmet ».

Parmi les cinq éditeurs différents qui vont s'occuper de publier ces passages sur l'orientation sexuelle, les éditions de Bordas écrivent par exemple que « l'identité sexuelle est le fait de se sentir totalement homme ou femme. Et ce n'est pas si simple que cela peut en avoir l'air ! Cette identité dépend d'une part du genre conféré à la naissance, d'autre part du “conditionnement social”. En effet, chacun apprend à devenir homme ou femme selon son environnement, car on ne s'occupe pas d'un petit garçon comme d'une petite fille, on ne les habille pas de la même façon, on ne leur donne pas les mêmes jouets ». Puis dans celui de Belin, il est précisé que « chacun apprend à devenir homme ou femme selon son environnement et l'éducation reçue. Il existe un autre aspect encore plus personnel de la sexualité : c'est l'orientation sexuelle. Je peux être un homme et être attiré par les femmes. Mais je peux aussi me sentir 100% viril et être attiré par les hommes ».

Catherine Allais, directrice éditoriale scientifique chez Belin, n'a pas caché son étonnemen à Libération. « Cela fait déjà un petit temps que les élèves de 1ère S  abordent ce genre de questions avec leurs manuels. En biologie, quelques paragraphes sont déjà consacrés au plaisir sexuel et à l’homosexualité. Et personne n’avait crié au scandale à l’époque », a-t-elle déclaré.

Source France-Soir - 10/08/11

 

Commentaires

  • C'est affreux,nous sommes sortis de l'ordre naturel.

  • Je vois d’ici les épreuves d’examen pour cette matière ; par exemple « faire une fellation à son professeur », ou encore « sodomiser un petit copain ». Puis viendra l’enseignement de la pornographie, de la prostitution, du kama soutra, de la perversion sexuelle, de la drogue, etc., et pourquoi pas : du crime ! Voilà des matières nouvelles qui nous changent des sempiternelles « orthographe, rédaction, calcul, sciences naturelles, etc… » qui sont bien dépassées !

  • @ abad: j'ai mis cette photo, mais je trouve répugnant de voir deux femmes s'embrasser à pleine bouche en public! C'est contre-nature, je le ressens ainsi et je n'y peux rien!

    Beaucoup de filles laides sont souvent lesbiennes, car les hommes ne sont pas attirés par elles. Alors faute de grive...

    Au lycée où j'allais, beaucoup de profs étaient des lesbiennes notoires... On le savait... J'en ai vu deux s'embrasser... Triste spectacle...
    Mais on n'en parlait jamais en cours. La sexualité demeurait dans le domaine privé, et c'était beaucoup mieux ainsi.

  • @ amédée: on fera faire des travaux pratiques au lycée à ceux et celles qui n'ont pas compris comment il fallait procéder... C'est ridicule!

  • vrai gaelle , les adeptes de lesbos sont généralement laides , sauf dans les films ou séries américaines ou évidemment elles n,ont rien d,un laideron!!
    j,imagine bien les cours sur le sujet dans une classe ou se trouve une majorité d,éleves de confession musulmane , le ou la prof va se trouver face à une contestation bien sentie , et d,avance , je suis parfaitement d,accord avec ces éléves!!
    les G. .!! sur la photo s,embrassent surement aussi sur fond de provocation!!
    cette sociéte n,est pas la notre!!
    salutations.

  • @ oui, il va y avoir forcément des ennuis avec les élèves musulmanes.

    La sexualité, ce n'est pas la gay pride, c'est un sujet grave, à traiter sérieusement, car il s'agit de la transmission de la vie et d'un patrimoine génétique.

    Les lesbiennes ont en fait une peur inavouée de l'homme et de sa virilité.
    Certaines ont peut-être subi un traumatisme psychologique comme le viol ou l'inceste.

    Mais j'en ai connu au lycée qui n'avaient subi aucun traumatisme, mais qui avaient le désir secret de provoquer leur entourage, ce qui témoigne d'une certaine perversité.

    Rien de plus sinistre que les vieilles lesbiennes masculinisées!

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