Moins d’une semaine après l’élection de François Hollande à la présidence de la République, c’est à l’appel de Nissa Rebela – les identitaires du Pays Niçois – que 220 personnes se sont rassemblée devant la permanence du Parti Socialiste à Nice.
Ce rassemblement avait comme objectif de rappeler aux socialistes qu’ils n’ont recueilli les suffrages que de 32% des Français en âge de voter, et qu’ils ne jouissent donc pas d’une légitimité suffisante pour lancer des réformes aussi fondamentales pour notre société que le droit de vote des étrangers ou l’accès au mariage et à l’adoption pour les couples homosexuels.
Un responsable des jeunes identitaires de Jouinessa Rebela a rappelé qu’il existait dans notre pays une toute autre jeunesse que celle qu’on a vu “fêter” la victoire de François Hollande sur la Place de la Bastille dimanche soir. Une jeunesse fière des drapeaux de ses ancêtres (dans le rassemblement se côtoyaient drapeaux niçois et drapeaux tricolores). Appelant les très nombreux jeunes présents à la résistance dans les lycées et les facs, il a clairement opposé la génération identitaire à la génération Hollande.
C’est ensuite le délégué local de l’association Nationalité-Citoyenneté-Identité (militant contre le droit de vote des étrangers, et organisatrice des récentes assises “la France en danger”) qui a pris la parole. Dominique Guermouh a comme particularité d’avoir milité pendant plusieurs années dans les rangs du PS, et c’est ainsi en tant que connaisseur qu’il a pu expliciter la vision de la France de nombreux élus et militants socialistes.
Philippe Vardon, porte-parole de Nissa Rebela et membre du bureau directeur du mouvement identitaire, a terminé avec un discours vigoureux ponctué de slogans repris par la foule. Un discours qu’il n’a pas conclu en lançant “l’Internationale” mais “Nissa la bella”, l’hymne niçois. Une manière supplémentaire de démonter que nous nous battons au nom de nos traditions, de nos racines, de notre plus vieille mémoire. L’identité contre l’idéologie.
Avec ce rassemblement, mais surtout avec le succès immense rencontré par la campagne “Hollande n’est pas mon Président” (et cela bien au-delà des réseaux militants habituels du mouvement) [voir des exemples sur Novopress], les identitaires démontrent qu’ils seront bien le fer de lance de la lutte politique et culturelle qui va désormais opposer le camp de la défense des racines à la gauche folle.
Plus de renseignements sur cette campagne sur le site Hollande n’est pas mon Président. On peut y commander affiches et autocollants.
Commentaires
J'ai écrit cela ici, le soir même de son élection, pendant qu'il prononçait son discours se définissant président de tous les Français.
Normal, il n'est pas notre président, ne l'a jamais été et ne le sera jamais.
Il est président de la République Française par le vote d'exotiques auquel il a tout promis, et qui lui ont probablement donné entre 6 et 8 millions de voix.
Hollande sait parfaitement, être avant tout, le président de l'immigration et des communautés récemment installées en France, qui n'ont strictement rien à foutre de lui : il n'est qu'un moyen pour eux de s'infiltrer en France, et d'y prospérer sur notre dos.
De même, ces communautés, principal réservoir d'électeurs du socialisme, ne sont qu'un moyen d'avoir le pouvoir, pour les socialistes.
Pauvre France.
cela est évident , il ne sera jamais le notre , mais celui des immigrés et des bobos c,est sur!!
salutations.
Attention : il ne faut pas confondre le fromage de hollande, qui est rouge, et le camembert Président qui est blanc !