En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Hou là, Gaëlle, il est interdit d’écouter cette musique nauséabonde de ce maudit Wagner ! Alors j’ai écouté ce magnifique air de Parsifal en me bouchant les oreilles ! J’espère obtenir ainsi les vives félicitations du Grand Rabbin de France, du Président du CRIF, de celui de la Licra, etc.. !
Je n'ai jamais compris le rejet de Nietzsche à son égard après l'adoration.
Le philosophe avait fini par penser qu'il devait devenir le maître à penser de Wagner. Entreprenant, le philosophe l'écrivit d'ailleurs à sa femme Cosima Liszt (fille de, donc), qui lui interdit immédiatement en retour d'en parler à son époux. Et ce, bien que le philosophe n'ait jamais réussi à réaliser ses propres compositions (mais ce n'est pas spécialement contradictoire pour savoir diriger).
Rien que cela.
J'aime toujours Wagner. Sa musique faussement lourde, sa beauté onirique, son raffinement, sa richesse, sa puissance sauvage, le rappel de nos cultures.
Avec une cristallisation Stendhalienne (sic), ou une passion pour Tristan et Yseult.
Commentaires
Hou là, Gaëlle, il est interdit d’écouter cette musique nauséabonde de ce maudit Wagner ! Alors j’ai écouté ce magnifique air de Parsifal en me bouchant les oreilles ! J’espère obtenir ainsi les vives félicitations du Grand Rabbin de France, du Président du CRIF, de celui de la Licra, etc.. !
Je n'ai jamais compris le rejet de Nietzsche à son égard après l'adoration.
Le philosophe avait fini par penser qu'il devait devenir le maître à penser de Wagner. Entreprenant, le philosophe l'écrivit d'ailleurs à sa femme Cosima Liszt (fille de, donc), qui lui interdit immédiatement en retour d'en parler à son époux. Et ce, bien que le philosophe n'ait jamais réussi à réaliser ses propres compositions (mais ce n'est pas spécialement contradictoire pour savoir diriger).
Rien que cela.
J'aime toujours Wagner. Sa musique faussement lourde, sa beauté onirique, son raffinement, sa richesse, sa puissance sauvage, le rappel de nos cultures.
Avec une cristallisation Stendhalienne (sic), ou une passion pour Tristan et Yseult.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cristallisation_(Stendhal)
Que nos écrivains étaient parfois brillants : c'est presque du Dostoïevski dans la finesse et le degré d'analyse psychologique.
L'ouverture de "Rienzi" ou du "Vaisseau Fantôme"; que de merveilles !