Dominique Desseigne, le PDG du groupe Lucien Barrière, a été cité comme étant le père présumé de Zohra, la fille de Rachida Dati. Pour la première fois, l'homme d'affaires évoque cette histoire au coeur de toutes les rumeurs dans le magazine M, le supplément du Monde du week-end.
Dans les colonnes du journal, Dominique Desseigne concède avoir eu une histoire avec l'ancienne garde des Sceaux tout en assurant que ce n'était « qu'une aventure ».
Mais surtout, il assure qu'il ne se soumettra pas au test de paternité. Selon l'hebdomadaire, il est assigné mardi par Rachida Dati devant la chambre civile de grande instance de Versailles en reconnaissance de paternité. «Il présentera un intérêt légitime à contester la demande d'expertise», et par conséquent refuser de se soumettre au test. La loi française ne peut l'imposer à l'intéressé.
«J'ai été correct»
Selon la journaliste Stéphanie Marteau qui a écrit l'article, «il jure qu'il ignore» s'il est le père de cette enfant aujourd'hui âgée de 3 ans et demi. Il refuse d'ailleurs de faire plus de commentaires sur cette «affaire». Comme pour marquer les esprits, il appelle Rachida Dati «la dame». «Je ne lâcherai rien. Parce que j'ai été correct et que je n'ai rien à me reprocher», aurait-il confié à des amis, selon le Monde. Le procès pourrait être particulièrement âpre.
«Il venait souvent voir la petite"
Toujours selon le Monde, l'avocate de Dominique Desseigne devrait faire valoir qu'à cette époque, la presse avait recensé huit liaisons entre Rachida Dati et d'autres hommes. « Un animateur télé, un ministre, un PDG, un premier ministre espagnol, l'un des frères de Nicolas Sarkozy, un procureur général qatari et l'héritier d'un empire du luxe...», liste l'article. Côté Rachida Dati, Me Marie-Christine Guillot-Bouhours, qui la défend, refuse de commenter l'affaire. Mais selon une autre source judiciaire, l'ancienne garde des sceaux «invoquera des attitudes de Dominique Desseigne, qui lui a loué un appartement. Elle produira des attestations de son personnel qui raconte qu'il venait souvent voir la petite». Des arguments évidemment réfutés par le camp Desseigne. «Il ne parlait jamais d'elle», témoigne Alain Terzian, le producteur de cinéma, ami de Desseigne.
Dans les colonnes du journal, Dominique Desseigne concède avoir eu une histoire avec l'ancienne garde des Sceaux tout en assurant que ce n'était « qu'une aventure ».
«J'ai été correct»
Selon la journaliste Stéphanie Marteau qui a écrit l'article, «il jure qu'il ignore» s'il est le père de cette enfant aujourd'hui âgée de 3 ans et demi. Il refuse d'ailleurs de faire plus de commentaires sur cette «affaire». Comme pour marquer les esprits, il appelle Rachida Dati «la dame». «Je ne lâcherai rien. Parce que j'ai été correct et que je n'ai rien à me reprocher», aurait-il confié à des amis, selon le Monde. Le procès pourrait être particulièrement âpre.
«Il venait souvent voir la petite"
Toujours selon le Monde, l'avocate de Dominique Desseigne devrait faire valoir qu'à cette époque, la presse avait recensé huit liaisons entre Rachida Dati et d'autres hommes. « Un animateur télé, un ministre, un PDG, un premier ministre espagnol, l'un des frères de Nicolas Sarkozy, un procureur général qatari et l'héritier d'un empire du luxe...», liste l'article. Côté Rachida Dati, Me Marie-Christine Guillot-Bouhours, qui la défend, refuse de commenter l'affaire. Mais selon une autre source judiciaire, l'ancienne garde des sceaux «invoquera des attitudes de Dominique Desseigne, qui lui a loué un appartement. Elle produira des attestations de son personnel qui raconte qu'il venait souvent voir la petite». Des arguments évidemment réfutés par le camp Desseigne. «Il ne parlait jamais d'elle», témoigne Alain Terzian, le producteur de cinéma, ami de Desseigne.
LeParisien.fr
Commentaires
Je n'ai pas de sympathies particulières pour Mr Desseigne . Mais nos lois sont faites pour arnaquer les hommes infidèles . Les femmes sont aussi infidèles , rien de nouveau sur la planète France .
Avant il y avait des enfants bâtards que le père pour X raisons ne voulaient pas reconnaître . Si il le reconnaisser s'était son choix .
Maintenant des femmes vicieuses se font engrosser volontairement par des hommes qui ont de l'argent . Après ces femmes veulent faire reconnaître l'enfant non désiré pour soutirer de l'argent au père involontaire . Une analyse sanguine et hop on fait un procès à 'homme pour qu'il reconnaisse la paternité et qu'il paye .
Pour cela des lobbys féministes et d'autres qui veulent détruire la société ont imposé au gouvernement des lois pour obliger le père a reconnaitre l'enfant et lui soutirer de l'argent et qu'il ait une par à l'héritage de ce père . Tant pis pour la mère fidèle à son mari et qui l'a secondé dans sa carrière . A l'héritage elle devra partager avec cet enfant .
Avec Yves Montant il y a eu le même problème et un membre de la famille Michelin .
Notre Rachida Dati est une femme intéressée par le pognon . Elle manque de classe .
Rachida colonisée .....
bon , Rachida n,a pas manqué d,hommes dans sa vie , elle choisissait le haut du panier , préférence que l,on ne peut guére lui reprocher , mais si l,individu en question est le géniteur de cet enfant , qu,il assume , il en a d, ailleurs les moyens financiers!!
salutations.
Nini pattes en l'air ne s'y retrouve plus avec toutes ses "liaisons" ! En vraie pute elle a choisi le plus friqué. Pas de prolos ni de rats à capuche parmi ses amants officiels ! Elle est bien représentative de cette bobocratie pourrie UMPS !
@ dirk: il y a toujours un air de ressemblance physique avec le père: elle n'en parle pas! C'est curieux. DD semble être blond et très clair de peau sous son bronzage.
Cette arnaque au père le plus friqué me répugne. Ce n'est pas digne d'une vraie femme ni d'une vraie mère. Elle a "fait" cet enfant pour le fric?
J'aime beaucoup l'expression "Nini -pattes en l'air" !!!