22/10/11 – 20h30
PARIS (NOVOpress) – La mobilisation des milieux catholiques et de divers groupes de la droite patriote contre le spectacle blasphématoire de Roméo Castelluci, “Le concept du visage du fils de Dieu” (1) actuellement joué au Théâtre de la ville, a suscité une répression policière d’une rare violence.
Visiblement plus efficaces et moins terrorisés par la « bavure » en face des militants nationalistes que lorsqu’ils sont confrontés aux bandes ethniques de banlieues, les forces de l’ordre ont en effet réprimé de façon particulièrement « musclée » les manifestations organisées devant le théâtre parisien.
Outre une trentaine de jeunes militants du mouvement royaliste arrêtés, un jeune manifestant a eu la jambe écrasée par un car de police alors qu’il était menotté et maintenu au sol. Il a été conduit par les pompiers en urgence à l’hôtel Dieu.
On pourra s’étonner de l’assourdissant silence médiatique entourant cette bavure, alors même que les journalistes et autres associations sont d’ordinaire si prompts à dénoncer la moindre « violence policière » dès lors qu’elle touche un membre de l’un des désormais sacro-saintes « minorités ».
(1) On peut lire ici l’analyse par France Culture du spectacle quand il a été joué à Avignon.
[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
Commentaires
Ignoble ; Non, il n’y a pas de mots pour qualifier l’attitude de la police !
Comme d’habitude les médiats se taisent et les autorités font semblant de ne rien remarquer. Ne parlons pas de l’Eglise ! Mais la révolte gronde !
Cher abad, ignoble! Je ne vois pas d'autre mot!!! Pauvre jeune homme!
Ces blasphèmes répugnants ne sont pas le fait de l'islam, pour qui Jésus est un des prophètes.
On aimerait plonger dans des tonneaux de merde ceux qui ont osé outrager le Christ. Toujours LUI ! Toujours recrucifié! En Palestine comme au théâtre de la Ville! Et Delanoë qui porte plainte!
Ce delanoe ! dans la merde avec des plumes. Il le mérite.
Il est clair que par ces actes abominables, le Singe de Dieu , par ses suppôts, démontre qu'il n'y a qu'une Vérité, la seule, celle qui le met en rage, sachant que son temps est compté.