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  • Israël appelle les habitants de Gaza à quitter les régions frontalières 20/11/2012

     

    Israël appelle les habitants de Gaza à quitter les régions frontalières




        Dans la soirée du 20 novembre l'aviation israélienne a largué des tracts dans le nord de la bande de Gaza invitant les habitants des régions frontalières de quitter leurs maisons et de gagner le plus vite possible le centre de la ville de Gaza. L'évacuation est recommandée dans l'intérêt de « sécurité des habitants locaux ».

    Deux versions des développements peuvent s'ensuivre : soit les Israéliens projettent des bombardements massifs des régions frontalières, soit ils se proposent d'y introduire les troupes. Le commandement de l'armée ne dévoilent pas ses plans.

      ALTERINFO.NET

     
  • Le parcours de Kamel Bousselat, ravisseur présumé de Chloé

    Permalien de la vidéo: http://videos.tf1.fr/jt-20h/le-parcours-de-kamel-bousselat-ravisseur-presume-de-chloe-7674635.html

     

  • Les FEMEN : des agents provocateurs ? Qui les finance?

     

    Par Alexandre Latsa

    Depuis quelques mois, nombre de Français ont entendu parler des FEMEN, ce groupuscule féministe ukrainien composé de jeunes et jolies jeunes femmes, et dont la méthode de combat et de revendication consiste à exposer ses seins au grand jour.

    Les actions des FEMEN pour l’amélioration de la condition des femmes ou la lutte contre la prostitution en Ukraine ne peuvent au demeurant qu’attirer de la sympathie. Lorsque celles-ci manifestent en petite culotte pour dénoncer le système « sexe contre diplômes » dans les universités ukrainiennes, tous les hommes de la planète les soutiennent, cela va sans dire. On peut tout autant difficilement être contre elles, lors de leur stimulante campagne appelant à « lire plus » et motivée par le slogan : « Si tu ne lis pas plus, je ne couche pas avec toi » (!). Enfin comment ne pas être d’accord avec elles lors de leurs manifestations contre la prostitution pendant l’euro de football en Ukraine ? Les FEMEN jouent sur leur somptueuse plastique et une symbolique très identitaire et guerrière qui, une fois n’est pas coutume, ne semble pas déranger les élites globalistes européennes...

    C’est il y a un an que le mouvement a commencé à prendre de l’ampleur et à surtout activement se mêler de politique internationale. Les jeunes féministes se sont revendiquées de l’héritage de la révolution orange en Ukraine, ce coup d’État démocratique destiné à vassaliser durablement l’Ukraine dans l’alliance occidentale. Fin 2011, elles ont aussi manifesté en soutien de la révolution du Lotus en Égypte, contre Moubarak, et pour l’émancipation des femmes égyptiennes. Nul ne peut douter que le bilan des courses, ne doit sans doute pas être à la hauteur de leurs espérances, mais leur croisade anti-Moubarak et pour l’émancipation des femmes s’est depuis transformé en une croisade contre la Shariah et l’islamisme, ainsi que contre la Burka. Curieusement, les provocations des FEMEN en Turquie et en Tunisie n’ont pas abouti a quoi que ce soit. Le fait de se déshabiller devant une mosquée n’a pas visiblement eu en Turquie l’effet escompté.

    Au sein de l’Union européenne le mouvement a reçu un accueil beaucoup plus favorable. Les FEMEN ont organisé depuis un an un réel tour d’Europe, destiné à l’organisation d’actions dans différents pays, mais aussi à la création de structures FEMEN dans différents pays : Suisse, Hollande, Italie ou encore France par exemple en réaction à l’affaire Strauss-Khan. À l’international, c’est le Brésil qui a lui été cet été contaminé par cette vague feministe-orange. On se demande toujours avec quels moyens et quels soutiens logistiques ces déplacements ont été organisés.

    La Voix de la Russie a publié un texte très intéressant à ce sujet, et qui met en lumière des faits assez intéressants, notamment le fait que les FEMEN bénéficient de soutien plus qu’inattendus à l’ouest comme à l’est, via des stars du show-business ukrainien, des hommes d’affaires allemands et américains ou encore plausiblement la présence française à l’étranger, puisque les FEMEN notamment étaient invitées à l’ambassade de France à Kiev le 14 juillet 2012. Ces soutiens ne sont pas surprenants lorsqu’on sait que les FEMEN défendent l’entrée de l’Ukraine dans l’UE et s’opposent également à l’ingérence russe en Ukraine. Il est aussi à noter que lors de leur dernière visite à Moscou, celles-ci ont été reçues par Sergueï Mironov, le leader du parti d’opposition social-démocrate Russie juste, parti qui a activement participé aux contestations de rues en Russie, contestations que certains ont comparées a une tentative de révolution de couleur en Russie.

    C’est justement cet été que les choses ont commence à prendre une autre ampleur. Le message global des FEMEN s’est politisé, s’affirmant de plus en plus contre le racisme, le sexisme et les valeurs patriarcales qui règnent dans les sociétés industrialisées, valeurs promues selon elles par les religions. Leurs campagnes politiques vont alors de plus en plus se diriger contre les leaders de l’Europe orientale : Vladimir Poutine, Alexandre Loukachenko, Victor Ianoukovitch ou leurs alliés en Europe, Silvio Berlusconi en tête.

    En juillet dernier, les FEMEN tentent d’agresser le patriarche orthodoxe Cyrille lors d’une visite à Kiev, sous le slogan : « Tuez Cyrille », la campagne étant accompagnée d’une photo de ce dernier décapité. Charlie hebdo n’aurait sans doute pas fait plus ignoble. Très logiquement finalement cette action a été revendiquée en soutien aux Pussy Riot, ces 3 anarchistes russes ayant été arrêtées pour avoir organisé un concert punk dans la cathédrale Saint Sauveur à Moscou et dont deux d’entre elles ont été condamnées pour hooliganisme. En réaction à la condamnation de ces dernières, les FEMEN ont donc jugé nécessaire d’attaquer l’Église et de tronçonner une croix érigée en mémoire des victimes de la répression stalinienne et qui datait de la révolution de couleur orange. Ce faisant, elles voulaient tant manifester leur déception de l’Ukraine orange que montrer leur détermination face à l’Église chrétienne.

    La réaction du pouvoir ukrainien a été sans doute moins disproportionnée que celle du mainstream médiatique qui a réagi de façon relativement obsessionnelle à ce non-événement : dans tous les pays du monde les manifestations non-organisées sont illégales et la destruction d’édifices publics et religieux également hors la loi. De façon surprenante, suite à cela, la coupeuse de croix arrive à s’enfuir d’Ukraine en étant pourtant recherchée en Ukraine et trouve refuge en France, où s’installera peu de temps après la base arrière et internationale des FEMEN. L’antenne française est rapidement créée à Paris, composée de militantes françaises et sous la férule de Inna Shevshenko, Loubna Meliane ou encore Safia Lebdi qui à jugé bon de m’écrire.

    L’orientation très à gauche de ces cadres français est parfaitement adaptée aux revendications des FEMEN pour une nouvelle société sans religions, sans différences entre hommes et femmes et en faveur des droits des minorités. La proximité du mouvement avec les groupes libertaires de gauche français tels que « Ni putes ni soumises » ou avec le « parti socialiste » semble clairement indiquer les raisons d’êtres de ce groupuscule féministe qui n’a rien trouvé de mieux que d’aller hier en France déranger une manifestation autorisée pour la famille traditionnelle en hurlant « In gay we trust ». Les FEMEN, déguisées en bonnes sœurs, ont gazé des poussettes et des enfants avec du faux gaz en hurlant « Voila le sperme de dieu ! », déclenchant vraisemblablement le stress et la colère du service d’ordre de la manifestation. On se demande comment il aurait pu en être autrement. Le mainstream s’est lui contenté de parler de coups que les FEMEN auraient reçu. Évidemment nul ne saurait cautionner les coups que l’une des activistes a vraisemblablement reçus (ce qui n’est pas la première fois) mais de la même façon qu’avec les Pussy Riot on peut se demander quelles sont les motivations réelles d’une telle action.

    Une femme (théoriquement une future mère) trouve-t-elle normal d’aller hurler et jeter du gaz (aussi faux soit-il) sur des familles avec poussette ? N’y a-t-il d’autres moyens pour de jolies jeunes femmes, dont des responsables associatives françaises, de se faire entendre ? Comment la société et les journalistes auraient réagi si des manifestants pour le mariage homosexuel avaient été agressés de la même façon par des partisans du mariage traditionnel ?

    Produit marketing importé à sans doute très bas coût, les FEMEN ont depuis leur arrivée en France dévoilé leur vrai visage, celui d’un groupuscule féministe financé et soutenu par l’Occident, sous contrôle politique et moral d’une gauche française libertaire et sectaire, et dont à ce jour, les revendications exprimées sont bien loin des préoccupations populaires et nationales tant françaises qu’ukrainiennes.

    E & R

  • Mariage homosexuel: retour sur l'action violente des FEMEN dimanche dernier à Paris

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    19/11/2012 – 20h15
    PARIS (NOVOpress) –
    Le récit par les médias des altercations entre le groupuscule gauchiste des Femen et des manifestants contre le mariage homosexuel, dimanche à Paris, va presque dans le même sens. Pour résumer, « des militantes féministes et des journalistes ont été agressés dimanche au cours d’une manifestation contre le mariage gay », comme le titre Le Point. Une version à sens unique permettant à des politiciens de réclamer la dissolution de Civitas, l’organisateur de la manifestation, comme c’est le cas avec la députée socialiste de l’Hérault Anne-Yvonne Le Dain ou Eddie Aït, secrétaire national du PRG (Parti Radical de Gauche).

     

    Mariage homosexuel : retour sur l’action violente des Femen dimanche dernier à Paris

     

    Pourtant, la réalité n’est peut-être pas si simple. Invité hier de Jean-Jacques Bourdin sur RMC, Alain Escada, le représentant de Civitas, a posé une question au journaliste : « À partir du moment où ces militantes ont foncé avec des fumigènes et des lacrymogènes en main sur un cortège de familles avec femmes, enfants et grands-parents, qui agresse qui ? » (photo). Metro France constate en effet que les Femen sont à l’origine des débordements situés vers la station École Militaire en début d’après-midi, dimanche : « Neuf jeunes militantes des Femen, ce groupe de féministes connues pour leurs actions topless et radicales, suivies par la documentaliste Caroline Fourest à la caméra, débarquent au milieu du cortège, déguisées en nonnes. Elles retirent leurs hauts devant les manifestants et commencent à crier “In Gay we trust” [« Nous mettons notre confiance dans l’homosexuel »] et aspergent le cortège à l’aide d’extincteurs domestiques sur lesquels elles ont inscrit “Jesus Sperm” [« Le sperme de Jésus »] ou “holy sperm” [« Le sperme saint »] ».

    Les Femen, mouvement interdit en Ukraine et dont l’action parisienne n’était pas autorisée par la préfecture de police, ont mené cette attaque les seins nus, avec des injures peintes sur leur corps, à l’encontre de la première religion de France : « J’encule l’Église » ou encore, « J’encule Dieu », devant de nombreux enfants. Avec de telles provocations, il n’est pas étonnant que certains manifestants ne soient pas restés les bras croisés. Facile maintenant pour ces activistes ultra minoritaires de jouer aux pleureuses et aux victimes…

    Crédit photo : femen.org

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Hystérie sanguinaire à Tel-Aviv: une scène hideuse!

    Cette scène a été tournée à Tel-Aviv le 15 novembre 2012, lors d’une manifestation, à l’occasion de l’agression militaire d’Israel sur la bande de Gaza.

    (Pour activer les sous-titres français, utiliser l’îcone CC dans la barre de contrôle de la vidéo.)

    E & R

     

     

     

  • Marseille : graves soupçons de viols d'enfants dans un box-garage

     

     

    Publié le mardi 20 novembre 2012 à 08H53
     

    Un homme écroué pour avoir agressé ses victimes dans un box du Camas

    Les viols se seraient répétés dans le sous-sol de cet immeuble, où le suspect louait un box et où il avait aménagé un abri. Il a été mis en examen et écroué jeudi.

    Les viols se seraient répétés dans le sous-sol de cet immeuble, où le suspect louait un box et où il avait aménagé un abri. Il a été mis en examen et écroué jeudi.

    Photo thierry garro

    Un prédateur. Un homme aux pulsions pédophiles capable d'attirer des enfants dans un garage souterrain pour les violer. L'individu, au profil extrêmement inquiétant, a été interpellé mardi par la brigade des mineurs de la Sûreté départementale et ses enquêteurs soulagés d'avoir mis le suspect hors d'état de nuire. Lui nie encore en bloc les faits pour lesquels il se retrouve derrière les barreaux, depuis jeudi. Mais les charges restent lourdes et les témoignages de ses jeunes victimes concordants.

    La chute du présumé violeur s'est précipitée le 11 novembre dernier. Ce jour-là, les parents d'un petit garçon de 11 ans sont désespérés. Depuis le matin, ils n'ont plus aucune nouvelle de leur fils, parti pour jouer avec ses copains.

    Prêts à alerter la police, ils le voient finalement rentrer en fin d'après-midi. Et très vite, ils réalisent qu'un événement anormal s'est produit. Sans donner plus de détails, il explique avoir passé une bonne partie de la journée avec un inconnu, un adulte. Le père le presse de questions, mais les mots ne sortent pas. L'enfant ne parle pas d'agression sexuelle et semble toutefois choqué.

    Trois jours plus tard, une plainte est déposée à la brigade des mineurs et le dossier ouvert pour soustraction de mineurs va bientôt se transformer en procédure pour viols aggravés.

    Peu à peu, la petite victime se livre. Elle fournit aux enquêteurs de plus en plus d'éléments les guidant sur la piste d'un crime. D'autant que d'autres enfants seraient concernés. Celui que les policiers soupçonnent désormais de viols est décrit comme un manipulateur.

    Sans profession, âgé de 34 ans, de nationalité congolaise, il s'est aménagé un abri dans un box souterrain d'une résidence discrète dans le quartier du Camas (5e), où le voisinage ne s'est jamais rendu compte de rien. En 2009, il a déjà été appréhendé dans une affaire d'exhibition sexuelle. Et c'est dans ce local, où il a installé un canapé dans lequel il passe ses nuits, depuis plusieurs mois, que les sévices se seraient produits.

    Trois autres enfants sont entendus. Ils évoquent les bonbons, les repas au restaurant Mac Donald's, tout proche ou encore les tours de "quad", un engin que l'homme prêtait aux garçons pour mieux les amadouer. Ils parlent enfin aux enquêteurs, des "films rigolos" qui leur étaient diffusés dans le box. Au moins l'un d'eux, qui connaît bien la première victime, détaille surtout une scène à laquelle il a participé. Il aurait posé un drap ou une couverture sur le visage de son petit copain, pendant que le suspect maintenait les bras de la petite victime pour la sodomiser.

    Conscients d'avoir affaire à un individu très dangereux, les policiers décident de l'interpeller mardi. Ils l'arrêtent dans son box, où ils retrouvent le mini-quad, ainsi que les vidéos pornos et un mannequin de plastique, vêtu d'une culotte.

    Placé en garde à vue, l'homme est finalement écroué jeudi après sa mise en examen et l'ouverture d'une information judiciaire. Plusieurs viols ou tentatives semblent avérés sur au moins deux des quatre garçons entendus par la police.

    Les faits se seraient répétés à plusieurs reprises sur l'un d'entre eux, sans doute depuis le début de l'été, toujours dans les mêmes circonstances. La brigade des mineurs va désormais poursuivre ses investigations et tenter d'établir si d'autres enfants se sont retrouvés sous les griffes du prédateur.

    La Provence

  • Un couple lesbien s'interroge sur le sexe de son enfant transgenre... Monstrueux!

    Sous-titres français

    Un couple lesbien a mis sous inhibiteur d'hormones son fils qu'elles pensent être une fille... Vous suivez ?

    Traduction E & R

  • Le Journal de Syrie 19 novembre 2012