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  • Pas d'affiches du CCIF dans le métro

     

     

    Il n’y aura pas d’affiches de la campagne « Nous sommes la Nation » du CCIF dans le métro. Le PDG de Métrobus, Gérard Unger, a tranché : cette demande d’affiche du Collectif de l’islamophobie en France a été rejetée par la RATP, en raison « du caractère à la fois religieux et politique » de leur campagne, financée par l’Open Society Foundation du milliardaire mondialiste George Soros.

    « L’identité de l’annonceur et l’examen de ces trois visuels nous ont conduit à considérer qu’ils revêtaient un caractère politique et confessionnel, contraire aux dispositions du contrat par lequel la RATP nous a confié l’exploitation publicitaire de ses espaces », a écrit Gérard Unger aux responsables de ce groupuscule associatif qui ne cache même plus ses liens avec la mouvance la plus radicale de l’islam en France, comme le démontre son diner de gala en mai dernier (à 300 euros la place !) en présence de Tariq Ramadan.

    Et de préciser : « Le caractère confessionnel » des affiches du CCIF « ne peut être contesté », puisque « les trois visuels utilisent des signes religieux tels que le voile », et, pour l’un d’entre eux, « également les péotes, la soutane, et la croix chrétienne ». Le slogan de la campagne du CCIF n’est pas épargné non plus : « De même, et de surcroît dans le contexte actuel que nous sommes tenus de prendre en considération, le slogan ‘Nous sommes la Nation’ et l’utilisation d’un emblème de la nation française qu’est le drapeau français relèvent du politique et d’une revendication politique ». Un argument, reconnaissons-le, quelque peu contestable.

    Et de conclure : « Nous avons ainsi estimé que la conjugaison des signes religieux et politiques relatifs à la nation, accentués par un slogan de nature politique ‘Nous sommes la nation’, contrevenait non seulement aux dispositions de nos conditions générales de vente reprenant l’interdiction de publicité à caractère politique et confessionnel mais en particulier au principe de neutralité du service public, lequel s’impose à Métrobus dans la mesure où ses supports publicitaires sont présents sur le domaine public de l’État affecté au service public des transports ».

    Et Gérard Unger d’ajouter pour terminer : « Au demeurant, vous écrivez vous-même que votre association a pour mission de lutter contre le racisme anti-musulman et que vous entreprenez une campagne anti-discriminations religieuses, cause nationale. Ce faisant, vous confirmez vous-même le caractère à la fois religieux et politique de votre campagne. »

    Dans un contexte de tensions au sein de la société française du fait de la montée de l’islam intégriste dans notre pays, la RATP via Métrobus a préféré jouer la carte de la prudence. Auparavant, toutefois, des affiches faisant la promotion de l’Ordre de Malte ou de la Tsedaka du Fonds social juif unifié avaient pu être apposées sur les supports du métro et des bus parisiens, de même que plusieurs campagnes en faveur d’ONG musulmanes comme le Secours islamique France (source).

    Aussi, les cris d’orfraie des responsables du CCIF et de leurs amis (voir ici) suite à la décision de la RATP démontrent leur mauvaise foi. Ce qui, pour notre part, ne nous étonne pas, au regard des méthodes parfois employées pour exprimer leurs opinions (voir ici).

  • Insultes, coups, provocations, diffamations… : un 11 novembre mouvementé

      12 novembre 2012

    « Si les nations glorifient la mémoire de ceux qui sont morts sur les champs de bataille relevait Jacques Benoist-Méchin, ce n’est pas par romantisme : c’est par un instinct plus profond que l’on pourrait appeler la reconnaissance historique ». La France commémorait hier l’armistice du 11 novembre, la fin de la Première guerre mondiale, atroce guerre civile européenne dont nos nations ne se sont jamais vraiment relevées. Une terrible boucherie conclue par un traité, des traités iniques qui portaient en germe d’autres orages d’acier, comme l’avait analysé le grand historien Jacques Bainville qui en avait prévu les conséquences funestes qui éclatèrent 20 ans plus tard.

    Le respect dû aux morts, à tous les morts, est un sentiment que l’on retrouve dans toutes les sociétés humaines, dans toutes les cultures, les civilisations. Un principe que les pulsions sauvages et haineuses de certains groupes remettent en cause.

    On l’a vu avec les tombes françaises, civiles et militaires, saccagées en Algérie après l’indépendance ; plus près de nous avec les destructions de par le monde de mausolées, de tombeaux d’autres religions ou considérés comme non islamiquement correct par les fous d’Allah, encore dernièrement au Mali.

    Sous nos latitudes, nous trouvons aussi des décérébrés pour profaner des cimetières, toutes confessions confondues, un phénomène par son ampleur encore rarissime il y a vingt ans.

    Un crachat à la face des morts et de leurs proches qui peut prendre des formes différentes comme nous l’avons vu vendredi sur ce blog avec la phrase de Benjamin Biolay qui, au détour d’une de ses chansons, ironise sur le décès de Jean-Pierre Stirbois à l’âge de 43 ans, le 5 novembre 1988, dans un accident de voiture à Pontchartrain (Yvelines), au retour d’une réunion publique à Dreux.

    L’arbre percuté par la voiture du dirigeant frontiste, qu’évoque M. Biolay, fut qualifié à l’époque de « providentiel » par Jean-François Kahn, à chacun son style de poésie

    Imprimeur, Jean-Pierre rejoignit le FN en 1977 avec son épouse Marie-France qu’il avait rencontré dans les comités Tixier-Vignancour, candidat à l’élection présidentielle de 1965.

    Elu au Parlement européen en 1984, à l’Assemblée nationale en 1986, la mort de J-P Stirbois, alors Secrétaire général du FN (depuis 1981) intervint à l’issue d’une campagne épuisante pour la défense de la France d’outre-mer, et plus particulièrement de la Nouvelle-Calédonie.

    Devant la polémique, M. Biolay a tenté de faire machine arrière. Il a déclaré notamment : « Je dis juste qu’il s’est pris un arbre, je ne juge pas. Certes, je suis un militant socialiste, j’ai soutenu François Hollande, mais je ne suis pas un militant anti-FN (…)Si j’avais voulu écrire une chanson anti-FN, j’aurais fait autre chose »

    Des explications qui n’ont pas convaincu Bruno Gollnisch qui entretenait de forts liens d’amitié avec Jean-Pierre Stirbois et son épouse Marie-France qu’il avait connus dans les années 67-68 à l’Université de Nanterre

    « Si je croisais Benjamin Biolay, je le giflerais » . « J’aimerais bien le provoquer en duel », a ainsi déclaré vendredi, le député européen FN sur le Lab d’Europe 1.

    Un courroux qui n’a pas quitté Bruno Gollnisch hier lorsqu’il a découvert la lâcheté des nervis d’extrême gauche qui se sont attaqués par surprise, en surnombre comme à leur habitude, dimanche matin à Saint-Etienne (Loire), à des militants frontistes bien évidemment désarmés.

    Bruno était d’ailleurs dans ce département quelques heures plus tard, à l’invitation du Front National de La Jeunesse (FNJ) , pour une intervention devant une soixantaine de jeunes dans le cadre d’une session de formation doctrinale.

    Les jeunes patriotes s’apprêtaient à se rendre à la cérémonie de commémoration de l’armistice, lorsqu’ils ont été assaillis dans le dos, à proximité de leur permanence, par une horde rouge. Cinq membres de celle-ci ont été ensuite interpellés par les forces de l’ordre et ont été placés en garde à vue pour « violences aggravées en réunion ».

    Les militants d’extrême gauche ont expliqué qu’ils entendaient interdire la présence de membres du FN à la cérémonie du 11 novembre, au cours de laquelle les mêmes petites frappes se sont livrées à des « provocations », a-t-on indiqué de source policière. Le FN n’a bien sûr pas renoncé à sa présence à cet hommage aux morts pour la France.

    « Comment faire pour s’exprimer et même circuler librement dans ce pays? », s’est interrogée la Secrétaire départementale du FN, Sophie Robert, questionnée par l’AFP.

    Une question d’actualité, comme l’est aussi le comportement de certains journalistes qui confondent leur mission d’information avec une propagande anti-nationale des plus grossières.

    Le dénommé Philippe Le Claire (sic), qui sévit dans le journal L’Union-L’Ardennais s’est livré hier sur le blog de celui-ci a un compte-rendu particulièrement grotesque et diffamatoire de la présence de Bruno Gollnisch jeudi dernier dans la Marne, à l’invitation du secrétaire départemental du FN 51, Pascal Erre.

    Après avoir affirmé que le discours tenu par le député européen frontiste sur les ravages de l’euromondialisme « irait comme un gant à Mélenchon, Montebourg, le NPA et même Lutte ouvrière » –un jugement simpliste qui dénote déjà de sévères lacunes politiques- M. Le Claire a été encore beaucoup plus loin dans sa dénonciation de l’opposition nationale.

    Il a ainsi entrepris de démontrer que les partis membres de l‘Alliance européenne des mouvements nationaux (AEMN) que préside Bruno Gollnisch (notamment Jobbik, Svoboda…) ne sont qu’un ramassis de fanatiques pro-nazis et autres fascistes antisémites et racistes.

    Une prose infamante que Bruno Gollnisch n’entend pas laisser passer sans réagir…

    Blog de Bruno Gollnisch

  • Un député russe veut acheter et raser l'immeuble où naquit Hitler 12/11/2012

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    Adolf Hitler
    © Photo Deutsches Bundesarchiv (German Federal Archive)

     

    Le député de la Douma Franz Klintsevitch (Russie unie) s'est déclaré prêt à racheter l'immeuble où naquit Adolf Hitler à Braunau am Inn, en Autriche, afin de la détruire, rapporte le quotidien russe Izvestia.
    Le membre du parti du pouvoir compte sur l'aide de sponsors pour recueillir les 2,2 millions d'euros nécessaires pour racheter la propriété, a fait savoir la porte-parole du député Viktoria Soukhova.
    L'initiative de M.Klintsevitch a été soutenue par son collègue du Parti communiste (KPRF) Vadim Soloviev.
    Il s'agit d'un petit immeuble où Adolf Hitler est né le 20 avril 1889. Le futur dictateur y a passé les trois premières années de sa vie. Selon le journal autrichien Der Standard, la maison a abrité successivement une bibliothèque, une école, une banque et un centre pour handicapés.

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    En septembre dernier, le maire de Braunau, Johannes Waidbacher, a proposé d'y créer des logements, suscitant une vive polémique dans le pays. Pour leur part, les "verts" et les socio-démocrates ont appelé à faire de l'immeuble une "Musée de la Responsabilité", estimant que la vente d'appartements dans la "maison d'Hitler" pourrait attirer des clients douteux.
     
    Ria Novosti
  • Israël prépare l'opinion internationale à une nouvelle guerre contre Gaza

    JERUSALEM (Reuters) - Des roquettes palestiniennes sont tombées lundi dans le sud d'Israël, sans faire de blessés, ce qui a amené les dirigeants israéliens à menacer de durcir leurs représailles après un week-end de violences transfrontalières.

    Le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, a convoqué les ambassadeurs étrangers en poste en Israël afin, semble-t-il, d'anticiper les réactions internationales si Israël, dont l'offensive à Gaza en 2008-2009 s'était soldée par de lourdes pertes civiles, devait de nouveau répondre par la force.

    Benjamin Netanyahu a choisi Ashkelon, ville portuaire à portée de certaines roquettes palestiniennes, pour rencontrer les diplomates. "Aucun de leurs gouvernements n'accepterait une situation comme celle-ci", a-t-il déclaré ensuite. "En tant que Premier ministre d'Israël, je ne suis pas prêt à accepter une telle situation et nous allons prendre des mesures pour y mettre fin".

    Le ministre de l'Environnement, Gilad Erdan, membre influent du Likoud, le parti du Premier ministre, a dit que cette réunion avait pour but de préparer l'opinion internationale à "ce qui est sur le point d'arriver", ajoutant qu'il pourrait y avoir une escalade israélienne majeure dans les heures à venir.

    "Le Hamas est responsable. Les dirigeants du Hamas devraient payer le prix et ne pas pouvoir dormir la nuit. Je m'attends à ne pas voir seulement un retour aux assassinats ciblés, mais également à une activité vraiment élargie par (l'armée)", a-t-il déclaré à l'antenne de Radio Israël.

    ONZE ROQUETTES

    Selon un responsable militaire israélien, onze roquettes ont été tirées de la bande de Gaza lundi matin, qui s'ajoutent aux 110 ayant atteint le territoire israélien depuis vendredi.

    L'un des projectiles a touché une habitation dans la ville de Netivot, faisant des dégâts mais pas de blessés.

    Ces tirs ont mis fin à une brève accalmie observée durant la nuit après trois jours de violences ayant fait six morts, dont quatre civils, et 40 blessés côté palestinien et huit autres blessés côté israélien.

    Benjamin Netanyahu a précisé qu'un million d'Israéliens, soit environ un huitième de la population, étaient en danger.

    "Nous disposons d'une panoplie complète d'outils (...) que nous n'avons pas encore utilisés", a réagi le vice-Premier ministre, Moshe Yaalon, sur les ondes de la radio de l'armée. "Nous allons devoir durcir notre réaction jusqu'à ce que le Hamas dise 'assez' et cesse le feu."

    Les islamistes du Hamas dirigent la bande de Gaza mais la plupart des tirs de roquettes en provenance de l'enclave palestinienne sont dus à d'autres organisations.

    Jugeant qu'il n'existait pas de solution simple à ces violences, Moshe Yaalon a refusé de dire si Israël envisageait de revenir à sa politique d'assassinat ciblé de responsables palestiniens dans la bande de Gaza.

    L'Egypte s'emploie à obtenir une cessation des hostilités entre les mouvements palestiniens et Israël, a dit à Reuters un responsable palestinien au fait de ces contacts.

    "Rien n'a encore été formalisé. Israël et le Hamas campent sur leurs positions. Le calme répondra au calme et l'escalade répondra à l'escalade", a dit ce responsable.

    TRÊVE TACITE ?

    Il a ajouté que le Hamas était conscient de la nécessité d'un retour au calme, de même que le Djihad islamique, une autre organisation palestinienne majeure, et qu'une trêve tacite pourrait intervenir.

    "Le Djihad islamique n'a pas tiré hier soir. Cela signifie qu'ils ont eux aussi accepté cet arrangement", a-t-il souligné.

    Des formations palestiniennes moins importantes, comme les salafistes de la Choura des moudjahidine, ont en revanche revendiqué les tirs de lundi.

    Même si les dirigeants israéliens ne souhaitent pas envenimer leurs relations avec les islamistes au pouvoir au Caire, le gouvernement de Benjamin Netanyahu pourrait être tenté de montrer sa fermeté à l'approche des élections législatives du 22 janvier prochain.

    Selon le quotidien israélien Yedioth Ahronoth, les Etats-Unis ont donné leur feu vert à une opération israélienne à Gaza, où Youssef Rizka, conseiller politique du Premier ministre Ismaël Haniyeh, a estimé que le nouveau président égyptien constituait un "filet de sécurité" pour les Palestiniens.

    "Le président Mohammed Morsi, président du plus important pays arabe voisin, a dit : 'Nous ne permettrons pas une nouvelle guerre contre Gaza et le sang palestinien est notre sang'", écrit Youssef Rizka dans les colonnes du journal Felesteen, proche du Hamas.

    "Un tel filet de sécurité n'existait pas auparavant. Ce qui existait, c'était exactement le contraire", ajoute-t-il en faisant allusion à la position de l'ancien président égyptien Hosni Moubarak.

    avec Ari Rabinovitch et Maayan Lubell à Jérusalem et Nidal al Moughrabi à Gaza, Bertrand Boucey, Pascal Liétout et Juliette Rabat pour le service français, édité par Gilles Trequesser

    Yahoo!Actu - 12/11/12

  • Le Journal de Syrie 12 novembre 2012