En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Hummm!
Rien de tel qu'un bon pain chaud, pour rassasier et rétablir le moral d'un Homme affligé.
Les aliments de base ont cette propriété de rassurer mais le pain levé est l'aliment de tous et surtout des pauvres, mais il est digne des rois. Point de bon repas, sans bon pain pour moi.
Et puisque les Grecs sont à l'honneur dans le développement du savoir faire en matière de pain, voici ce qui nous honore nous!
"Pline l'Ancien écrit que les Gaulois ajoutent à la pâte l'écume de boissons céréalières, et que leur pain, plus léger, est fort apprécié."
Merci Gaëlle, de nous donner l’occasion d’admirer le magnifique travail du boulanger Poilâne. Hélas le pain traditionnel, c'est-à-dire, le vrai pain se perd peu à peu et le bon pain est de plus en plus difficile à trouver. Mais il reste encore quelques bons et vrais boulangers qu’il faut encourager et rémunérer à leur juste prix !
PS : une petite anecdote absolument authentique. Un Français pilote de ligne faisait escale à Moscou à l’époque de l’URSS. Un jour un Russe lui fait remarquer qu’en France on ne mange pas à sa faim : en effet on pouvait voir à la télé soviétique les files d’attentes pour acheter du pain. Intrigué, il regarde le reportage à la télé et note la boulangerie en question. C’était une boulangerie parisienne qu’il ne connaissait pas, mais étant parisien il se promet d’y aller. Ce qu’il fit les jours suvants et c’est ainsi qu’il découvrit la première boulangerie de Poilâne et... l’art de la propagande communiste !
Merci, cher abad, pour cette anecdote!
A Marseille, on trouve chez Monoprix du pain Poilâne trois fois par semaine: il s'arrache à la boulanerie! Mais je connaissais la boulangerie à Paris, alors rue du Cherche-Midi. Il y avait la queue en effet!
J'ai le souvenir du pain de mon enfance, cuit dans le vieux four à pain de la ferme familiale. Des pains ronds immenses, et au goût !!!...Je les préférais légèrement trop cuits, avec la croûte presque noire et craquante. Je n'ai jamais vraiment retrouvé ce goût, même si les boulangers ont tous fait bien des efforts pour nous donner des produits de qualité.
Au petit déjeuner dans les fermes flamandes, il y avait ce pain, du saindoux pour "beurrer" et du lard salé en quantité (conservé dans de grands saloirs en grès). La boisson était du "stock thee", en flamand : du thé de bâtons deréglisse.
Aujourd'hui, tout ceci a complètement disparu de nos tables flamandes. Souvenirs ! Souvenirs !
Commentaires
Hummm!
Rien de tel qu'un bon pain chaud, pour rassasier et rétablir le moral d'un Homme affligé.
Les aliments de base ont cette propriété de rassurer mais le pain levé est l'aliment de tous et surtout des pauvres, mais il est digne des rois. Point de bon repas, sans bon pain pour moi.
Et puisque les Grecs sont à l'honneur dans le développement du savoir faire en matière de pain, voici ce qui nous honore nous!
"Pline l'Ancien écrit que les Gaulois ajoutent à la pâte l'écume de boissons céréalières, et que leur pain, plus léger, est fort apprécié."
Merci Gaëlle, de nous donner l’occasion d’admirer le magnifique travail du boulanger Poilâne. Hélas le pain traditionnel, c'est-à-dire, le vrai pain se perd peu à peu et le bon pain est de plus en plus difficile à trouver. Mais il reste encore quelques bons et vrais boulangers qu’il faut encourager et rémunérer à leur juste prix !
PS : une petite anecdote absolument authentique. Un Français pilote de ligne faisait escale à Moscou à l’époque de l’URSS. Un jour un Russe lui fait remarquer qu’en France on ne mange pas à sa faim : en effet on pouvait voir à la télé soviétique les files d’attentes pour acheter du pain. Intrigué, il regarde le reportage à la télé et note la boulangerie en question. C’était une boulangerie parisienne qu’il ne connaissait pas, mais étant parisien il se promet d’y aller. Ce qu’il fit les jours suvants et c’est ainsi qu’il découvrit la première boulangerie de Poilâne et... l’art de la propagande communiste !
Merci, cher abad, pour cette anecdote!
A Marseille, on trouve chez Monoprix du pain Poilâne trois fois par semaine: il s'arrache à la boulanerie! Mais je connaissais la boulangerie à Paris, alors rue du Cherche-Midi. Il y avait la queue en effet!
J'ai le souvenir du pain de mon enfance, cuit dans le vieux four à pain de la ferme familiale. Des pains ronds immenses, et au goût !!!...Je les préférais légèrement trop cuits, avec la croûte presque noire et craquante. Je n'ai jamais vraiment retrouvé ce goût, même si les boulangers ont tous fait bien des efforts pour nous donner des produits de qualité.
Au petit déjeuner dans les fermes flamandes, il y avait ce pain, du saindoux pour "beurrer" et du lard salé en quantité (conservé dans de grands saloirs en grès). La boisson était du "stock thee", en flamand : du thé de bâtons deréglisse.
Aujourd'hui, tout ceci a complètement disparu de nos tables flamandes. Souvenirs ! Souvenirs !